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Au jour du jugement, nombreux seront ceux qui me diront : « Seigneur ! Seigneur ! Nous avons annoncé le message de Dieu en ton nom. Nous avons chassé des démons en ton nom, nous avons fait beaucoup de miracles en ton nom, n’est-ce pas ? »
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Et cependant, il me faudra leur déclarer formellement : « Je ne vous ai jamais connus ! Vos actes sont mauvais, ils sont contraires à la loi de Dieu ! Allez-vous-en ! » —
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tout comme le Fils de l’homme, qui n’est pas venu pour se faire servir par les autres, mais pour servir lui-même et donner sa vie pour payer la rançon de beaucoup d’hommes.
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comme le Père me connaît et que je connais le Père. Je sacrifie ma vie pour mes brebis.
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Dieu l’a destiné d’avance à prendre sur lui la punition que méritaient nos péchés. En mourant sur sa croix sanglante, Jésus était la victime offerte pour nous en sacrifice qui nous purifie et nous rend la faveur divine. Tous ceux qui croient que Jésus est mort pour eux, qui placent leur confiance dans le sang qu’il a versé (pour leur salut), ont accès à cette grâce. Dieu a voulu montrer de cette manière quelle était sa justice. En effet, autrefois, il a supporté le péché, il n’a pas puni (de mort) les pécheurs dans les temps anciens,
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les temps de sa patience, parce qu’il prévoyait le jour où il ferait éclater sa justice. Dans le temps présent, il a donc apporté la preuve de son équité. D’une part, il a voulu rester lui-même juste (en condamnant publiquement le péché en Jésus), et d’autre part, il a désiré justifier tous ceux qui placent leur confiance en Jésus, tous ceux qui ont foi en lui.
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Si je n’ai pas l’amour, j’ai beau être le plus inspiré des porte-parole de Dieu, connaître tous les secrets de son plan et être versé dans toutes les sciences, je peux même avoir une foi absolue au point de transporter des montagnes : sans amour je ne suis rien.
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Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l’a chargé pour nous de tous les péchés du monde ; il est devenu comme une incarnation du péché pour que, dans sa communion, nous puissions être agréés, étant revêtus de la justice de Dieu.
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Mais à présent, le Christ nous a affranchis de l’esclavage du régime légal. Il a payé cher notre liberté, car il a pris sur lui la malédiction divine. En effet, n’est-il pas écrit : Maudit soit quiconque est pendu au gibet ?
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Mais, lorsque les temps de notre minorité furent révolus, au terme fixé par Dieu, il envoya son Fils qui naquit d’une femme, comme tous les hommes, et se soumit à la juridiction de la loi.
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Pourquoi ? Pour procurer la liberté à ceux qui gémissaient sous le joug de la loi et pour faire de nous des enfants adoptifs de Dieu. Par lui, nous devions être institués dans tous les droits et privilèges de fils.
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Il a pris sur lui nos péchés et les a portés dans son corps sur le gibet, pour que nous soyons morts pour le péché et que nous puissions mener une vie juste. Oui, c’est par ses blessures que vous avez été guéris.
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Rappelez-vous que le Christ lui-même, tout innocent qu’il ait été, a souffert pour des coupables : il est mort, une fois pour toutes pour nos péchés, afin de nous réintroduire dans la communion avec Dieu. Son corps humain a été mis à mort mais, par l’Esprit, il a été ramené à la vie.
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car ils ont abandonné le droit chemin pour s’égarer sur les traces de Balaam, fils de Bosor qui, lui aussi, avait la passion de l’argent et se faisait payer pour accomplir le mal.
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Mais il fut rappelé à l’ordre et reçut le châtiment mérité par sa désobéissance. En effet, l’ânesse qu’il montait, toute muette qu’elle fût, se mit à parler d’une voix humaine pour arrêter le prophète dans son projet insensé.
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Ces enseignants de mensonge sont comme des sources qui ne donnent pas d’eau, comme des nuées de brouillard chassées çà et là par la tempête. Dieu leur a réservé une place dans la profondeur des ténèbres.
Les exégètes ne sont pas d'accord sur la nature de cette prophétie attribuée au souverain sacrificateur. Les uns, se rappelant que, dans les beaux jours de la vie religieuse en Israël, le souverain sacrificateur était censé posséder le don de prophétiser, ou de prononcer des oracles en consultant l'Eternel, (Exode 28.30 ; Nombres 27.21 ; Deutéronome 33.8) pensent qu'en ce moment l'Esprit de Dieu renouvela en Caïphe ce don depuis longtemps disparu et lui fit prononcer, en vertu de sa charge, une véritable prophétie.
Mais n'y a-t-il pas quelque chose qui répugne dans la pensée que l'Esprit de Dieu aurait réellement agi sur l'esprit d'un homme tout rempli de desseins meurtriers ? Est-ce là ce que Jean a voulu dire ? Cette pensée ne ressemblerait-elle pas à la monstrueuse erreur du catholicisme, attribuant aux papes les plus corrompus l'infaillibilité, en vertu de leur sacerdoce ?
Non, c'est bien Caïphe luimême qui, de son propre mouvement, prononce un principe de sa détestable politique, mais, par une direction spéciale de la providence divine, il le fait en des termes dans lesquels l'évangéliste pouvait, à bon droit, voir une prophétie involontaire de la mort du Fils de Dieu.
Pilate aussi, comme l'observe Bengel, proclama la royauté divine de Jésus-Christ aux yeux de tous, en attachant à la croix le titre de cette dignité. Nous dirons donc, avec M. Luthardt, que Caïphe prophétisa non comme souverain sacrificateur, en vertu de sa charge, mais comme souverain sacrificateur de cette année-là (l'adjonction de ces derniers mots n'aurait pas de sens s'ils ne portaient l'accent) car cette année-là devait voir s'accomplir le grand sacrifice qui mettrait fin à tout l'ancien sacerdoce.
"Il y a, dit R. Stier une haute ironie de la providence spéciale de Dieu dans le fait que la sacrificature expirante dut encore annoncer, sans le savoir et sans le vouloir, par la bouche de celui qui en était revêtu, le grand sacrifice d'expiation."