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Hébreux 4.14

Ainsi puisque nous avons en Jésus, le Fils de Dieu, un grand-prêtre si éminent qui a traversé les cieux pour pénétrer jusque dans la présence même de Dieu, demeurons fermement attachés à la foi que nous professons et confessons-la fidèlement.
Having then a great high priest, who has passed through the heavens, Jesus, the Son of God, let us hold tightly to our confession.
Tenons donc fermement la foi que nous proclamons. Nous avons, en effet, un grand-prêtre souverain qui est parvenu jusqu’en la présence même de Dieu : c’est Jésus, le Fils de Dieu.
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      Marc 1

      1

      Marc était probablement neveu de Barnabas ; les versets de Colossiens 4:10 et d’Actes 12:12 montrent qu'il était le fils de Marie, une femme pieuse de Jérusalem, chez qui les apôtres et les premiers chrétiens se rassemblaient. Du fait que Pierre l'appelle « son fils », 1Pierre 5:13, on suppose que Marc a été converti par cet apôtre. Il était ainsi étroitement uni aux disciples de notre Seigneur, bien qu'il ne fasse pas spécifiquement partie des « douze ».

      Marc rédigea ses écrits à Rome ; certains se demandent si Pierre lui dictait directement son texte, bien qu’on témoigne qu’en général, l'apôtre ayant prêché à Rome, ait demandé à Marc, de consigner les détails de ses prédications par écrit : ce dernier était en effet son fidèle compagnon, capable de transcrire au mieux ce que Pierre voulait annoncer.

      Nous pouvons remarquer l’évidence de la grande humilité de Pierre, quels que soient les témoignages rendus à son sujet. Il est rare de voir un acte accompli par Christ, où cet apôtre ne soit pas présent ; en fait, la précision de la Parole de Dieu montre que dans ce cas, les faits sont toujours relatés par un témoin oculaire.

      L’évangile de Marc retrace les miracles de notre Seigneur, plus que Ses paroles ; bien que sur de nombreux points, l’évangéliste relate les mêmes choses que l'évangile selon Matthieu, nous pouvons en tirer certaines précisions complémentaires, du fait que la description des mêmes événements reflète le caractère et la pensée de chaque auteur.

      * Le service de Jean-Baptiste. (Marc 1:1-8) Le baptême et les tentations de Christ. (Marc 1:9-13) Christ prêche et appelle les disciples. (Marc 1:14-22) Il chasse un esprit impur. (Marc 1:23-28) Il guérit beaucoup de malades, (\\#29-39\\) dont un lépreux. (\\#40-45\\)

      Les livres d’Ésaïe et de Malachie, en citant le ministère de Jean, décrivent chacun le commencement de l'évangile de Jésus-Christ. Par ces prophètes, nous pouvons observer que Christ, au temps de l’évangile, est venu parmi nous, apportant avec Lui le trésor de la Grâce, et le sceptre de la Puissance. La corruption du monde est telle qu'on trouve une grande opposition à ce déploiement. Quand Dieu envoya Son Fils dans le monde, Il prépara Sa venue ; quand Il L'envoie dans le cœur de l’homme, Il prend soin également de préparer Son chemin.

      Jean s’estimait indigne d’être au service du Seigneur. Les saints les plus éminents ont toujours été les plus humbles. Ils ressentent plus que quiconque, le besoin du sang de Christ, qui rachète, et de l'Esprit, qui sanctifie. Jésus, dans Son évangile, proclame une grande promesse à ceux qui se sont repentis et qui ont demandé le pardon de leurs péchés : ils seront baptisés du Saint Esprit, revivifiés par Son réconfort et purifiés par la Grâce.

      Nous écoutons parfois les ordonnances divines, la Parole et nous pratiquons les divers sacrements, sans réel profit ni grande consolation, car nous n'avons pas cette « divine lumière » en notre cœur ; en fait, nous ne l'avons pas, parce que nous ne la demandons pas...

      Nous avons cette parole infaillible du Seigneur : Notre Père Céleste donnera cette lumière, son Saint Esprit, à ceux qui le Lui demandent !

      Marc 16

      19 Après avoir parlé à Ses disciples, le Seigneur monta au ciel et Il s’assit : c’est une position de repos, Il avait terminé Son œuvre ; Il avait en même temps une position d'autorité : Il prit possession de Son Royaume. Il s'assit à la droite de Dieu, ce qui atteste Sa souveraine dignité, et Son pouvoir universel.

      Quelles que soient les œuvres que Dieu opère en nous, tout ce qu’Il nous donne ou accepte de nous, est effectué par l’intermédiaire de Son Fils. Maintenant, Christ est glorifié avec la gloire qu'Il avait avant que le monde ne soit.

      Les Apôtres allèrent, et prêchèrent en tout lieu. Bien que la doctrine qu'ils prêchaient soit spirituelle et céleste, elle était directement contraire à l'esprit et à l'état d'esprit de ce monde : elle rencontra beaucoup d'opposition, et fut entièrement destituée de tout support et de facilités de diffusion ; néanmoins, en peu d'années, elle fit le tour de la terre !

      De nos jours, les serviteurs de Christ n'ont pas besoin de faire des miracles pour prouver la véracité de leur message : il est incontestable que les Écritures sont d'origine divine, et cela rend inexcusables ceux qui les rejettent ou les négligent. Le changement d’état d’esprit que produit l'évangile, lorsqu'il est prêché avec fidélité et réellement accepté, est une preuve constante, une preuve miraculeuse, qu’il est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit !

      Luc 24

      Actes 1

      Actes 3

      Romains 8

      Ephésiens 4

      Hébreux 1

      Hébreux 2

      1

      Le devoir d'accepter fermement Christ et Son Évangile. (Hébreux 2:1-4)
      Ses souffrances ne sont pas une objection à Sa prééminence. (Hébreux 2:5-9)
      La raison de Ses souffrances, et leur finalité. (\\# 10-13\\)
      Que Christ prenne la nature de l'homme, et non pas celle des anges, était essentiel à Son office, en tant que Sacrificateur. (\\# 14-18\\)

      Le chapitre précédent ayant prouvé que Christ est supérieur aux anges, ce texte applique donc cette doctrine.

      Notre esprit et notre mémoire ressemblent à un « récipient » qui fuit, ne retenant pas correctement son contenu, sauf si l’on prend maintes précautions. Ce phénomène provient de la corruption de notre nature, des tentations, des attraits du monde et de ses plaisirs. Pécher contre l'Évangile, revient à négliger le grand salut qui nous est offert ; c'est mépriser la Grâce salvatrice de Dieu, en Christ, la Lumière ; ne pas ressentir le besoin d’être sauvé équivaut à ne pas honorer Jésus.

      Les jugements du Seigneur, sous la dispensation de l'Évangile sont principalement spirituels, et de ce fait, ils doivent être vraiment redoutés. On trouve dans ce texte une sollicitation de la conscience des pécheurs. Même nos négligences mineures n'échapperont pas aux reproches du ciel ; elles obscurcissent souvent l’âme par des ténèbres spirituelles, en risquant de conduire cette dernière à la ruine.

      La mise en place de l'Évangile a été poursuivie et confirmée par ceux qui ont connu Christ, par les évangélistes et les apôtres, qui ont été les témoins de ce que Jésus-Christ a commencé à la fois d'enseigner et d’accomplir ; ces hommes, par les dons du Saint-Esprit, furent qualifiés pour la tâche à laquelle ils étaient appelés. Tout ce plan fut établi selon la Volonté de Dieu. Ce Dernier désirait en effet qu’en recevant l'Évangile, nous ayons des bases solides pour notre foi, et un ferme fondement pour notre espérance.

      Que notre âme admette cette vérité nécessaire, et s'appuie sur les Saintes Écritures, transcrites par ceux qui ont entendu les paroles de notre merveilleux Seigneur, étant inspirés par Son Esprit ; nous serons alors bénis, nous aurons « la bonne part », celle qui ne peut nous être ôtée !

      Hébreux 3

      1

      La valeur, la dignité et la supériorité de Christ par rapport à Moïse sont démontrées dans ce texte. (\\# 1-6\\)
      Les Hébreux sont prévenus du péché et du danger de l'incrédulité. (\\# 7-13\\)
      La nécessité de croire en Christ, et de Le suivre avec assiduité. (\\# 14-19\\)

      Christ est considéré dans ce texte comme « l'Apôtre de notre profession de foi », le « Messager », envoyé par Dieu aux hommes, le grand « Révélateur » de cette foi que nous professons avoir, et de cette espérance que nous déclarons posséder. Christ, le Messie, a été oint aussi bien pour la fonction d'Apôtre que pour celle de Souverain Sacrificateur. Jésus est notre Sauveur, Celui qui nous guérit de nos fautes, le grand Médecin des âmes !

      Considérez-Le ainsi ! Considérons ce qu'Il est en lui-même, ce qu'Il est pour nous, et ce qu'Il sera plus tard et à jamais ! Quand nous méditons sérieusement sur la personne de Christ, nous sommes amenés à mieux Le connaître, et à l’aimer.

      Les Juifs avaient une haute opinion de la fidélité de Moïse, mais celui-ci n’était cependant qu'une « image de Christ ». Christ est le Maître de la maison décrite dans ce texte, le Maître de Son Église, de Son peuple ; Il en est le « Constructeur ». Moïse était un serviteur fidèle ; Christ, en tant que Fils éternel de Dieu, est le « Propriétaire » légitime de cette « maison spirituelle », le Dirigeant souverain de l'Église.

      Il ne suffit pas d’emprunter fidèlement les voies que Christ nous a tracées, il faut aussi les suivre avec persévérance, et ce, jusqu'à la fin. Toute méditation sur Sa personne et Son salut, nous conduira vers la Sagesse, et nous aurons de nouveaux motifs pour L'aimer, Lui accorder notre confiance et Lui obéir !

      14 En devenant des « participants de Christ », les saints ont reçu un véritable privilège, à savoir Son Esprit, Sa nature, Sa Grâce, Sa droiture et Sa vie ; ils sont impliqués dans toute la Personne de Christ, dans tout ce qu'Il accomplit ou accomplira.

      L’esprit avec lequel les chrétiens cheminent en commun dans les voies de Dieu, doit être maintenu jusqu'au terme de leur vie. La persévérance dans la foi est la meilleure évidence de son authenticité. Entendre la Parole est souvent un moyen d’accéder au salut, par contre, le fait de ne pas l’accepter expose davantage à la colère divine.

      La joie d'être « participants » de Christ et de Son parfait salut, ainsi que la crainte de la colère de Dieu et de la misère éternelle qui attend le pécheur rebelle, doivent nous pousser à persévérer dans une foi obéissante. Méfions-nous à ne pas nous laisser séduire par les vains privilèges de ce monde ni par de piètres professions de foi. Prions pour être comptés parmi les croyants authentiques, ceux qui entreront au ciel, alors que tous les pécheurs incrédules chuteront...

      De même que notre obéissance est en rapport avec la puissance de notre foi, nos péchés et la non satisfaction de nos besoins spirituels sont la conséquence de l'incrédulité qui demeure en nous...

      Hébreux 4

      Hébreux 6

      Hébreux 7

      26 Observons dans ce texte la description de la sainteté de Christ. Il est libre de toute caractéristique inhérente au péché, n'ayant, par Sa nature, la moindre mauvaise tendance à ce sujet. Nul péché ne demeure en Lui, pas la moindre inclination coupable, éléments qui résident en chaque chrétien, fut-il le meilleur.

      Christ est dénué de tout mal, incapable de commettre quelque transgression ; Il n'usa ici-bas d'aucune violence, et Il n'y avait aucune tromperie dans Ses propos. Il est parfaitement pur.

      En ce qui nous concerne, Il est difficile de nous garder purs, et de ne pas commettre de faute ; nous sommes tous coupables. Mais nul ne doit être consterné par ce fait, s'il vient à Dieu, en invoquant le Nom de son bien-aimé Fils. Que chacun soit assuré que Christ les délivrera de tout péché, au temps de l'épreuve ou de la souffrance, comme en période de prospérité, à l'heure de la mort, et au jour du jugement !

      Hébreux 8

      1

      L'excellence du sacerdoce de Christ, par rapport à celui d'Aaron. (Hébreux 8:1-6)
      L’excellence de la nouvelle alliance, par rapport à la précédente. (Hébreux 8:7-13)

      Le résumé des versets précédents déclare que les chrétiens disposent d’un Souverain Sacrificateur (Christ), répondant à leur besoin. Il a revêtu Lui-même la nature humaine, Il est descendu ici-bas, et s'est donné en sacrifice à Dieu, pour les péchés de Son peuple.

      Nous ne devons pas craindre d'approcher Dieu, ni de Lui présenter toutes nos fautes, par l’intermédiaire de Christ, à cause de Ses mérites et de Sa médiation ; nous ne pouvons être acceptés par Dieu qu’en Son Bien-aimé.

      En toute obéissance et en toute adoration au Seigneur, nous devons rester proches de la Parole de Dieu, car elle est la seule « référence » spirituelle. Christ met un terme à la dispensation de la loi. Une première alliance, dont il est fait mention dans ce texte, a été précédemment passée avec Israël, en tant que nation, pour son bien. Les promesses de toutes bénédictions spirituelles, et de vie éternelle, révélées dans l'Évangile, et rendues certaines, grâce à Christ, ont une valeur infiniment plus grande !

      Bénissons Dieu, car nous avons un Souverain Sacrificateur (Christ) qui subvient parfaitement à notre impuissance spirituelle !

      Hébreux 9

      Hébreux 10

      Hébreux 12

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