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Jean 11.25

Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;
Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;
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      Jean 6

      Jean 11

      Jean 14

      Actes 3

      Romains 4

      Romains 5

      Romains 8

      10 Si l'Esprit est en nous, Christ est en nous ! Il demeure dans le cœur, par la foi. La Grâce, qui est en notre âme, lui fait revêtir une nouvelle nature ; Dieu sait que notre âme est vivante, Il a placé éternellement en elle Sa sainte félicité ! La Perfection de Christ met l'âme en sécurité, Elle lui offre la meilleure part, lui évitant la mort spirituelle.

      Forts de tout cela, nous voyons combien il nous faut marcher, non selon la chair, mais selon l'Esprit. Si une personne vit en permanence selon ses vaines convoitises, elle finira inéluctablement par périr dans ses péchés, quelles que soient ses voies. Que représente réellement une vie ici-bas, même si elle peut prétendre, pour un temps, jouir d’une noble estime ou d’une vocation exemplaire ?

      Efforçons-nous plutôt, par l'Esprit, de « mortifier » de plus en plus nos œuvres de la chair. La régénération spirituelle du Saint-Esprit apporte une vie nouvelle et divine à l'âme, même si elle se trouve dans un état de faiblesse.

      Les enfants de Dieu cherchent en permanence l’action de l'Esprit en eux ; ils ne sont pas assujettis à un esclavage spirituel, comme auraient pu l’être les âmes sous « l’ancienne alliance » de l'Ancien Testament, dans les ténèbres de cette dispensation. L'Esprit d'adoption n'était pas alors complètement répandu. L’apôtre mentionne cet esprit d'esclavage, sous lequel se trouvaient beaucoup de saints, lors de leur conversion.

      Beaucoup s’auto persuadent d’avoir la paix en eux-mêmes, alors que Dieu annonce le contraire dans Sa Parole. Ceux qui sont sanctifiés, ont l'Esprit de Dieu qui leur rend témoignage, dans Sa paix et par Sa paix, Il « parle » à leur âme.

      Bien que nous puissions parfois être découragés dans notre parcours avec Christ, nous devons garder en mémoire qu’avec Lui, nous sommes plus que vainqueurs !

      1 Corinthiens 15

      20 Tous ceux, qui par la foi, sont unis à Christ, sont assurés par Sa résurrection, de l’authenticité de la leur. Comme par le péché du « premier Adam », tous les hommes devinrent « mortels », ayant tous reçu de lui la même nature coupable, au travers de la résurrection de Christ, tous ceux qui sont rendus « participants de l'Esprit », et de la nature spirituelle, ressusciteront, et vivront éternellement !

      Il y a un ordre dans le déroulement des différentes résurrections : Christ Lui-même en a été « les prémices » ; lors de Sa venue, Son peuple racheté sera élevé avant les autres ; à la fin, les méchants seront aussi enlevés. Puis viendra la fin de la présente dispensation.

      Si nous voulons triompher lors de ce moment solennel et si important, nous devons maintenant nous soumettre à l’ordonnance de Christ : accepter Son salut, et vivre à Sa gloire. Nous nous réjouirons alors, dans l'achèvement de Son œuvre, pour que Dieu puisse recevoir la gloire entière de notre salut, afin que nous puissions le servir à jamais et jouir de Sa faveur.

      Que feront ceux qui sont « baptisés pour les morts », si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Le baptême est peut-être utilisé ici à titre d’allégorie, pour les afflictions, les souffrances, et le martyr, comme dans Matthieu 20:22,23 ?

      Qu'en est-il, ou qu'adviendra-t-il de ceux qui ont subi de grandes et nombreuses blessures, et qui ont même perdu leur vie pour cette doctrine de la résurrection, si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Quelle qu’en soit la signification, il ne fait aucun doute que le raisonnement de l'apôtre a été compris par les Corinthiens.

      Il est aussi clair pour nous, que le christianisme serait une folie, s'il ne nous proposait aucune espérance pour l’au-delà, particulièrement au temps des persécutions et des épreuves des premiers chrétiens, et souvent plus tard.

      Il est évident que la chrétienté serait une folie, si les chrétiens pouvaient tirer des avantages qui soient proportionnels à leur fidélité à Dieu, ou comme fruit de la sainteté, la vie éternelle...

      Nous ne devons pas vivre comme les animaux : nous connaîtrons une autre existence, dans l’au delà. Le fait d'être conduit à refuser de croire à la résurrection et à la vie future, ne peut être qu'une ignorance de l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Ceux qui « cheminent » avec Dieu et Sa Providence, observant toutes les inégalités de la vie présente, et la dépravation des hommes, même ceux qui, parfois, sont les mieux considérés, ne peuvent douter d'une vie future, où chaque élément sera remis à sa juste place.

      Ne nous joignons pas aux impies ; mettons en garde ceux qui nous entourent, en particulier les jeunes, conseillons leurs fermement de les fuir comme la peste. Aspirons à la justice et non au péché...

      51 Tous les saints ne mourront pas, en fait, ils doivent tous « changer de nature ». Dans l'Évangile, beaucoup de vérités, précédemment cachées, en tant que mystères, sont désormais révélées.

      La mort ne siègera jamais où notre Seigneur conduira Ses saints ressuscités. Nous devons ainsi chercher une pleine assurance de la foi et de l'espérance, afin qu’au temps de l’épreuve, et dans la perspective de la mort, nous puissions surmonter calmement les frayeurs de la tombe, étant assurés que nos corps « dormiront » en cet endroit, alors que notre âme sera près du Rédempteur !

      Le péché donne tout pouvoir nuisible à la mort. Il en est l'aiguillon ; mais Christ, en mourant, a extrait cet aiguillon ; Il a expié le péché, et en a obtenu la rémission.

      La puissance du péché c’est la loi. Nul n’est capable de répondre aux exigences de la loi, d’endurer sa malédiction, ou de rejeter ses propres transgressions, ce qui provoque une certaine angoisse. C'est pourquoi la mort est terrible pour l'incrédule et l'impénitent.

      La mort peut atteindre le croyant, mais elle ne peut pas le garder en son pouvoir. Combien de sources de joie pour les saints, et d'actions de grâces envers Dieu, sont ouvertes par la mort et la résurrection, les souffrances et les conquêtes du Rédempteur !

      Dans le verset 1 Corinthiens 15:58, nous remarquons une exhortation : les croyants doivent demeurer fermes, inébranlables dans la foi de l’Évangile prêché par l’apôtre. Ils doivent aussi rester fermes dans leur espérance et dans leur attente de ce grand privilège : être ressuscités, incorruptibles et immortels !

      Les saints doivent abonder dans le travail du Seigneur, accomplir fidèlement Son service, et obéir à Ses commandements. Puisse Christ nous donner la foi, l’affermir, pour que nous puissions, non seulement être sauvés, mais aussi joyeux et triomphants !

      2 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 5

      1

      L'espérance et le désir de l'apôtre de jouir de la gloire céleste. (2 Corinthiens 5:1-8)
      Cette espérance l'incitait à être assidu, dans son zèle pour soutenir les Corinthiens. (2 Corinthiens 5:9-15)
      La nécessité de la régénération et de la réconciliation avec Dieu, par le biais de Christ. (2 Corinthiens 5:16-21)

      Le croyant, par la foi, ne dispose pas seulement de l’assurance d'une vie ultérieure, céleste, quand celle d’ici-bas sera terminée, mais il s’appuie sur la solide espérance, par la Grâce, de voir le ciel ; cette vision spirituelle dévoile une « demeure », un endroit de repos, un « lieu caché » pour l’instant.

      Dans la maison de notre Père se trouvent beaucoup de demeures, dont l'Architecte et le Bâtisseur sont Dieu lui-même. Une félicité future est préparée par Dieu à l’intention de ceux qui l’aiment : ces derniers demeureront dans des habitations éternelles, n’ayant aucune ressemblance avec celles d’ici bas, qui ne sont que de pauvres « maisons d'argile », dans lesquelles notre âme demeure ; toutes les habitations de ce monde ne sont bâties que sur des fondations de poussière...

      Le corps de chair est un lourd fardeau, les calamités de la vie représentent une lourde charge. Les croyants gémissent, leur existence étant accablée par le péché et par les nombreuses corruptions qui se manifestent encore en eux.

      La mort nous « dévêtira » de notre « vêtement de chair » : de tous les plaisirs de la vie, comme de nos problèmes ici bas. Les âmes croyantes seront revêtues de « vêtements d'éloge », parées de « robes de droiture et de gloire ». Les grâces présentes et les réconforts de l'Esprit ne sont que les prémices de la Grâce éternelle et de la félicité. La présence de Dieu, ici bas, avec nous, par l’Esprit et Ses ordonnances, n’est comparable en aucune mesure avec ce que nous connaîtrons dans les lieux célestes !

      La foi nous anime ici-bas, dans les lieux célestes, ce sera la vue ! Il est de notre devoir, et de notre intérêt, de marcher par la foi, jusqu'à ce que nous vivions par la vue. Cette vérité montre clairement le bonheur qu’il y a, de se savoir aimés par les âmes des croyants qui se trouvent déjà en compagnie de la glorieuse présence du Seigneur.

      Nous sommes rattachés, intégrés au « corps » du Seigneur. Avec quelle puissance le Seigneur cherche à avoir l'âme des croyants intimement unie à Lui-même : « tu es une des âmes que J'ai aimées et choisies ; une de celles qui me sont données » !

      La mort n’est-elle pas un véritable sujet de crainte, pour celui dont l’existence sera loin de toute présence du Seigneur ?

      Philippiens 1

      Philippiens 3

      Colossiens 3

      1 Thessaloniciens 4

      Hébreux 11

      1 Jean 1

      1

      Les épîtres de Jean sont un exposé sur les principes du Christianisme, tant en termes de doctrine, comme de pratique. Le but est de réfuter et de mettre en garde les croyants contre les pratiques et les principes erronés et profanes, en particulier : vouloir nier la Divinité de Christ, ainsi que Ses souffrances et Sa mort, en tant que sacrifice d'expiation ; l’apôtre met en garde le lecteur contre ce prétexte que les croyants, étant sauvés par grâce, ne sont plus obligés d'obéir aux commandements de la Parole.

      Cette épître invite aussi tous ceux qui professent connaître Dieu, à entretenir une communion spirituelle avec ce Dernier, à croire en Lui, à marcher dans la sainteté, à s’écarter du péché, en montrant qu'une profession de foi « extérieure » n'est rien, sans les évidences d'une vie et d'une conduite pieuses. Elle aide également à cheminer plus loin : elle incite les véritables chrétiens à entretenir une communion avec Dieu et avec le Seigneur Jésus-Christ, en ayant de la constance dans une foi véritable, en toute pureté de vie.

      * L'apôtre adresse son épître aux croyants, avec des témoignages se référant à Christ, pour promouvoir leur bonheur et leur joie. (1 Jean 1:1-4) Il montre la nécessité de garder une vie de sainteté, pour avoir la communion avec Dieu. (1 Jean 1:5-10)

      1 Jean 1:1-4 « Ce qui était dès le commencement », cette Excellence non créée, éternelle, étant l’égale du Père, et qui parut un jour sous une nature humaine, pour le salut de pécheurs, est Christ, le grand sujet développé par l'apôtre, à l’intention de ses frères.

      Les apôtres ont connu Jésus et ont été témoins de Sa sagesse et de Sa sainteté ; ils ont constaté Ses miracles, Son amour et Sa miséricorde, pendant Ses quelques années passées ici-bas, jusqu'à ce qu'Il soit crucifié, pour les pécheurs, puis ressuscité des morts. Les disciples ont ensuite « touché » leur Maître, pour avoir la preuve totale de Sa résurrection.

      Christ, cette Personne divine, la Parole de vie, la Parole de Dieu, a paru sous une forme humaine, pour pouvoir devenir l'Auteur de la vie éternelle de toute l'humanité, par la rédemption de Son sang, et l'influence de son Esprit, capable de créer une nouvelle créature.

      Les apôtres ont témoigné de ce qu'ils avaient vu et entendu, afin que les croyants puissent partager leurs consolations et leurs avantages spirituels éternels. Ces derniers avaient ainsi un libre accès à Dieu le Père. Ils avaient une expérience heureuse de la Vérité dans leur âme, montrant ainsi l’excellence de leur vie spirituelle. Cette communion des croyants, avec le Père et le Fils, est initialisée et entretenue par l’influence du Saint-Esprit.

      Les bienfaits que Christ accorde ne sont pas comme les vaines possessions de ce monde, n’occasionnant que jalousies ; la joie et le bonheur d’être en communion avec Dieu sont suffisants pour que tous puissent en bénéficier. Tous ceux qui peuvent annoncer leur réelle communion avec le Père, désireront amener les autres à participer à la même bénédiction !

      1 Jean 5

      Apocalypse 20

      11 Après les prédictions annoncées dans les versets précédents, la fin viendra rapidement ; aucun autre évènement prophétique n’est mentionné avant que Christ ne paraisse pour juger le monde.

      Ce sera le « grand jour » : le Juge, le Seigneur Jésus-Christ, imposera Sa Majesté et la terreur. Les morts seront alors jugés, petits et grands, jeunes et vieux, de condition humble ou élevée, les pauvres comme les riches.

      Chacun devra expliquer ses œuvres, et nul ne pourra user d’arguments pour pouvoir passer outre ce Jugement. Ce dernier ne s’adressera pas seulement aux vivants, lors de la venue de Christ, mais aussi à tous les morts.

      Il y a un livre qui retrace les actes de chacun, à la fois le bien accompli, comme le mal ; un autre livre contient l’état de conscience de chaque pécheur : il était auparavant gardé secret, il sera alors ouvert.

      Chaque homme retracera tous ses actes passés, bien qu'il en ait depuis longtemps oublié la majeure partie !

      Un autre livre sera ouvert, celui de l'Écriture, « règle » de la vie ; il représente la connaissance qu'a le Seigneur de Son peuple, ainsi que la déclaration de son repentir, de sa foi, et de ses bonnes œuvres ; il retrace les bénédictions de la « nouvelle alliance ».

      Les hommes, selon leurs œuvres, seront justifiés ou condamnés ; le Seigneur éprouvera leurs intentions préalables d’après leurs œuvres pratiquées. Ceux qui sont justifiés et acquittés par l'évangile, seront justifiés et acquittés par le Juge, et entreront « dans la vie éternelle », n'ayant plus rien à craindre de la mort, de l'enfer, ou des méchants : tout cela sera détruit en même temps ! C'est la seconde mort ; elle représente la séparation définitive, des pécheurs et de Dieu.

      Il faut soigneusement nous enquérir de notre état spirituel, de façon à voir dès aujourd’hui, si la Bible nous justifie ou nous condamne ; Christ jugera les secrets de tous les hommes, conformément à l'évangile.

      Qui pourra alors résister au feu dévorant de l’enfer ?

      Apocalypse 21

      Apocalypse 22

      1

      Description de l'état céleste, sous les images de l'eau de l'arbre de vie, avec le trône de Dieu et de l'Agneau. (Apocalypse 22:1-5)
      L'accomplissement véritable et certain de toutes les visions prophétiques, le Saint-Esprit, l'épouse, et l'église, appellent et disent : « viens ». (Apocalypse 22:6-19)
      La bénédiction finale. (Apocalypse 22:20,21)

      Tous les « courants d’eaux » du réconfort terrestre sont boueux ; mais ceux mentionnés dans ce texte sont limpides, et rafraîchissants. Ils donnent la vie à ceux qui en boivent, et leur permettent de la conserver éternellement.

      Ce passage souligne la vive influence sanctifiante du Saint-Esprit, accordée aux pécheurs, par le biais de Christ. Le Saint-Esprit, en harmonie avec le Père et le Fils, attribue le salut à notre âme, par son Amour et sa Puissance régénératrice.

      L’arbre de la vie est alimenté par les eaux pures du fleuve qui provient du trône de Dieu. La présence de Dieu dans le ciel procure la santé et le bonheur aux saints. Cet arbre est une image de Christ, et de toutes les bénédictions que procure Son salut ; ces « feuilles guérissant les nations », signifient que la faveur et la présence du Seigneur procurent le bien aux habitants de ce monde béni.

      Le diable ne dispose d’aucun pouvoir en cet endroit céleste ; il ne peut pas empêcher les saints de servir Dieu, et il ne peut pas les perturber dans leur service auprès du Père. Dieu et l'Agneau sont ici décrits comme formant une unité. Le service divin accompli en cet endroit ne sera pas uniquement le symbole de la liberté, mais aussi de l'honneur et de l'autorité.

      Il n'y aura plus de nuit, ni de détresse, ni de découragement ; aucune pause n’interrompra le service divin, pour procurer de la détente : aucune diversion ni plaisir inventés par l'homme ne seront alors nécessaires !

      Quelle différence avec toutes ces représentations humaines, simplistes et grossières, du bonheur céleste, en particulier celles qui se rapportent aux plaisirs de l’esprit terrestre !

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