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30
Toi, Moïse, tu placeras dans la pochette du jugement l’Ourim et le Toummim. Alors Aaron les aura sur la poitrine quand il se présentera devant moi. En effet, il devra toujours les porter sur lui quand il sera devant moi, pour connaître ma volonté envers les Israélites. »
28
Alors le SEIGNEUR fait parler l’ânesse, et elle dit à son maître : « Qu’est-ce que je t’ai fait, pour que tu me frappes trois fois ? »
2
Il lève les yeux et il voit les tribus d’Israël installées dans leur camp. Alors l’esprit de Dieu vient sur lui
14
Eh bien, maintenant, je retourne vers mon peuple. Mais avant, viens. Je veux t’annoncer ce que les Israélites feront à ton peuple plus tard. »
15
Et Balaam prononce ce poème : « Voici ce que j’annonce, moi, Balaam, fils de Béor, moi, l’homme qui voit clair.
16
Voici ce que je dis, moi qui entends les paroles de Dieu, qui pénètre les secrets du Très-Haut, qui vois ce que le Tout-Puissant me fait voir. Oui, mes yeux s’ouvrent quand je l’adore.
17
« Je vois ce qui arrivera, mais ce n’est pas pour maintenant. Je l’aperçois, mais ce n’est pas pour tout de suite. Une étoile se lève parmi ceux qui sont nés de Jacob. Un chef se lève au milieu du peuple d’Israël. Avec son bâton de roi, il frappe les Moabites à la tête, et il détruit tous les nomades du pays.
18
Il prend aussi Séir, le pays des Édomites, ses ennemis. Les Israélites remportent la victoire.
19
Un chef sort de la famille de Jacob, il détruit ce qui reste de leur ville. »
20
Ensuite Balaam voit les Amalécites et il prononce cette parole : « Voici Amalec, le pays le plus puissant. Mais plus tard, il sera complètement détruit. »
21
Balaam voit aussi les Quénites et il dit : « Vous, les Quénites, vous êtes en sécurité dans votre pays, comme dans un nid posé sur un rocher.
22
Pourtant vos maisons seront brûlées, et les Assyriens vous feront prisonniers. »
23
Balaam dit encore : « Hélas ! Qui peut vivre encore après que Dieu a agi ?
24
Des bateaux arriveront de Chypre. Ces gens-là écraseront les Assyriens et même les gens de la famille d’Éber. Eux aussi seront détruits. »
25
Après ces paroles, Balaam se met en route pour retourner dans son pays. Le roi Balac part aussi de son côté.
27
À cette époque, le coffre de l’alliance de Dieu était à Béthel. Pinhas, fils d’Élazar et petit-fils d’Aaron, en était chargé. Les Israélites consultent donc le SEIGNEUR en demandant : « Est-ce que nous devons encore aller combattre nos frères de la tribu de Benjamin ? Ou bien est-ce que nous devons abandonner le combat ? » Le SEIGNEUR leur répond : « Allez-y. Demain, je les livrerai en votre pouvoir. »
9
David apprend que Saül prépare un mauvais coup contre lui. Il demande au prêtre Abiatar : « Apporte les objets sacrés pour consulter Dieu. »
6
Il consulte le SEIGNEUR, mais le SEIGNEUR ne lui répond pas : ni en rêve, ni par les objets sacrés du prêtre, ni par un prophète.
5
Mais il était blessé à cause de nos fautes, il était écrasé à cause de nos péchés. La punition qui nous donne la paix est tombée sur lui. Et c’est par ses blessures que nous sommes guéris.
6
Nous étions tous comme des moutons perdus, chacun suivait son propre chemin. Et le SEIGNEUR a fait retomber sur lui nos fautes à nous tous.
7
On l’a fait souffrir, mais lui, il a accepté cela, il a gardé le silence. Comme un agneau qu’on mène à l’abattoir, comme un mouton qui ne crie pas quand on lui coupe sa laine, il a gardé le silence.
8
On l’a arrêté, jugé, puis supprimé. Mais qui a fait attention à ce qui lui arrivait ? Oui, on l’a enlevé du monde des vivants. Il a été frappé à mort à cause des fautes de son peuple.
26
À la fin de ces 62 périodes, on tuera un homme consacré, et personne ne le défendra. Puis un chef viendra avec son armée détruire la ville et le lieu saint. Pourtant, ce chef finira sous les coups de la colère de Dieu. Mais jusqu’à sa mort, il fera la guerre et il détruira tout comme cela a été décidé.
22
Quand je viendrai pour juger les gens, beaucoup me diront : “Seigneur, Seigneur, c’est en ton nom que nous avons parlé, c’est en ton nom que nous avons chassé les esprits mauvais ! C’est en ton nom que nous avons fait de nombreux miracles !”
23
Alors je leur dirai : “Je ne vous ai jamais connus. Allez-vous-en loin de moi, vous qui faites le mal !” »
28
De la même façon, le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi. Mais il est venu pour servir et donner sa vie pour libérer un grand nombre de gens. »
25
Dieu l’a offert en sacrifice. Alors par sa mort, le Christ obtient le pardon des péchés pour ceux qui croient en lui. Ainsi Dieu a voulu montrer qu’il est toujours juste : il l’était autrefois, quand il a été patient et n’a pas puni les péchés des êtres humains. Mais il est juste aujourd’hui, puisqu’il veut à la fois être juste et rendre justes ceux qui croient en Jésus.
2
Je peux avoir le don de parler au nom de Dieu, je peux comprendre tous les mystères et posséder toute la connaissance. Je peux avoir une foi assez grande pour déplacer les montagnes. Mais si je n’aime pas les autres, je ne suis rien !
21
Le Christ était sans péché, mais Dieu l’a chargé de notre péché. Alors maintenant, par le Christ, Dieu nous a rendus justes.
13
Mais le Christ nous a libérés à grand prix de la malédiction de la loi. C’est lui qui a été frappé de malédiction pour nous. En effet, les Livres Saints disent : « La malédiction frappe celui qui est pendu à un arbre. »
4
Mais quand le moment décidé par Dieu est arrivé, Dieu a envoyé son Fils. Il est né d’une femme et il a vécu sous la loi de Moïse.
5
Il est venu pour rendre la liberté à ceux qui vivent sous la loi, et pour faire de nous des enfants de Dieu.
24
Sur le bois de la croix, il a porté lui-même nos péchés dans son corps. C’est pourquoi nous avons cessé de vivre pour le péché et nous pouvons mener une vie qui plaît à Dieu. C’est par ses blessures qu’il vous a guéris.
18
En effet, le Christ lui-même est mort une fois pour toutes pour les péchés des êtres humains. Lui qui était innocent, il est mort pour des coupables, afin de vous conduire à Dieu. Lui, il a été tué dans son corps, mais l’Esprit Saint lui a rendu la vie.
15
Ils ont abandonné le bon chemin et ils se sont perdus. Ils ont suivi la route de Balaam, le fils de Bosor, à qui on a offert de l’argent pour faire le mal. Et Balaam s’est laissé attirer par cet argent,
16
mais il a entendu des reproches pour sa faute : une ânesse muette s’est mise à parler avec une voix humaine et elle a arrêté l’action stupide du prophète Balaam.
17
Ces faux maîtres sont comme des sources sans eau, comme des nuages poussés par un vent violent. Dieu leur a réservé une place dans la nuit la plus noire.
Les exégètes ne sont pas d'accord sur la nature de cette prophétie attribuée au souverain sacrificateur. Les uns, se rappelant que, dans les beaux jours de la vie religieuse en Israël, le souverain sacrificateur était censé posséder le don de prophétiser, ou de prononcer des oracles en consultant l'Eternel, (Exode 28.30 ; Nombres 27.21 ; Deutéronome 33.8) pensent qu'en ce moment l'Esprit de Dieu renouvela en Caïphe ce don depuis longtemps disparu et lui fit prononcer, en vertu de sa charge, une véritable prophétie.
Mais n'y a-t-il pas quelque chose qui répugne dans la pensée que l'Esprit de Dieu aurait réellement agi sur l'esprit d'un homme tout rempli de desseins meurtriers ? Est-ce là ce que Jean a voulu dire ? Cette pensée ne ressemblerait-elle pas à la monstrueuse erreur du catholicisme, attribuant aux papes les plus corrompus l'infaillibilité, en vertu de leur sacerdoce ?
Non, c'est bien Caïphe luimême qui, de son propre mouvement, prononce un principe de sa détestable politique, mais, par une direction spéciale de la providence divine, il le fait en des termes dans lesquels l'évangéliste pouvait, à bon droit, voir une prophétie involontaire de la mort du Fils de Dieu.
Pilate aussi, comme l'observe Bengel, proclama la royauté divine de Jésus-Christ aux yeux de tous, en attachant à la croix le titre de cette dignité. Nous dirons donc, avec M. Luthardt, que Caïphe prophétisa non comme souverain sacrificateur, en vertu de sa charge, mais comme souverain sacrificateur de cette année-là (l'adjonction de ces derniers mots n'aurait pas de sens s'ils ne portaient l'accent) car cette année-là devait voir s'accomplir le grand sacrifice qui mettrait fin à tout l'ancien sacerdoce.
"Il y a, dit R. Stier une haute ironie de la providence spéciale de Dieu dans le fait que la sacrificature expirante dut encore annoncer, sans le savoir et sans le vouloir, par la bouche de celui qui en était revêtu, le grand sacrifice d'expiation."