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Jean 1.17

car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.

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      Genèse 3

      Genèse 22

      Exode 20

      1

      Le préambule des dix commandements. (Exode 20:1,2)
      Les commandements écrits sur les premières tables. (Exode 20:3-11)
      Leur rédaction sur les deuxièmes tables. (Exode 20:12-17)
      La crainte du peuple. (Exode 20:18-21)
      Rappel d'interdiction contre l'idolâtrie. (Exode 20:22-26)

      Dieu parle aux hommes de plusieurs manières : par leur propre conscience, par la Providence, par Sa voix ; nous devons être soigneusement attentifs à tous ces messages. Mais Dieu ne s'est jamais exprimé comme Il l'a fait, lors de Sa déclaration des dix commandements. Au tout début, la Loi a été inculquée à l'homme ; cette loi aurait dû rester inscrite dans son cœur, mais le péché l'a corrompue et de ce fait, il fallait en redéfinir la connaissance. La loi est spirituelle, elle connaît les pensées secrètes du cœur, ses désirs, et ses dispositions.

      Le commandement qu'elle souligne le premier, est l'amour ; sans lui, toute vie spirituelle n'est qu'hypocrisie ; ce commandement doit être parfaitement observé, avec une obéissance constante ; aucune loi au monde ne tolère la désobéissance. Celui qui voudra observer toute la loi mais qui pèchera contre un seul commandement, sera coupable envers tous les autres, Jacques 2:10. Le fait de la modifier, soit dans notre cœur, dans nos pensées, dans nos propos ou dans nos actes, n'est que péché et la mort est le salaire du péché.

      3 Les quatre premiers des dix commandements, communément appelés « le décalogue », nous décrivent notre devoir envers Dieu. Ces quatre commandements sont cités en premier car l'homme doit aimer son Créateur avant son prochain. Il ne sera pas possible d'aimer son prochain sincèrement si les sentiments que l'on éprouve pour Dieu ne sont qu'hypocrisie.

      Le premier commandement mentionne qui doit être l'objet de notre adoration : l’Éternel et Lui seulement. Cela signifie qu'il est interdit d'adorer les créatures. Quel que soit le fait qui puisse entraver notre amour, notre gratitude, notre révérence ou notre adoration envers Dieu, nous ne devons pas céder à un sentiment de déception qui ne peut conduire qu'à une transgression de ce commandement. Tout ce que nous faisons doit être fait à la gloire de Dieu.

      Le second commandement se rapporte à l'adoration que nous devons ressentir envers le Seigneur, notre Dieu. Il est interdit de fabriquer une image ou une représentation quelconque de la Déité, sous quelque forme ou intention que ce soit. Mais la signification spirituelle de ce commandement est plus étendue : tous les types de superstition sont défendus, ainsi que toutes les « inventions » humaines qui déforment la véritable adoration de Dieu.

      Le troisième commandement concerne la façon d'adorer : elle doit être faite avec toute la révérence et le sérieux possibles. Tout serment inconsidéré est prohibé. Toutes les injures au nom de l'Éternel et tous les jurons ne sont que d'affreuses offenses à Ses commandements. Cela ne concerne pas uniquement les injures contre la Parole de Dieu ou les choses saintes, mais aussi toutes celles qui sont vaines, malsaines ou relatives aux plaisirs douteux. Le Seigneur ne laissera pas impuni celui qui invoquera Son Nom en vain.

      Le quatrième commandement est particulier : c'est un « rappel », c'est-à-dire que ce n'était pas la première fois qu'il était ordonné, mais que les hommes le connaissaient déjà. Un jour sur sept doit être sanctifié. Six jours sont consacrés au travail, mais il ne faut pas négliger ensuite le service de Dieu et le soin à apporter à notre âme. Aujourd'hui, nous devons accomplir tout notre travail dans le temps imparti, sans en prévoir pour le sabbat, le jour du repos. Christ a permis d'accomplir en ce jour particulier les travaux de nécessité, de charité et de piété ; car le sabbat a été fait pour l'homme et non l'inverse, Marc 2:27 ; tout ce qui concerne le luxe, la vanité ou l'autosatisfaction est à éviter. Tout acte commercial, tout paiement de transaction, toute lettre d'affaires, toute étude industrielle, déplacement, voyage mondain ou conversations légères, ne font que gâter la sainteté de ce jour, que Dieu a mis à part.

      La paresse et l'indolence font partie des attitudes « du monde », mais ne concernent pas le saint repos. Le sabbat doit être un jour où l'on se repose du travail journalier, pour se consacrer au service de Dieu. Les avantages du respect de ce jour sanctifié, sont la bonne santé et la joie des hommes, ce temps mis à part étant consacré au soin de l'âme et au rappel de l'excellence de la Parole de Dieu. Ce jour est béni ; les hommes qui le respectent sont bénis, en lui et par lui. Cette bénédiction et ce respect de la sainteté ne sont pas consacrés à un septième jour ordinaire, mais au jour du sabbat.

      12 Les commandements de la deuxième table, les six derniers des dix commandements, décrivent quel doit être notre devoir, pour nous même et vis-à-vis des autres ; ils mentionnent le fameux commandement : « tu aimeras ton prochain comme toi-même », Luc 10:27. La piété et l'honnêteté doivent aller de pair.

      Le cinquième commandement concerne les devoirs que nous avons vis-à-vis de nos parents. Le fait d'honorer père mère, doit démontrer par notre conduite, notre estime et notre obéissance à leur égard ; quand vos parents vous appellent, répondez leur ; quand ils vous envoient accomplir une tâche, faites ce qu'ils vous demandent, abstenez-vous de ce qu'ils vous interdisent ; faites tout cela en tant qu'enfant, dans la joie et dans l'amour. Soyez également soumis à leurs conseils et à leurs recommandations. Efforcez-vous de réconforter en tous points vos parents, donnez-leur une vieillesse paisible ; soutenez-les quand ils sont dans le besoin, ce que le Seigneur recommande particulièrement, Matthieu 15:4-6. Beaucoup de personnes ont remarqué que l'on était particulièrement béni en obéissant à ses parents, et que la malédiction accompagnait les enfants indisciplinés.

      Le sixième commandement indique que l'on doit se préoccuper de la vie et du bien-être des autres comme nous le faisons pour nous-mêmes. Les magistrats et les fonctionnaires sont institués pour faire valoir la vérité : ne cherchez pas à les contrecarrer. L'autodéfense est légitime ; mais beaucoup de meurtriers innocentés par la loi des hommes, ne le sont pas devant Dieu. Les passions démesurées, provoquées par la colère ou l'alcool, n'ont aucune excuse ; elles conduisent au meurtre et lors des duels, elles ne font que révéler l'arrogance des hommes et leur esprit de vengeance. Tous les combats, même ceux accomplis par les mercenaires, ne sont que le résultat de la colère et de la malice : ils rompent le sixième commandement ; tous les carnages sont en fait des meurtres. Il en est ainsi pour tout ce qui pousse les hommes au vice et au crime. La mauvaise conduite corrompt le cœur, elle pousse rapidement les parents vers le trépas, comme d'ailleurs les épouses et autres membres d'une famille : toutes ces choses rompent ce sixième commandement. Ce dernier interdit les mauvaises envies, la haine ou la colère, toute insulte. Il condamne le suicide. Il réclame un esprit bienveillant et patient, qui sait aussi pardonner.

      Le septième commandement concerne la chasteté. Nous devrions être effrayés par toutes les « vilenies » qui s'attaquent au corps humain : elles ne font que le détruire. Quels que puissent être les errements de notre imagination polluée, animée par nos passions, ils ne font que rompre ce commandement : il en est ainsi pour toutes les images impures, les livres, les conversations douteuses et toute autre forme de déviations.

      Le huitième commandement est celui de l'amour, celui du respect de la propriété des autres. Ce que nous possédons ici-bas, même acquis dans l'honnêteté, représente le « pain » que Dieu nous a donné ; nous devrions nous en contenter et être reconnaissants : sachons ainsi faire preuve de confiance en la Providence divine. Quand nous détournons notre regard de nos voisins, lorsqu'ils sont dans la nécessité, nous enfreignons la loi divine ; c'est un fait courant dans notre société d'aujourd'hui. Les « pillages » en tous genres, même ceux qui sont effectués sous le couvert de la justice humaine, vont également contre ce commandement. La fraude, les emprunts effectués sans perspective de remboursement, les non-paiements de dettes, l'extravagance, les abus, les extorsions d'argent aux pauvres, toutes ces choses s'opposent au huitième commandement. Offrons notre savoir-faire, dans un esprit de simplicité et dans le contentement, au service des autres, comme nous voudrions qu'ils le fassent à notre égard.

      Le neuvième commandement est relatif à notre attitude vis-à-vis de nos voisins. Ce commandement interdit toute médisance, sous quelque forme que ce soit, toute parole équivoque qui pourrait « salir » notre prochain. Dénigrer notre voisin ne peut que nuire à sa réputation. Porter un faux témoignage contre lui, le calomnier, ou l'attaquer par notre médisance, tous ces actes rompent le neuvième commandement ; il en est de même pour celui qui déforme la vérité, qui s'efforce de salir la réputation de son prochain, ne cherchant que sa ruine. Combien de fois ce commandement est bafoué chaque jour, par des personnes de tout rang, de toute nature !

      Le dixième commandement s'attaque à la racine du mal : « tu ne convoiteras pas ». Les commandements précédents prohibaient tous les mauvais désirs envers notre prochain ; celui-ci interdit toute convoitise malsaine.

      Deutéronome 4

      Deutéronome 5

      1

      L'alliance à Horeb. (Deutéronome 5:1-5)
      Les dix commandements sont répétés. (Deutéronome 5:6-22)
      Le peuple demande que la loi puisse lui être donnée, par l'intermédiaire de Moïse. (Deutéronome 5:23-33)

      Moïse réclame ici, l'attention du peuple. Quand nous entendons la Parole de Dieu, nous devons nous efforcer de l'étudier, puis, de la mettre en pratique. Cette Parole ne doit pas rester théorique pour nous, ni être de vains propos : elle doit au contraire être le « fil directeur » de notre conduite et de nos différentes affections.

      Deutéronome 33

      Psaumes 85

      Psaumes 89

      1

      La miséricorde, la vérité et les promesses divines. (Psaumes 89:1-4)
      La gloire et la perfection de Dieu. (Psaumes 89:5-14)
      La joie de ceux qui sont en communion avec Lui. (Psaumes 89:15-18)
      Les promesses de Dieu envers David ; Ce dernier en tant qu'image de Christ. (Psaumes 89:19-37)
      Un état désastreux et lamentable ; Redressement dans la prière. (Psaumes 89:38-52)

      Bien que nos projets puissent être contrariés, les promesses divines, quant à elles, sont bien enregistrées dans les cieux, au sein de Son conseil éternel ; elles sont hors de portée de Ses opposants, qu'ils soient sur terre ou en enfer.

      La confiance dans la Miséricorde infinie de Dieu, dans Son éternelle Vérité est capable de nous réconforter lors des épreuves les plus sévères !

      Psaumes 98

      Michée 7

      Luc 1

      Jean 1

      Jean 5

      45 Beaucoup se réfèrent à certaines formes de doctrines ou quelques passages bibliques, sans entrer réellement dans la vraie signification de leur enseignement, ne se soumettant pas vraiment aux diverses instructions spirituelles des prophètes ; il en était ainsi pour les Juifs, à l’égard de Moïse.

      Recherchons et prions en lisant les Écritures, dans l'intention d'y découvrir la vie éternelle ; remarquons à quel point Christ en est le sujet principal, et mettons en pratique chaque jour Ses enseignements, Le louant pour la vie qu'Il nous accorde !

      Jean 7

      Jean 8

      Jean 9

      Jean 14

      Actes 7

      Actes 13

      38 Que tous ceux qui entendent l'Évangile de Christ soient bien conscients des deux points suivants : - Au travers de cet « Homme », qui est mort et ressuscité, vous est prêché le pardon des péchés. Ces derniers, bien que graves et nombreux, peuvent être pardonnés, sans que Dieu en reste offensé : Il les oubliera complètement, ce qui L'honore. - C'est par Christ, qu’uniquement ceux qui croient en lui, sont justifiés de toutes leurs fautes ; ils sont lavés de toute la culpabilité et de toute souillure du péché, ce qui ne pouvait être opéré par la loi de Moïse.

      La grande inquiétude des pécheurs convaincus de leur état, est de trouver la justification, d'être acquittés de toute leur culpabilité, et considérés comme « vertueux » aux yeux de Dieu : si la moindre charge subsiste sur l’homme inique, tout est fini pour lui. Par Jésus-Christ nous obtenons une justification complète ! Il a totalement expié notre péché. Il nous a justifiés, non seulement en tant que Juge, mais en tant que Seigneur de Justice. Ce que la loi n’a pu faire pour nous, et qui révèle son insuffisance, l'évangile de Christ l’a accompli !

      De cette bénédiction, qui est un passage nécessaire pour accéder au salut, découlent toutes les autres. Les menaces annoncées dans la Parole sont en fait des avertissements : elles frapperont les pécheurs impénitents pour engendrer de la crainte en leur cœur. Beaucoup, en méprisant la piété, courent à la ruine. Ceux qui ne veulent pas se laisser interpeler par l’évangile et bénéficier ainsi du salut, finiront par périr...

      Actes 28

      23 Paul voulait persuader les Juifs de la véracité de tout ce qui concernait Jésus. Certains étaient « travaillés » par la Parole, alors que d'autres restaient endurcis dans leur refus de croire ; certains admiraient cette Lumière spirituelle, alors que d'autres fermaient leurs yeux. Le même genre de réaction a toujours existé lorsque l'Évangile a été prêché...

      Paul se sépara alors de ces Juifs, observant que le Saint-Esprit avait bien décrit leur incrédulité. Tous ceux qui entendent l'Évangile sans y porter une sérieuse attention, devraient trembler devant la ruine spirituelle qui les guette ; en effet, qui pourra les « guérir du péché », si Dieu n’intervient ?

      Ces Juifs eurent ensuite beaucoup de discussions entre eux. De nombreuses personnes font de grands raisonnements, tout en restant néanmoins dans l’erreur. Elles sont parfois en désaccord avec leur entourage, mais ne veulent pas cependant céder à l’évidence de la Vérité. En fait, elles ne peuvent être convaincues par le message de l’Évangile qu’elles entendent, sans que la Grâce de Dieu n’ouvre leur esprit.

      Si nous pouvons éprouver de la tristesse devant l’attitude de tels contempteurs, nous devons néanmoins nous réjouir que le salut de Dieu soit envoyé à d'autres, qui eux, le recevront ! Si nous faisons partie de cette dernière catégorie, nous devons être reconnaissants envers Celui qui nous a apporté ce salut.

      L'apôtre est resté fidèle à son principe faire connaître et ne prêcher rien d'autre que Christ, Christ crucifié. Les chrétiens qui sont tentés de s'écarter de leur « devoir », doivent reconsidérer leur situation en se posant ces questions : ma nouvelle orientation concerne-t-elle le Seigneur Jésus ? Que va-t-elle réellement m’apporter, quels en seront les impacts dans ma marche spirituelle avec Lui ?

      Paul n'a pas vanté ses propres mérites, mais il a prêché Christ, sans éprouver aucune honte pour l'Évangile. Bien que l’opportunité de son témoignage ait été relativement courte, il put prêcher sans être dérangé. Même si cette « ouverture spirituelle », (son témoignage), fut éphémère, personne ne put la fermer ; pour beaucoup ce fut une prédication efficace, puisqu'il est dit qu'il y avait des saints, même dans la maison de César, Philippiens 4:22.

      Nous apprenons aussi dans Philippiens 1:13, comment la Providence divine dirigea, par l’emprisonnement de Paul, la diffusion de l'Évangile. Non seulement les Romains, mais toute l'église de Christ encore aujourd’hui, même dans les endroits les plus reculés du globe, ont une véritable raison de bénir le Seigneur, pour le fait que Paul, au plus fort de sa maturité et de son expérience spirituelle, ait été détenu prisonnier et qu’il ait pu ainsi annoncer l’Évangile. C'était de sa prison, de sa main probablement enchaînée à celle du soldat qui le gardait, que l'apôtre écrivit ses épîtres aux Éphésiens, aux Philippiens, aux Colossiens, et peut-être aux Hébreux ; ces lettres témoignaient peut-être plus que toutes les autres, de l'amour chrétien dont son cœur débordait, et l'expérience spirituelle qui animait son âme.

      Le croyant du temps présent peut ressentir éventuellement moins de joie céleste que l'apôtre Paul, mais chaque partisan du Sauveur est également sûr de pouvoir jouir jusqu’au terme de sa vie, de la sécurité et de la paix spirituelles. Cherchons à vivre de plus en plus dans l'Amour du Sauveur ; œuvrons de façon à Le glorifier dans tous nos faits et gestes ; nous serons alors avec certitude, par Sa force et dès à présent, parmi le nombre des « vainqueurs » ; par Sa Miséricorde et Sa Grâce, nous serons bientôt dans la compagnie bénie de ceux qui seront assis auprès de Christ sur Son trône ; Il est Lui-même vainqueur et est assis sur le trône de Son Père, à la droite de Dieu, pour l'éternité !

      Romains 3

      19 Il est vain de vouloir rechercher la justification par les œuvres de la loi. Tous les hommes doivent plaider coupable. L’âme qui est fautive devant Dieu, se trouve dans un terrible état ; nul homme ne peut être justifié par la loi qui le condamne pour ne pas l’avoir respectée. La corruption de notre nature enrayera toujours toute tentative de justification par nos propres œuvres.
      21 L'homme coupable doit-il rester indéfiniment sous le coup de la colère divine ? La « blessure » de ses péchés est-elle incurable ? Non ! Béni soit Dieu, une autre voie a été ouverte pour lui, par la Justice divine ! Dieu a décrété cette Justice, qu’Il accorde au pécheur, par la foi en Jésus-Christ ; ce Nom signifie « Sauveur oint ».

      La foi qui justifie, désigne Christ en tant que Sauveur, dans Ses trois fonctions : Prophète, Sacrificateur, et Roi ; cette Justification nait de la confiance en Jésus, en l'acceptant, et en s'attachant à Lui : les Juifs, comme les Gentils, sont les bienvenus devant Dieu, par le biais de Christ. Il n'y a pas de différence entre eux : cette Justice s’adresse à tous ceux qui croient ; Elle leur est non seulement offerte, mais Elle est « posée » sur eux, telle une couronne, ou une robe. Il s’agit de la Grâce, elle est gratuite, simplement par miséricorde ; rien en nous ne peut nous faire mériter cette faveur divine !

      Si nous pouvons disposer gratuitement de la Grâce, Christ l'a toutefois acquise, Il en a payé le prix. La foi considère spécialement le sang de Christ, car c'est ce sang qui procure l'expiation de nos fautes. Dans ces états de faits, Dieu déclare Sa Justice. Il est clair qu'Il abhorre le péché, car seul le sang de Christ pouvait Le satisfaire. Sa justice ne serait pas parfaite s’Il voulait réclamer la dette de nos fautes, alors que le Garant (Christ) l'a payée ; Dieu a accepté ce « paiement » en toute satisfaction !

      Romains 5

      20 Avec Christ et Sa Justice, nous disposons de privilèges plus nombreux et plus grands que ceux que nous avons perdus, par le péché originel d'Adam.

      La loi morale a montré que beaucoup de pensées, de paroles et d'actions, étaient coupables : c’est ainsi que les transgressions se sont multipliées. La loi n'a pas fait surabonder le péché, mais elle a révélé sa culpabilité, tel un rayon de lumière qui, dans une pièce obscure, fait découvrir la poussière en suspension, invisible jusqu’alors.

      Le péché originel d'Adam et l'effet de sa corruption en nous-même, révèlent l'importance de cette offense, révélée lors de l'instauration de la loi. Les châtiments rigoureux de cette loi montrent que l’espérance apportée par l'Évangile est comparativement plus clémente. Ainsi Dieu, par le Saint-Esprit, et le biais de l’apôtre, nous a révélé une Vérité très importante, pleine de consolation, convenant à notre besoin, pécheurs que nous sommes. Quelle que soit la position sociale d’un homme, il est un pécheur, contre Dieu, il reste condamné par la loi divine, et a besoin de pardon. La Justice divine ne peut être constituée d'un mélange de péché et de sainteté. On ne peut bénéficier de la vie éternelle que par le biais d’une Justice pure et sans tache : recherchons cette Justice, c'est celle de Christ !

      Romains 6

      Romains 15

      8 Christ a accompli toutes les prophéties et les promesses concernant les Juifs, si bien que les païens (les gentils) convertis n’ont aucune excuse quand ils méprisent ces derniers. Les païens, ayant constitué l'église, sont des frères, devant à la fois, pratiquer la patience et endurer la tribulation. Ils doivent louer Dieu.

      En appelant toutes les nations à louer le Seigneur, ce texte nous montre que toutes Le reconnaitront. Nous ne rechercherons jamais Christ tant que nous n'aurons pas confiance en Lui. Le déroulement complet du plan de la Rédemption est nécessaire, pour nous réconcilier, d’une part, les uns avec les autres, mais surtout, avec notre Dieu, plein de Grâce, pour qu'une espérance durable, dans la vie éternelle, par le biais de la sanctification et du réconfort du Saint-Esprit, puisse être atteinte. Nous ne pourrons jamais parvenir à un tel but par nos propres forces : là où abonde cette espérance, l'Esprit béni doit en recevoir toute la gloire.

      « De toute joie et de toute paix dans la foi » verset Romains 15:13* : ces éléments doivent bannir tous nos doutes et nos craintes, grâce à l'action puissante du Saint-Esprit !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      2 Corinthiens 1

      2 Corinthiens 3

      Galates 3

      Hébreux 3

      Hébreux 8

      Hébreux 9

      Hébreux 10

      Hébreux 11

      39 Le monde considère qu’un homme vertueux n'est pas digne de vivre ici-bas, alors que Dieu déclare le contraire ! Bien que l’homme pieux et le matérialiste diffèrent profondément dans leurs jugements, ils sont malgré cela, en accord sur ce point : les hommes bons ne bénéficient pas souvent de repos ici-bas. C'est pourquoi Dieu a préparé une place pour les Siens, hors de ce monde.

      L'auteur de cette épître annonce aux Hébreux que Dieu a préparé de meilleures choses à leur égard, attendant en retour, de leur part, une confiance totale en Lui. Les avantages spirituels que Dieu a en vue pour nous, sont bien supérieurs aux privilèges du monde : nous disposons déjà d’une grande joie dans l’obéissance de la foi, dans notre patience en l'espérance spirituelle, et dans l'œuvre que produit notre amour. Si nous n’avons pas la même foi véritable que celle qui unissait les croyants cités dans ce texte, nous devrons accepter sans murmurer les réprimandes que nous serons amenés à subir dans le ciel...

      En conséquence, prions continuellement pour l'affermissement de notre foi, afin que nous puissions suivre les brillants exemples des chrétiens cités dans ce texte, pour être rendus parfaits, avec eux, et connaître le bonheur, afin de rayonner spirituellement, dans le Royaume de notre Père, pour l'éternité !

      Apocalypse 5

      8 C'est un sujet de joie pour le monde entier, de voir que Dieu traite avec les hommes, dans la Grâce et la Miséricorde, au travers du Rédempteur. En effet, Dieu gouverne le monde, non simplement en tant que Créateur, mais aussi comme notre Sauveur.

      Les harpes étaient des instruments de louange ; les coupes d'or étaient remplies de parfums, ou d'encens, qui sont les prières des saints : la prière et la louange doivent toujours aller de pair.

      Christ a racheté Son peuple de l'esclavage du péché, de la culpabilité, et de l’emprise de Satan. Il ne les a pas rachetés pour qu’ils retrouvent simplement la liberté, mais aussi pour qu’ils soient honorés et promus à des rangs élevés ; Christ les a fait rois et sacrificateurs : - Rois, pour gouverner sur leur propre esprit, pour vaincre le monde et le malin. - Sacrificateurs, pour leur donner un libre accès à Lui-même, et la liberté de faire des « sacrifices spirituels ».

      Quelles paroles pourraient mieux déclarer que Christ est, et doit être adoré avec le Père, par toutes les créatures, et ce, de toute éternité. Heureux ceux qui adoreront, loueront dans les cieux, et qui béniront à jamais l'Agneau, Celui qui les a délivrés et mis à part pour Lui-même, par son sang !

      Comme Tu es digne, Ô Dieu, Père, Fils, et Saint-Esprit, de nos plus grandes louanges ! Toutes les créatures doivent proclamer Ta grandeur, et adorer Ta majesté !

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