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Hébreux 2.2

εἰ γὰρ ὁ δι’ ἀγγέλων λαληθεὶς λόγος ἐγένετο βέβαιος, καὶ πᾶσα παράβασις καὶ παρακοὴ ἔλαβεν ἔνδικον μισθαποδοσίαν,
Car si la parole prononcée par des anges a eu son effet, et si toute transgression et toute désobéissance ont reçu une juste rétribution,
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      Exode 32

      Lévitique 10

      1

      le péché et la mort de Nadab et d'Abihu. (Lévitique 10:1,2)
      L'interdiction faite à Aaron et les siens de pleurer Nadab et Abihu. (Lévitique 10:3-7)
      Le vin, interdit aux sacrificateurs, lors le leur service dans le tabernacle. (Lévitique 10:8-11)
      L'interdiction aux sacrificateurs de consommer des choses saintes. (Lévitique 10:12-20)

      Après Moïse et Aaron, Nadab et Abihu étaient les seules personnes qui étaient dignes, parmi le peuple d'Israël, de recevoir les honneurs. On peut supposer que le fils d'Aaron ont été emportés parleur orgueil, ayant l'esprit excité par une consommation excessive de vin. Alors que le peuple était prosterné devant l'Éternel, adorant Sa présence et Sa gloire, Nadab et Abihu entrèrent dans le tabernacle pour y brûler de l'encens, à un moment où il ne fallait pas le faire ; au lieu d'entrer séparément, ils entrèrent ensemble et utilisèrent du feu qui ne provenait pas de l'autel. Si ces actes avaient été accomplis dans l'ignorance, cela aurait pu être pardonné par une « offrande pour le péché" ». Mais l'âme qui agit par orgueil et qui ose se confronter à la justice et à la majesté divines, ne peut qu'être retranchée. Le salaire du péché, c'est la mort.

      Ces deux hommes moururent à cause de cette faute. Le péché et la punition de ces sacrificateurs révèlent l'imperfection du sacerdoce des temps anciens : personne ne pouvait les sauver du feu de la colère divine, alors que Christ, au temps de l'évangile, aurait été capable de le faire, dans Son sacerdoce parfait.

      Lévitique 24

      Nombres 11

      Nombres 14

      36 Nous voyons dans ce texte la mort subite des dix espions qui dénigrèrent le pays de Canaan. Leur péché consista en effet à décrier la terre promise.

      Ceux qui dénaturent tout ce qui touche à la piété, en poussant les hommes à détester cette dernière ou qui saisissent chaque opportunité pour agir de la sorte, constituent en fait contre Dieu, une grande provocation.

      Tous ceux qui murmurent contre l'Éternel seront affligés. S'ils sont par contre, contrits devant leur péché, Dieu, dans Sa Fidélité, au lieu de les réprouver, les sauvera : la sentence divine finale sera alors levée ; mais si ces fautifs persistent à déplorer le jugement divin, sans reconnaître leurs iniquités, ils courent à leur perte.

      Il y a en enfer beaucoup d'âmes qui pleurent à ce sujet ; leurs larmes ne pourront pas les désaltérer ni même simplement rafraîchir leur langue !

      Nombres 15

      30 Ceux qui désobéissent délibérément à l'Éternel et Sa Gloire, sont des pécheurs présomptueux. Il n'y a pas de péché plus scandaleux. Celui qui désobéit aux commandements divins s'oppose à Dieu, tout en méprisant Sa Parole. Les pécheurs orgueilleux méprisent cette dernière, s'estimant eux-mêmes trop grands, trop bons et trop sages pour y obéir. L'exemple de ce type de conduite nous est ici relaté : il consiste à ne pas obéir au commandement de respecter le sabbat. La faute consista à ramasser du bois de chauffage, alors qu'il avait été ordonné au peuple de le faire le jour qui précédait celui du repos, Exode 16:23. C'était un affront à la foi contre la Loi et contre l'Éternel. Dieu est en effet jaloux quant à l'honneur du jour du sabbat et ne laissera pas impuni celui qui le transgressera, quel qu'en soit le motif. Dans ce texte, l'Éternel a voulu que cette punition soit un exemple pour tout le peuple, en montrant par là l'importance de la sainteté du sabbat. Nous pouvons être assurés que le péché ne sera jamais laissé impuni : au jour du Jugement il sera évoqué par la Justice divine.

      Le repos du sabbat est un ordre divin, que seuls les pécheurs, au cœur orgueilleux et incrédule, osent transgresser, plutôt que de soumettre à l'enseignement du Saint Esprit et de la Parole de vérité.

      Voici toute la différence entre celui qui a été pris à ramasser du bois de chauffage dans le désert, pendant le sabbat et celui qui respecte la sainteté de ce jour, ne voulant aucunement bénéficier des avantages du travail que son âme pourrait accumuler.

      Travailler le jour du repos du Seigneur, est synonyme de gaspillage de temps, d'argent et de force : tout cela n'est que péché. La richesse peut s'acquérir par des moyens peu avouables, mais dans ce cas elle ne viendra pas seule : des conséquences funestes surgiront alors.

      La poursuite du péché mène à la ruine !

      Nombres 16

      35 Un feu sortit d'auprès de l'Éternel et consuma les deux cent cinquante hommes qui avaient offert de l'encens ; Aaron fut épargné, bien qu'il se tînt parmi ces hommes. Dieu est jaloux des honneurs dus à Ses institutions, Il ne permet pas qu'elles soient galvaudées. Le sacrifice de l'homme pécheur est en abomination à l'Éternel. L'offrande de l'encens était un acte rituel et en tant que tel, devait être accompli à la Gloire de Dieu. Les lames étendues pour couvrir l'autel étaient là pour rappeler cette triste histoire aux enfants d'Israël et aux étrangers, afin que tous, dans une respectueuse humilité, puissent éprouver un sentiment de crainte. Ces hommes iniques subirent la destruction à la foi de leur corps et de leur âme. Tous ceux qui transgressent la loi divine et qui se moquent de l'évangile, choisissent et finissent par aimer tout ce qui mène à la mort.

      Nombres 20

      Nombres 21

      Nombres 25

      Deutéronome 4

      Deutéronome 17

      Deutéronome 27

      Deutéronome 32

      Psaumes 68

      Actes 7

      1 Corinthiens 10

      6 Les désirs charnels naissent par la tolérance au péché, et doivent en conséquence, être contrôlés dès leur apparition.

      Si nous voulons fuir les fléaux qui se sont abattus sur les enfants d’Israël, soyons vigilants à ne pas céder aux péchés dans lesquels ils sont tombés. Craignons en effet les effets pervers de l’iniquité : ceux qui tentent Christ seront laissés sous le pouvoir du « serpent ancien », Satan.

      Les murmures contre les ordonnances et les commandements de Dieu Le provoquent grandement. Rien dans Sa Parole n'est écrit en vain ; il est sage, et c’est même notre devoir, d'en rechercher avec application tout l’enseignement. Beaucoup d’enfants d’Israël tombèrent, il peut en être de même pour nous... La « sécurité » du chrétien, vis-à-vis du péché consiste à rester vigilant sur ce point. Dieu n'a pas promis de nous préserver de toute chute, si nous ne veillons pas à nous-mêmes.

      Un réconfort suit cette recommandation de prudence : d'autres personnes portent les mêmes fardeaux que nous et subissent les mêmes tentations ; si elles arrivent à tout supporter victorieusement, nous le pouvons aussi : Dieu est infiniment sage et fidèle, Il adaptera nos fardeaux à notre force ! Il sait ce que nous sommes capables de supporter et nous donnera le moyen de fuir le péché ; Il nous délivrera de l'épreuve, soit directement, soit au moins de ses effets néfastes.

      La Parole de Dieu nous encourage pleinement à fuir le péché et à être fidèles au Seigneur. Nous ne tomberons pas dans le piège de la tentation, si nous sommes fermement ancrés à Lui. Que le monde nous manifeste ses « sourires », ou sa désapprobation, il reste en fait un ennemi ; les enfants de Dieu seront fortifiés pour le vaincre, malgré tous ses appâts redoutables.

      Quand la crainte du Seigneur réside en notre cœur, nous sommes en sécurité !

      Galates 3

      19 Si la promesse de la foi, mentionnée dans ce texte, est suffisante pour obtenir le salut, à quoi alors servait la loi ? Les Israélites, bien que peuple « élu » de Dieu, étaient pécheurs aussi bien que les autres hommes. La loi n'avait pas la prétention de faire découvrir un chemin de justification différent de celui qui était dévoilé par la promesse divine, mais de conduire les hommes à considérer quel était leur besoin, face à leur culpabilité du péché, en dirigeant leur regard vers Christ, le Seul grâce auquel ils peuvent être pardonnés et justifiés.

      La promesse du salut a été donnée par Dieu lui-même ; la loi a été donnée par le ministère des anges, et par un médiateur, Moïse. De ce fait, la loi ne peut pas être destinée à mettre de côté la promesse divine. Un médiateur, comme le signifie l’étymologie, est un ami qui intervient entre deux parties ; il ne doit pas favoriser l'une aux dépens de l’autre.

      Le but final de la loi résidait dans le fait que la promesse de la foi en Jésus-Christ puisse être accordée à ceux qui croient ; étant ainsi convaincus de leur culpabilité, et de l'insuffisance de la loi pour les justifier, ils sont ainsi persuadés de la nécessité de croire en Christ, dans le but d’obtenir les avantages de Sa promesse.

      Il n'est pas possible que la loi de Dieu, sainte et juste, le « standard du devoir pour tous », soit contraire à l'Évangile de Christ. Elle tend, de toutes les manières, à promouvoir ce dernier !

      Hébreux 1

      1

      Cette épître aux Hébreux révèle la nature complète de Christ : Il est la fin, le fondement, le corps et la vérité des composants de la loi, qui n'avaient auparavant aucune vertu pour l'âme.

      Cette épitre expose une grande vérité : Jésus de Nazareth est le Dieu véritable. Les Juifs non convertis utilisaient de nombreux arguments pour dissuader leurs frères qui marchaient dans la foi chrétienne. Ils présentaient la loi de Moïse comme étant supérieure à la dispensation chrétienne, et critiquaient tout ce qui avait trait au Sauveur.

      L'auteur de l'épître, expose donc la supériorité de Jésus de Nazareth, en tant que Fils de Dieu ; il souligne les bienfaits issus de Ses souffrances et de Sa mort et Son sacrifice pour annuler les conséquences néfastes du péché ; il annonce également que la religion chrétienne est bien plus excellente et parfaite que celle de Moïse. Le but principal de cette épître semble être d'amener les Hébreux convertis à progresser dans la connaissance de l'Évangile, de les affermir dans la foi chrétienne, et d'éviter qu'ils s'en éloignent : ils reçoivent ainsi une sérieuse mise en garde.

      Alors que cette épître contient beaucoup d’éléments dédiés aux Hébreux de l’époque, elle contient aussi de nombreux points qui ne peuvent qu'intéresser l'église aujourd’hui ; la connaissance de Jésus-Christ est en effet « la moelle et le noyau » de toutes les Écritures. La loi cérémonielle est remplie de l’image de Christ, tout l'Évangile contient Sa Personne ; les lignes bénies des deux Testaments se rencontrent en Lui : l'épître aux Hébreux explique comment ces deux Testaments s'accordent et s'unissent étroitement en Jésus-Christ ; tel est l’objet de cette lettre, qui fait vraiment découvrir le Seigneur sous Son vrai jour divin !

      * La dignité incomparable du Fils de Dieu, dans Sa personne divine et dans Son œuvre créatrice, en tant que Médiateur. (Hébreux 1:1-3) Sa supériorité sur tous les saints anges. (Hébreux 1:4-14)

      Hébreux 1:1-3 Dieu a parlé à Son peuple à divers moments, à travers nombre de générations consécutives, et de diverses manières, comme Il le pensait propice ; Il le faisait parfois par des directives personnelles, parfois par des songes, voire des visions, quelquefois par l’influence divine sur l’esprit des prophètes.

      L’annonce de l'Évangile est excellente et supérieure à toutes les autres révélations : Dieu a en effet révélé l’Évangile par Son Fils. En entrevoyant le pouvoir, la sagesse, et la bonté du Seigneur Jésus-Christ, nous apercevons dans ce texte, ces qualités en la personne de Dieu le Père, Jean 14:7 ; la plénitude de la Divinité demeure, non pas symboliquement, ou d’une manière figurée, mais véritablement, en Lui. Lors de la chute de l'homme, le monde se brisait, sous le courroux et la malédiction de Dieu ; le Fils de Dieu allait entreprendre l’œuvre de la Rédemption, par Son pouvoir tout-puissant et selon Sa bonté.

      De la gloire de la personne et du rôle de Christ, nous progressons vers celle de Sa Grâce. La gloire de la personne de Christ et de Sa nature donnèrent à Ses souffrances un tel prix, que ce fut une satisfaction entière pour l'honneur de Dieu : Il a souffert, d’une blessure infinie et d’une immense déception, à cause des péchés des hommes.

      Nous ne pourrons jamais être assez reconnaissants du fait que Dieu nous ait parlé de si nombreuses manières, et avec une telle clarté, à nous pauvres pécheurs, en faveur de notre salut. Le fait qu'Il puisse de Lui-même nous purifier de nos péchés, nous révèle Son Amour merveilleux, Amour qui dépasse notre simple admiration, notre gratitude et notre louange !

      Hébreux 10

      Hébreux 11

      Jude 1

      5 Les privilèges extérieurs, la confession de foi et une apparente conversion, ne peuvent pas protéger du jugement divin, ceux qui se sont ont détourné de la piété, en toute incrédulité et désobéissance.

      La destruction des Israélites incrédules, dans le désert, nous montre que nul ne doit présumer de ses privilèges. Ces enfants d’Israël disposaient des miracles, comme pain quotidien ; cependant ils ont péri, par leur incrédulité.

      Un grand nombre d'anges ne furent pas satisfaits par ce que Dieu leur a accordé : l’orgueil en fut la cause principale et directe, comme l'occasion de leur chute. Les anges déchus sont gardés pour le grand jour du Jugement ; quant aux hommes qui ont chuté, y échapperont-ils également ? Il est évident que non...

      Considérez ce que nous indique ce texte : la destruction de Sodome est un sérieux avertissement et une mise en garde, adressés à tous et destinés à nous faire fuir les convoitises charnelles qui font la guerre à l'âme, 1Pierre 2:11.

      Dieu est un à la fois un Être saint, juste, pur, et éternel. Observons donc devant cela une crainte respectueuse, ne pratiquons pas le péché, Psaume 4:4. Ne nous exposons en rien, qui pourrait rendre l'âme sujette à la désobéissance à Christ : en effet, rien, mis à part le renouvellement de notre âme à l'image divine, par le Saint-Esprit, ne peut nous garder d'être détruits et comptés parmi les ennemis de Dieu.

      Considérez l’exemple de ce texte, relatif aux anges : aucune dignité ni créature supérieure ne possède quelque avantage. À quel point devrait alors trembler l'homme qui « boit l'iniquité comme l'eau », Job 15:16 !

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