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car il était encore dans les reins de son père, quand Melchisédek alla à sa rencontre.
Car bien que Lévi ne fût pas encore né, il était en quelque sorte déjà présent dans son ancêtre Abraham quand Melkisédec vint à sa rencontre.
En effet, Abraham est son ancêtre. Et d’une certaine façon, Lévi était déjà dans le corps de son ancêtre, quand Abraham a rencontré Melkisédec.
L'argumentation de l'auteur est subtile. Pour la défendre on peut cependant faire valoir que l'humanité n'est pas un rassemblement d'individualités isolées les unes des autres, et sans aucun rapport de solidarité ; que la souche d'une race embrasse la race entière.
Dès lors tout un peuple s'appelle Jacob ou Israël, Esaü ou Edom, Moab, Ammon ; toute une tribu se nomme Juda, Ephraïm, etc. Le père de ce peuple, de cette tribu, vit en lui ou en elle, et elle le représente vivant dans ses descendants. Cela n'est point une vaine métaphore, mais l'expression d'une profonde réalité.
Le raisonnement de l'auteur s'appuie sur ce fait. La position prise par Abraham à l'égard de la sacrificature de Melchisédek lie ses descendants, les lévites. Si Abraham s'inclina devant la dignité du sacrificateur du Dieu souverain et lui paya la dîme, les lévites le firent aussi dans la personne de leur aïeul, dont ils ne sauraient récuser l'héritage.
Tel est l'argumentation de l'auteur, qu'il ne présente pas, du reste, comme une démonstration rigoureuse, puisqu'il l'introduit par cette formule : pour ainsi dire. (Hébreux 7.9)
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Il lui dit encore : « Je suis le Dieu tout-puissant. Je te donnerai de nombreux enfants, pour que tu deviennes l’ancêtre d’une nation et même d’un ensemble de peuples. Il y aura des rois parmi tes descendants.
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Les membres de la famille de Jacob, ses descendants directs qui se rendirent en Égypte, étaient soixante-six en tout. Il y avait en plus les femmes de ses fils.
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Or, ceux des descendants de Lévi qui sont prêtres ont l’ordre, selon la loi, de demander un dixième de tout au peuple d’Israël, c’est-à-dire à leurs propres compatriotes, qui pourtant sont eux aussi des descendants d’Abraham.
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L'argumentation de l'auteur est subtile. Pour la défendre on peut cependant faire valoir que l'humanité n'est pas un rassemblement d'individualités isolées les unes des autres, et sans aucun rapport de solidarité ; que la souche d'une race embrasse la race entière.
Dès lors tout un peuple s'appelle Jacob ou Israël, Esaü ou Edom, Moab, Ammon ; toute une tribu se nomme Juda, Ephraïm, etc. Le père de ce peuple, de cette tribu, vit en lui ou en elle, et elle le représente vivant dans ses descendants. Cela n'est point une vaine métaphore, mais l'expression d'une profonde réalité.
Le raisonnement de l'auteur s'appuie sur ce fait. La position prise par Abraham à l'égard de la sacrificature de Melchisédek lie ses descendants, les lévites. Si Abraham s'inclina devant la dignité du sacrificateur du Dieu souverain et lui paya la dîme, les lévites le firent aussi dans la personne de leur aïeul, dont ils ne sauraient récuser l'héritage.
Tel est l'argumentation de l'auteur, qu'il ne présente pas, du reste, comme une démonstration rigoureuse, puisqu'il l'introduit par cette formule : pour ainsi dire. (Hébreux 7.9)