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Jean 1.34

Or, cela, je l’ai vu de mes yeux, et je l’atteste solennellement : cet homme est le Fils de Dieu.
Et j 2504’ai vu 3708 5758, et 2532 j’ai rendu témoignage 3140 5758 qu 3754’il 3778 est 2076 5748 le Fils 5207 de Dieu 2316.
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      Psaumes 2

      7 Le royaume du Messie est fondé par un décret éternel établi par Dieu le Père. Ceci fait directement référence à notre Seigneur Jésus ou à son gouvernement. Dieu a dit à son sujet : « Tu es mon Fils » ; partant de là, chacun de nous peut lui dire : « Tu es mon Seigneur, mon Souverain ». Le Fils, voulant recevoir les païens en héritage, désire toute leur plénitude en Lui-même ; Il plaide ainsi en leur faveur, Il se consacre en permanence à cette tâche ; Il est capable de sauver l'impie, et il y en aura, parmi les multitudes, certains qui seront réellement disposés à répondre à l'appel. Les chrétiens sont la propriété du Seigneur Jésus ; leur appellation en découle et ils prient en son nom. Dieu le Père les lui donne, lorsque, par son Esprit et par sa Grâce, Il œuvre en eux pour les amener au Seigneur Jésus.

      Psaumes 89

      Matthieu 3

      Matthieu 4

      Matthieu 8

      Matthieu 11

      Matthieu 16

      Matthieu 17

      Matthieu 26

      Matthieu 27

      Marc 1

      1

      Marc était probablement neveu de Barnabas ; les versets de Colossiens 4:10 et d’Actes 12:12 montrent qu'il était le fils de Marie, une femme pieuse de Jérusalem, chez qui les apôtres et les premiers chrétiens se rassemblaient. Du fait que Pierre l'appelle « son fils », 1Pierre 5:13, on suppose que Marc a été converti par cet apôtre. Il était ainsi étroitement uni aux disciples de notre Seigneur, bien qu'il ne fasse pas spécifiquement partie des « douze ».

      Marc rédigea ses écrits à Rome ; certains se demandent si Pierre lui dictait directement son texte, bien qu’on témoigne qu’en général, l'apôtre ayant prêché à Rome, ait demandé à Marc, de consigner les détails de ses prédications par écrit : ce dernier était en effet son fidèle compagnon, capable de transcrire au mieux ce que Pierre voulait annoncer.

      Nous pouvons remarquer l’évidence de la grande humilité de Pierre, quels que soient les témoignages rendus à son sujet. Il est rare de voir un acte accompli par Christ, où cet apôtre ne soit pas présent ; en fait, la précision de la Parole de Dieu montre que dans ce cas, les faits sont toujours relatés par un témoin oculaire.

      L’évangile de Marc retrace les miracles de notre Seigneur, plus que Ses paroles ; bien que sur de nombreux points, l’évangéliste relate les mêmes choses que l'évangile selon Matthieu, nous pouvons en tirer certaines précisions complémentaires, du fait que la description des mêmes événements reflète le caractère et la pensée de chaque auteur.

      * Le service de Jean-Baptiste. (Marc 1:1-8) Le baptême et les tentations de Christ. (Marc 1:9-13) Christ prêche et appelle les disciples. (Marc 1:14-22) Il chasse un esprit impur. (Marc 1:23-28) Il guérit beaucoup de malades, (\\#29-39\\) dont un lépreux. (\\#40-45\\)

      Les livres d’Ésaïe et de Malachie, en citant le ministère de Jean, décrivent chacun le commencement de l'évangile de Jésus-Christ. Par ces prophètes, nous pouvons observer que Christ, au temps de l’évangile, est venu parmi nous, apportant avec Lui le trésor de la Grâce, et le sceptre de la Puissance. La corruption du monde est telle qu'on trouve une grande opposition à ce déploiement. Quand Dieu envoya Son Fils dans le monde, Il prépara Sa venue ; quand Il L'envoie dans le cœur de l’homme, Il prend soin également de préparer Son chemin.

      Jean s’estimait indigne d’être au service du Seigneur. Les saints les plus éminents ont toujours été les plus humbles. Ils ressentent plus que quiconque, le besoin du sang de Christ, qui rachète, et de l'Esprit, qui sanctifie. Jésus, dans Son évangile, proclame une grande promesse à ceux qui se sont repentis et qui ont demandé le pardon de leurs péchés : ils seront baptisés du Saint Esprit, revivifiés par Son réconfort et purifiés par la Grâce.

      Nous écoutons parfois les ordonnances divines, la Parole et nous pratiquons les divers sacrements, sans réel profit ni grande consolation, car nous n'avons pas cette « divine lumière » en notre cœur ; en fait, nous ne l'avons pas, parce que nous ne la demandons pas...

      Nous avons cette parole infaillible du Seigneur : Notre Père Céleste donnera cette lumière, son Saint Esprit, à ceux qui le Lui demandent !

      Luc 1

      Luc 3

      Jean 1

      Jean 3

      18 Qu’il est grand ce péché d’incrédulité ! Celui qui a été envoyé par Dieu pour nous sauver, Christ, Lui était le plus cher ; qu’en est-il pour nous ?

      Qu’elle est grande la misère des non-croyants ! Ils sont déjà condamnés, de manière certaine. Le courroux de Dieu est dès lors sur eux, leur propre cœur les condamne. Il y a aussi une condamnation fondée sur leur culpabilité antérieure ; ils sont exposés aux rigueurs de la loi, à cause de leurs péchés, parce qu'ils n’ont pas accepté le pardon de l'Évangile.

      L'incrédulité est un péché : elle jaillit de l'inimitié du cœur de l'homme, envers Dieu, elle découle en quelque sorte, de l'amour du péché. Nous pouvons constater le sort malheureux réservé à ceux qui ne veulent pas connaître Christ. Les œuvres coupables proviennent des ténèbres. Le monde de la méchanceté se tient aussi loin qu'il peut de la Lumière céleste, de peur que ses actes soient réprouvés.

      Christ est haï à cause de l’amour du péché. Si les pécheurs n'avaient pas tant repoussé la possibilité de salut en Christ, ils ne se complairaient pas ainsi dans cette ignorance volontaire qui en fait, les condamne.

      Des leur côté, les cœurs renouvelés accueillent cette Lumière, (Christ). Un homme de bien agit toujours avec vérité et sincérité. Il désire connaître la volonté de Dieu et « dialoguer » avec ce Dernier, même si cela va à l’encontre de son propre intérêt dans le monde. Un réel changement est opéré dans la conduite et le caractère d’un tel homme. L'Amour de Dieu est répandu dans son cœur, par le Saint-Esprit ; cet Amour est devenu le principe directeur de ses actes.

      Aussi longtemps qu'une personne demeure sous le poids d'une culpabilité non pardonnée, elle ne peut avoir qu'une crainte servile de Dieu ; mais quand ses doutes sont balayés, quand elle voit le juste fondement sur lequel ce pardon est construit, elle s’appuie dessus et l’adopte : elle est alors unie à Dieu, d’un amour sincère !

      Nos œuvres sont bonnes quand la volonté de Dieu en est le fil directeur et que Sa Gloire en est le but, quand elles sont accomplies par Sa force et pour son Nom, pour Lui et non pour les hommes.

      La régénération, ou la « nouvelle naissance », est un sujet auquel le monde est très opposé ; elle est, cependant, la plus grande des actions célestes, en comparaison avec les futilités de ce monde.

      À quoi cela servirait-il, d'avoir de la nourriture en abondance et une grande variété de vêtements, sans être né de nouveau ? Quelle tristesse serait la nôtre, si après quelque temps passé dans une gaieté insensée, le plaisir charnel ou des querelles, nous finissions par mourir dans nos péchés dans le malheur éternel ? À quoi bon, d’avoir réussi dans la vie, en divers domaines, si à la fin nous entendons le Juge Suprême nous annoncer : « Retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'iniquité » Luc 13:27* ?

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 5

      24 Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorité, en annonçant qu’Il était véritablement le Messie. Le temps était venu où les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre !

      Notre Seigneur fait référence pour la première fois à Sa résurrection, pour ceux qui étaient « morts » dans le péché et qui allaient connaître une nouveauté de vie en la puissance de l'Esprit ; Il mentionne aussi la future résurrection des morts.

      La fonction de Juge de l’humanité ne peut être exercée que par Celui qui possède toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son témoignage ! Notre foi et notre espérance seront alors établies en Dieu, et nous ne serons pas condamnés par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le cœur de ceux qui sont morts dans l’iniquité ; qu'ils puissent accomplir des œuvres dignes de la repentance et se préparer pour le jour solennel du retour du Seigneur !

      Jean 6

      Jean 10

      Jean 11

      Jean 19

      Jean 20

      Romains 1

      2 Corinthiens 1

      Hébreux 1

      1

      Cette épître aux Hébreux révèle la nature complète de Christ : Il est la fin, le fondement, le corps et la vérité des composants de la loi, qui n'avaient auparavant aucune vertu pour l'âme.

      Cette épitre expose une grande vérité : Jésus de Nazareth est le Dieu véritable. Les Juifs non convertis utilisaient de nombreux arguments pour dissuader leurs frères qui marchaient dans la foi chrétienne. Ils présentaient la loi de Moïse comme étant supérieure à la dispensation chrétienne, et critiquaient tout ce qui avait trait au Sauveur.

      L'auteur de l'épître, expose donc la supériorité de Jésus de Nazareth, en tant que Fils de Dieu ; il souligne les bienfaits issus de Ses souffrances et de Sa mort et Son sacrifice pour annuler les conséquences néfastes du péché ; il annonce également que la religion chrétienne est bien plus excellente et parfaite que celle de Moïse. Le but principal de cette épître semble être d'amener les Hébreux convertis à progresser dans la connaissance de l'Évangile, de les affermir dans la foi chrétienne, et d'éviter qu'ils s'en éloignent : ils reçoivent ainsi une sérieuse mise en garde.

      Alors que cette épître contient beaucoup d’éléments dédiés aux Hébreux de l’époque, elle contient aussi de nombreux points qui ne peuvent qu'intéresser l'église aujourd’hui ; la connaissance de Jésus-Christ est en effet « la moelle et le noyau » de toutes les Écritures. La loi cérémonielle est remplie de l’image de Christ, tout l'Évangile contient Sa Personne ; les lignes bénies des deux Testaments se rencontrent en Lui : l'épître aux Hébreux explique comment ces deux Testaments s'accordent et s'unissent étroitement en Jésus-Christ ; tel est l’objet de cette lettre, qui fait vraiment découvrir le Seigneur sous Son vrai jour divin !

      * La dignité incomparable du Fils de Dieu, dans Sa personne divine et dans Son œuvre créatrice, en tant que Médiateur. (Hébreux 1:1-3) Sa supériorité sur tous les saints anges. (Hébreux 1:4-14)

      Hébreux 1:1-3 Dieu a parlé à Son peuple à divers moments, à travers nombre de générations consécutives, et de diverses manières, comme Il le pensait propice ; Il le faisait parfois par des directives personnelles, parfois par des songes, voire des visions, quelquefois par l’influence divine sur l’esprit des prophètes.

      L’annonce de l'Évangile est excellente et supérieure à toutes les autres révélations : Dieu a en effet révélé l’Évangile par Son Fils. En entrevoyant le pouvoir, la sagesse, et la bonté du Seigneur Jésus-Christ, nous apercevons dans ce texte, ces qualités en la personne de Dieu le Père, Jean 14:7 ; la plénitude de la Divinité demeure, non pas symboliquement, ou d’une manière figurée, mais véritablement, en Lui. Lors de la chute de l'homme, le monde se brisait, sous le courroux et la malédiction de Dieu ; le Fils de Dieu allait entreprendre l’œuvre de la Rédemption, par Son pouvoir tout-puissant et selon Sa bonté.

      De la gloire de la personne et du rôle de Christ, nous progressons vers celle de Sa Grâce. La gloire de la personne de Christ et de Sa nature donnèrent à Ses souffrances un tel prix, que ce fut une satisfaction entière pour l'honneur de Dieu : Il a souffert, d’une blessure infinie et d’une immense déception, à cause des péchés des hommes.

      Nous ne pourrons jamais être assez reconnaissants du fait que Dieu nous ait parlé de si nombreuses manières, et avec une telle clarté, à nous pauvres pécheurs, en faveur de notre salut. Le fait qu'Il puisse de Lui-même nous purifier de nos péchés, nous révèle Son Amour merveilleux, Amour qui dépasse notre simple admiration, notre gratitude et notre louange !

      Hébreux 7

      1 Jean 2

      1 Jean 3

      1 Jean 4

      14 Le Père a envoyé le Fils, Il désirait Sa venue en ce monde : c’est ce qu’atteste l’apôtre Jean dans ce texte.

      « Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. » Cette confession inclut une foi qui sert de fondement au cœur ; elle permet à une âme d'exprimer sa reconnaissance à la Gloire de Dieu et Celle de Christ, elle pousse à mener une conduite opposée aux flatteries et à tout ce qui est vain en ce monde.

      Un jour de jugement divin universel doit avoir lieu : heureux ceux qui exprimeront une sainte assurance devant le Juge, en cette occasion, sachant que Christ est leur Ami et leur Avocat ! Heureux ceux qui auront une telle attitude, dans la perspective de ce jour, qui veillent, qui l'attendent, aspirant ainsi à l'apparition du grand Juge !

      Le véritable amour du croyant envers Dieu l’assure d’une réciprocité en ce qui concerne ce sentiment. L'amour nous apprend à souffrir pour Lui et avec Lui, de sorte que nous pouvons être assurés d’être aussi glorifiés avec lui, 2Ti 2:12.

      Nous devons faire une distinction entre la crainte et la peur de Dieu : la crainte de Dieu implique une haute estime et de la vénération pour Sa Personne. L'obéissance et la pratique de bonnes œuvres, sous le principe de l'amour, ne sont pas un joug difficile à supporter, à l’inverse d’un travail servile, accompli sans motivation, sous la menace de la colère d'un maître. La crainte va de pair avec l’obéissance de l’enfant de Dieu, elle pousse cette âme à accomplir volontairement, pour le bien de ses frères, le service de son Père bien-aimé.

      Quand nos doutes, nos craintes et nos appréhensions sont nombreux, cela révèle que notre amour est loin d'être parfait. Que le ciel et la terre soient toujours étonnés de l’Amour du Père : Il a envoyé Sa Parole pour inviter les pécheurs à bénéficier du grand salut en Jésus-Christ. Que ces âmes puissent saisir la consolation d’un tel changement merveilleux opéré en eux, et qu'elles rendent gloire au Père !

      L'amour de Dieu en Christ, qui réside dans le cœur des chrétiens, par l'Esprit d'adoption, est la grande preuve de leur conversion. Ceci doit se manifester par leur conduite, particulièrement envers leurs frères.

      Si un homme déclare aimer Dieu, et que, malgré cela, il se laisse aller à la colère, à la vengeance, ou à l’égoïsme, il renie en fait sa déclaration. Mais s'il est manifeste, en tant qu’enfant de Dieu, que notre inimitié « naturelle » est transformée en affection et en gratitude, bénissons le Nom de notre Dieu pour cette spiritualité qui révèle un bonheur éternel.

      Nous serons alors différents des faux docteurs, qui font semblant d'aimer Dieu, Celui qu'ils n'ont pas vu, alors qu'ils détestent leurs frères, qui eux, sont bien visibles...

      1 Jean 5

      9 Aucune attitude n’est plus absurde que celle de douter de la véracité du Christianisme, poussant certains, pour leur devenir ici-bas, à se fonder prioritairement sur le raisonnement humain, ne cherchant aucunement à dissuader tous ceux qui voudraient s’écarter de cette voie d’erreur.

      Le véritable chrétien reconnaît sa culpabilité, sa misère et son besoin de recourir à un Sauveur. Il discerne l'intérêt de se fier à ce Dernier pour tout ce qui concerne ses besoins spirituels, en toutes circonstances. L’enfant de Dieu trouve et ressent la puissance de la Parole et de la doctrine de Christ, humiliant, guérissant, ranimant, et réconfortant son âme. Il acquiert une nouvelle disposition d’esprit, de nouvelles joies, il n'est plus l'homme qu'il était auparavant.

      Le croyant reste cependant encore en conflit avec lui-même, avec le péché, la chair, le monde, et les pouvoirs maléfiques, mais il trouve en Christ, une telle force de foi, qu'il peut vaincre le monde, et se diriger spirituellement vers le ciel. Telle est la promesse pour celui qui croit en l'Évangile : il a cette force spirituelle en lui-même, qui éloigne de son âme toute trace de doute, même s’il traverse parfois des heures de ténèbres ou de conflit ; on ne peut pas le déstabiliser sur l’authenticité de sa foi, ni sur les principales vérités de l'Évangile.

      Le péché d’incrédulité est vraiment terrible : il désigne Dieu menteur, car il pousse à ne pas croire à ce qu'Il annonce, au sujet de Son Fils. Il est vain pour un homme de faire croire qu'il fait confiance au témoignage du Seigneur, alors qu’en fait, il Le repousse... Celui qui refuse de se fier à Christ et de l'honorer, en tant que Fils de Dieu, méprise la souveraineté de notre Sauveur : il refuse alors de se soumettre à Son enseignement, de compter sur Son expiation et Son intercession, en tant que Souverain sacrificateur, il ne veut pas se soumettre au Roi des rois ; une telle âme est alors « morte au péché », elle demeure sous la condamnation ; toute moralité, érudition, ou autres formes de doctrine, ne lui seront alors d'aucune utilité...

      13 D’après toutes les évidences de ce texte, il est clair qu’il n’y a rien de plus profitable que de croire au Nom du Fils de Dieu.

      Aujourd’hui, sous la Nouvelle Alliance de l'Évangile, les croyants bénéficient de la vie éternelle. Recevons donc avec reconnaissance ce que nous enseigne l'Écriture. Nous devons toujours abonder dans l'œuvre du Seigneur, sachant que cette tâche ne sera jamais vaine !

      Le Seigneur Jésus-Christ nous invite à nous approcher de Lui, en toutes circonstances, avec nos supplications et nos requêtes, malgré le péché qui peut nous obséder. Nos prières doivent toujours être offertes à Dieu, en toute soumission à Sa volonté. Si dans certains cas elles sont rapidement exaucées, dans d'autres, elles sont satisfaites de la meilleure manière, même si cela ne correspond pas tout à fait à ce que nous avons demandé. Nous devons intercéder pour les autres, comme pour nous-même.

      Il y a des péchés qui pratiquent une « guerre spirituelle » à l'âme. Nous ne pouvons pas prier pour que les péchés de l'impénitent et de l'incrédule invétéré leur soient pardonnés, ni que la Miséricorde divine leur soit accordée, s’ils continuent délibérément à suivre leurs mauvaises voies. Mais nous pouvons toutefois prier pour leur repentir, pour qu'ils soient enrichis dans leur foi en Christ et dans toute Sa Miséricorde bénéfique.

      Nous devons intercéder pour les autres, aussi bien que pour nous-même, suppliant le Seigneur de pardonner, de relever et de soulager celui qui a chuté, qui est tenté, voire affligé. Soyons vraiment reconnaissants du fait qu'aucun des péchés, de l’homme qui se repent réellement, ne mène à la mort.

      2 Jean 1

      Apocalypse 2

      18 Même si le Seigneur sait que les œuvres de Son peuple sont faites dans l'amour, la foi, le zèle, et la patience, si Ses yeux, tels une flamme de feu, voient les Siens s'engager dans une mauvaise direction, Il les réprimandera, les corrigera, ou les punira. Nous voyons, dans ce texte, la louange du ministère et du peuple de Thyatire, par Celui qui connaissait les principes par lesquels il agit. Les membres de cette église devinrent plus sages et meilleurs.

      Tous les chrétiens doivent désirer avec ferveur que leurs dernières œuvres puissent être les meilleures. Cependant, cette église de Thyatire « fermait les yeux » sur l’œuvre de certains séducteurs, de mauvaise réputation...

      Dieu est sage dans les jugements qu'Il exécute ; quand Il juge les « séducteurs », Il révèle à quel point Il connaît bien le cœur des hommes, leurs principes, leurs diverses conceptions et leur tempérament. Un encouragement est donné dans ce texte, à ceux qui veillent à rester purs et non souillés.

      Il est dangereux de mépriser le « mystère » de Dieu, et tout aussi périlleux d’adopter celui de Satan. Méfions-nous des profondeurs de Satan : celui qui en connaît le moins est le plus heureux. Combien Christ est tendre envers Ses fidèles serviteurs ! Il ne leur impose aucun joug, si ce n'est pour leur bien.

      Une grande récompense est promise au croyant persévérant et victorieux ; il bénéficiera de la connaissance et de la sagesse, nécessaires à l’exercice de son pouvoir et de son autorité dans le futur.

      Christ, par Sa venue, par Sa présence, apporte la Lumière dans l'âme : Lumière de la Grâce et de la Gloire ; quel bonheur de Le connaître en tant que Seigneur et Sauveur ! Après chaque victoire sur « l’ennemi », sachons garder notre avantage sur lui, pour que nous puissions le vaincre de nouveau éventuellement et garder les œuvres de Christ jusqu'à la fin !

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