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Josué 1.1

Après la mort de Moïse, le serviteur de l'Eternel, l'Eternel dit à Josué, fils de Nun et assistant de Moïse :

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      Exode 17

      Exode 24

      Nombres 11

      Nombres 12

      Nombres 13

      Deutéronome 1

      Deutéronome 31

      23 Ce passage décrit comment Moïse donna solennellement le livre de la loi aux Lévites, afin qu'ils le placent à côté de l'arche. Le patriarche donna ensuite au peuple, un cantique qui figure au chapitre suivant. Il le rédigea d'abord, inspiré par le Saint-Esprit, puis le communiqua ensuite au peuple.

      Moïse annonça clairement qu'il savait qu'après sa mort, Israël se corromprait totalement. Cet homme, qui avait tant fait pour le peuple, devait être accablé de tristesse ; mais il pouvait se réconforter en estimant avoir accompli son devoir, sachant que Dieu serait finalement glorifié, à la fin de la dispersion d'Israël : si, dans le futur, ce dernier n'était plus en Canaan, les promesses divines à son égard, n'en seraient pas moins immuables.

      Deutéronome 33

      1

      La majesté glorieuse de Dieu. (Deutéronome 33:1-5)
      Les bénédictions des douze tribus. (Deutéronome 33:6-23)
      La force accordée aux croyants. (Deutéronome 33:24,25)
      L'excellence d'Israël. (Deutéronome 33:26-29)

      Moïse prononça une bénédiction solennelle, pour clore L'énoncé de tous les préceptes, avertissements et prophéties préalablement donnés. Le patriarche, tout en donnant la loi, a décrit l'apparence glorieuse de Dieu. Les directives de l'Éternel sont comme le feu : si elles sont acceptées, elles réchauffent l'âme, fondent, purifient et brûlent toutes traces de corruption ; si elles sont rejetées, elles endurcissent le cœur, procurent la souffrance et amènent à la destruction finale.

      Le Saint-Esprit vint ici-bas sous la forme de langues de feu ; l'évangile est aussi une « loi brûlante ». La loi de Dieu, écrite dans les cœurs, est en quelque sorte, une preuve de l'amour divin, répandu ici-bas : nous devons reconnaître la loi de l'Éternel, comme l'un des dons de Sa Grâce !

      Deutéronome 34

      5 Moïse accepte ce dernier commandement, assez particulier, comme il l'avait fait pour les autres, reçus jusqu'à présent. Dans son attitude, il ressemblait à notre Seigneur Jésus-Christ. Mais le patriarche mourut en tout honneur et en paix, de la manière la plus simple, à l'inverse de notre Sauveur, qui connut la honte et la torture de la croix. Moïse mourut assez facilement ; il mourut selon « la Parole de l'Éternel », selon Sa volonté. Les serviteurs de Dieu, arrivés au terme de leur vie de travail, peuvent alors rejoindre enfin le ciel ; ils désirent retrouver leur maison céleste, après avoir été envoyés par le Seigneur dans les différents champs de mission, Actes 21:13.

      L'endroit où Moïse fut enterré est inconnu. Si, lors de la mort, l'âme peut se reposer auprès de Dieu, peu importe où se trouve alors le corps. Les forces du patriarche n'étaient pas affaiblies, ni sa vigueur, ni sa vivacité d'esprit ; ses facultés intellectuelles et sa mémoire étaient intactes. Tous ces agréments n'étaient que la récompense de ses services et de son extraordinaire humilité. Il y eut un deuil solennel à l'occasion de son décès. Les différents handicaps que nous pouvons rencontrer avec l'âge, ne doivent pas nous faire déprimer. Si nous espérons nous réjouir plus tard, dans les cieux, pourquoi irions-nous dans la tombe en nous lamentant ?

      9 Moïse amena les enfants d'Israël aux frontières de Canaan, puis il mourut, délaissant ainsi le peuple. Ce fait nous indique que la loi n'accomplit rien de parfait, Heb 7:19. Elle conduit les hommes dans un « désert de convictions », mais pas dans le « Canaan du repos et de la paix ».

      L'honneur d'entrer en terre promise fut réservé à Josué, « notre Seigneur Jésus », dont il était l'image (le nom est d'ailleurs presque identique), pour accomplir envers nous ce que la loi ne pouvait faire, Romains 8:3. Grâce à notre Sauveur, nous entrons dans le repos spirituel de notre âme, avec la paix céleste éternelle. Moïse était le plus grand de tous les prophètes de l'ancien Testament. Mais notre Seigneur Jésus était encore supérieur, bien plus grand que tous les autres patriarches. Remarquez la forte ressemblance qu'il y a, entre celui qui a racheté les enfants d'Israël et le Rédempteur de l'humanité : Moïse était envoyé par Dieu, pour délivrer les Israélites d'un cruel esclavage ; il les fit sortir d'Égypte, et les conduisit à la conquête de leurs ennemis. Il devint non seulement leur libérateur, mais celui qui leur donna la Loi ; il fut aussi leur juge ; pour finir il les conduisit aux frontières de la terre promise.

      Notre Seigneur vint nous sauver de l'esclavage du mal, pour nous établir dans la liberté et le bonheur. Il vint pour confirmer tous les préceptes moraux donnés au préalable par la loi ; Il les a gravés, non pas sur des tables de pierre, mais dans notre cœur de chair. Il vint pour être notre Juge, dans la mesure où Il a prévu un jour pour juger tous les secrets des hommes, en les punissant ou les récompensant, selon leurs actes.

      Cette grandeur de Christ, face à celle de Moïse, est la raison pour laquelle les chrétiens doivent être obéissants et fidèles à la piété qu'ils sont censés observer, conformément à ce qu'ils ont promis dans leurs vœux : suivre le Seigneur. Que Dieu, dans Sa Grâce, nous donne un tel esprit !

      Josué 12

      1 Rois 19

      2 Rois 3

      2 Rois 4

      2 Rois 5

      Matthieu 20

      Luc 16

      Actes 7

      Actes 13

      Romains 1

      1

      En écrivant aux Romains, l'apôtre semblait vouloir adresser, par son enseignement, des éléments de réponse aux incrédules, tout en instruisant les croyants Juifs ; il voulait également affermir la foi des chrétiens et convertir les païens idolâtres ; de plus, l’écrivain désirait souligner l’égalité des « Gentils » et des Juifs, en ce qui concerne leur condition religieuse et leur place dans la faveur divine.

      Ces buts multiples sont présentés au lecteur, par le biais d’oppositions et de divers raisonnements, tant avec les Juifs, (incrédules ou non), qu’avec les « Gentils ».

      Le chemin de l'acceptation d'un pécheur par Dieu, c'est-à-dire Sa justification, simplement par la Grâce, est clairement affirmé au travers de la foi en la Justice de Christ, sans distinction de nations. Cette doctrine se distingue des objections soulevées par les chrétiens judaïques, partisans de créer des critères d'accession au salut, par un mélange de la loi et de l'Évangile, et pour priver les païens de toute participation aux bénédictions apportées par le Messie. Dans la conclusion de l’épitre, l’auteur incite à la sainteté, par le biais de nombreuses exhortations pratiques.

      * La mission de l'apôtre. (Romains 1:1-7) Il prie pour les saints à Rome, et désire les rencontrer. (Romains 1:8-15) Le chemin de l'Évangile et de la justification par la foi, tant pour les Juifs que pour les Gentils. (Romains 1:16,17) Les péchés des Gentils sont révélés. (Romains 1:18-32)

      Romains 1:1-7 La doctrine enseignée par l'apôtre Paul expose l'accomplissement des promesses faites par les prophètes : il s’agit en fait de Jésus-Christ, le Sauveur, le Messie promis, de la descendance de David, par sa nature humaine, mais déclaré Fils de Dieu, par le pouvoir Divin qui Le ressuscita des morts. La profession chrétienne n’est pas constituée d’une connaissance théorique des Écritures, ni d’un simple consentement à une idéologie, encore moins de vaines discussions, mais uniquement d'obéissance. Seuls ceux qui sont amenés à l'obéissance de la foi peuvent prétendre « appartenir à Jésus-Christ.

      Nous pouvons voir dans ce texte : 1- Le privilège des chrétiens : ils sont les bien-aimés de Dieu, et sont membres du « corps spirituel », lui aussi bien-aimé. 2- Le devoir des chrétiens : ils doivent être saints, (ils sont en effet appelés à le devenir).

      Au début de cette épitre, l'apôtre Paul salue les « bienaimés qui sont à Rome », leur souhaitant la Grâce pour sanctifier leur âme, et la Paix pour consoler leur cœur ; ces deux bénédictions émanent de la Miséricorde divine, du Père, réconcilié avec tous les croyants, par le biais du Seigneur Jésus-Christ !

      Tite 1

      1

      Cette épître contient principalement des directives adressées à Tite, relatives aux anciens de l'église et à la manière dont il doit instruire l’assemblée ; la dernière partie de cette lettre l'exhorte à se soumettre aux magistrats, à pratiquer de bonnes œuvres, à éviter les vaines discussions et à fuir les hérésies.

      Les instructions que l'apôtre a données dans ce texte sont claires. La religion chrétienne n'a pas été fondée pour répondre à des vues mondaines ou égoïstes, mais pour découvrir la sagesse et la puissance de Dieu !

      L'apôtre salue Tite. (Tite 1:1-8). Les qualifications d'un fidèle pasteur. (Tite 1:5-9) Le mauvais esprit et les vaines pratiques des faux docteurs. (Tite 1:10-16)

      Tite 1:1-4 Ne peuvent être des serviteurs de Dieu, que ceux qui ne sont esclaves, ni du péché, ni de Satan. Toute la vérité de l'Évangile réside dans la piété et l'enseignement de la crainte de Dieu. Le but de l'Évangile est de faire naître dans le cœur du croyant, l'espérance, aussi bien que la foi, afin de détacher son esprit du monde, pour se tourner vers les Cieux.

      Quelle excellence trouve-t-on dans l'Évangile, « l'objet » de la promesse divine, dès le commencement, et combien pouvons-nous remercier Dieu pour le privilège que nous avons de pouvoir en disposer librement !

      « La foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Dieu », (Romains 10:17)* ; quiconque est établi et appelé à servir le Seigneur, doit prêcher la Parole.

      La Grâce est la « faveur » gratuite de Dieu, notre adoption. La Grâce et la Miséricorde sont les fruits de la faveur divine, pour le pardon du péché, et la liberté, dans toutes les épreuves du temps présent, et à venir. La paix est le résultat et le fruit de la Miséricorde. Une paix avec Dieu, par le biais de Christ, « notre Paix », une Paix qui réside en notre cœur et avec tous ceux qui nous entourent.

      La Grâce est la source de toutes bénédictions, avec la Miséricorde, la Paix, et tous les biens, en découlent !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jacques 1

      1

      L’épître de Jacques est spirituellement l'un des écrits les plus instructifs du Nouveau Testament.

      Cette épître dénonçant principalement les erreurs particulières rencontrées parmi les chrétiens juifs de cette époque, elle n’a pas le même style doctrinal que les autres écrits du Nouveau Testament, mais présente néanmoins un résumé admirable des devoirs pratiques de tout croyant. On y trouve exposées les principales vérités du Christianisme ; si on les observe avec attention, elles sont en accord total avec les formulations de l’apôtre Paul, quant à la Grâce et à la Justification ; ces vérités comportent également de sérieuses exhortations à la patience, à l'espérance, à l'obéissance, à la foi et à l'amour, le tout entrecoupé d'avertissements, de reproches, et d'encouragements, appropriés à la personnalité des destinataires.

      Les vérités exposées dans ce texte sont pleines de sagesse, et doivent être impérativement observées et pratiquées, même de nos jours. On ne trouve en Christ aucune « branche morte », dépourvue de sève ; la foi n'est pas synonyme d’oisiveté ; où que ce soit, des fruits spirituels doivent se révéler dans les œuvres.

      * Comment rester fidèle à Dieu, au temps de l'épreuve ; comment tenir une bonne conduite dans la prospérité, comme dans les circonstances défavorables. (Jacques 1:1-11) Considérer tout mal, comme procédant de nous-même, et tout bien comme provenant de Dieu. (Jacques 1:12-18) Le devoir de veiller contre un tempérament irréfléchi, et de recevoir la Parole de Dieu avec humilité et soumission. (Jacques 1:19-21) Vivre en conformité à ces exhortations. (Jacques 1:22-25) La différence entre les vaines hypocrisies et la véritable piété. (Jacques 1:26,27)

      Jacques 1:1-11 Le christianisme enseigne aux hommes d’être joyeux dans l'adversité : de tels principes proviennent de l'Amour de Dieu ; les différentes épreuves rencontrées dans l’exercice du devoir, nous apporteront des bénédictions, puis contribueront à l’établissement de notre couronne, dans les cieux.

      Prenons soin, au temps d'épreuve, que ce soit la patience, et non la passion, qui nous anime : quoi qu'il soit dit ou fait, que ce soit la patience qui en soit l’origine. Quand l'œuvre de la patience sera accomplie, elle fournira tout ce qui est nécessaire à notre « course » chrétienne et à notre combat spirituel.

      Nous ne devons pas seulement prier pour que disparaisse toute affliction ; prions pour avoir la sagesse et en faire bon usage. Qui n'a pas besoin de sagesse pour le guider dans l’épreuve, à la fois pour apaiser son propre esprit et pour le diriger dans ses affaires ? Ce texte répond à tout découragement, quand nous allons vers Dieu, convaincus de notre propre faiblesse et de notre folie.

      Si quelqu'un pense de la sorte : « c'est peut être le cas pour d'autres, mais j'estime que cela ne me concerne pas », qu'il sache que la Parole contient cette promesse : « à tous ceux qui demandent, il sera donné. » Un esprit simple et clairvoyant, quant à son intérêt spirituel et éternel, résolu fermement à s’investir pour Dieu, grandira en sagesse, malgré les épreuves et les oppositions rencontrées, il continuera avec ferveur dans la dévotion.

      Quand notre foi s’affermit ou vacille, selon les aléas du moment, nos paroles et nos actes manquent de fermeté. Ceci n'expose pas nécessairement les hommes, au mépris du monde, mais de telles voies ne peuvent plaire à Dieu. Une telle condition de vie n'a pas sa pareille pour entraver toute réjouissance spirituelle en Dieu. Certaine personnes de condition modeste, peuvent se réjouir d’être « riches » dans la foi, convaincues d'hériter du Royaume de Dieu ; le riche peut également se réjouir de traverser des conditions difficiles, elle ne peuvent que le conduire sur le chemin de la piété. La richesse du monde se flétrit inéluctablement : que le riche se réjouisse en la Grâce de Dieu, Celui qui peut le garder dans l’humilité ; cette Grâce lui permettra de traverser les épreuves, et lui apprendra à rechercher la paix en Dieu, au lieu des plaisirs éphémères de ce monde.

      Apocalypse 1

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