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19
Et le sacrificateur adjurera la femme, et lui dira : Si un homme n'a pas couché avec toi, et si tu ne t'es pas détournée et rendue impure en étant avec un autre que ton mari, sois quitte de l'effet de ces eaux amères qui apportent la malédiction.
20
Mais si tu t'es détournée en étant avec un autre que ton mari, et que tu te sois rendue impure, et qu'un autre que ton mari ait couché avec toi :..
21
alors le sacrificateur adjurera la femme avec un serment d'exécration, et le sacrificateur dira à la femme : Que l'Éternel fasse de toi une exécration et un serment, au milieu de ton peuple, l'Éternel faisant dessécher ta hanche et enfler ton ventre ;
24
Et les hommes d'Israël furent accablés ce jour-là. Or Saül avait adjuré le peuple, disant : Maudit soit l'homme qui mangera du pain, jusqu'au soir, et jusqu'à ce que je me sois vengé de mes ennemis ; et, entre tout le peuple, nul ne goûta de pain.
25
Et tout le peuple du pays vint dans une forêt ; et il y avait du miel sur le dessus des champs.
26
Et le peuple entra dans la forêt ; et voici du miel qui coulait ; mais nul ne porta sa main à sa bouche, car le peuple avait peur du serment.
27
Et Jonathan n'avait pas entendu, lorsque son père avait fait jurer le peuple, et il étendit le bout du bâton qu'il avait à la main et le trempa dans un rayon de miel et ramena sa main à sa bouche, et ses yeux furent éclaircis.
28
Et quelqu'un du peuple répondit et dit : Ton père a fait expressément jurer le peuple, en disant : Maudit soit l'homme qui mangera du pain aujourd'hui ! et le peuple était fatigué.
29
Et Jonathan dit : Mon père a troublé le pays. Voyez donc comme mes yeux ont été éclaircis, parce que j'ai goûté un peu de ce miel !
30
Qu'eût-ce été, si le peuple avait aujourd'hui mangé du butin de ses ennemis qu'il a trouvé ? maintenant la défaite des Philistins n'aurait-elle pas été plus grande ?
31
Et ils frappèrent ce jour-là les Philistins, depuis Micmash jusqu'à Ajalon ; et le peuple fut très-fatigué.
32
Et le peuple se jeta sur le butin, et ils prirent du menu et du gros bétail, et des veaux, et ils les égorgèrent sur le sol ; et le peuple les mangeait avec le sang.
33
Et on le rapporta à Saül, en disant : Voici, le peuple pèche contre l'Éternel en mangeant avec le sang. Et il dit : Vous avez agi infidèlement. Roulez à présent vers moi une grande pierre.
34
Et Saül dit : Dispersez-vous parmi le peuple, et dites-leur : Amenez-moi chacun son boeuf et chacun son mouton, et égorgez-les ici et mangez ; et ne péchez pas contre l'Éternel en mangeant avec le sang. Et, cette nuit-là, tout le peuple amena chacun son boeuf à la main, et ils les égorgèrent là.
35
Et Saül bâtit un autel à l'Éternel ; ce fut le premier autel qu'il bâtit à l'Éternel.
36
Et Saül dit : Descendons de nuit après les Philistins, et pillons-les jusqu'à la lumière du matin, et n'en laissons pas un homme de reste. Et ils dirent : Fais tout ce qui est bon à tes yeux. Et le sacrificateur dit : Approchons-nous ici de Dieu.
37
Et Saül interrogea Dieu : Descendrai-je après les Philistins ? Les livreras-tu en la main d'Israël ? Et il ne lui répondit pas ce jour-là.
38
Et Saül dit : Approchez ici, vous tous les principaux du peuple, et sachez et voyez comment ce péché est arrivé aujourd'hui ;
39
car l'Éternel qui a sauvé Israël est vivant, que si c'était par Jonathan, mon fils, il mourra certainement ! Et personne de tout le peuple ne lui répondit.
40
Et il dit à tout Israël : Vous, soyez d'un côté, et moi et Jonathan, mon fils, nous serons de l'autre côté. Et le peuple dit à Saül : Fais ce qui est bon à tes yeux.
41
Et Saül dit à l'Éternel, le Dieu d'Israël : Donne un sort parfait. Et Jonathan et Saül furent pris, et le peuple échappa.
42
Et Saül dit : Jetez le sort entre moi et Jonathan, mon fils. Et Jonathan fut pris.
43
Et Saül dit à Jonathan : Déclare-moi ce que tu as fait. Et Jonathan le lui déclara, et dit : Je n'ai que goûté un peu de miel avec le bout du bâton que j'avais à la main, et voici, je meurs !
44
Et Saül dit : Que Dieu me fasse ainsi, et ainsi y ajoute, si tu ne meurs certainement, Jonathan !
45
Et le peuple dit à Saül : Jonathan, qui a opéré cette grande délivrance en Israël, mourra-t-il ? Qu'ainsi n'advienne ! L'Éternel est vivant, s'il tombe à terre un des cheveux de sa tête ! car il a opéré avec Dieu aujourd'hui. Et le peuple délivra Jonathan, et il ne mourut pas.
46
Et Saül remonta de la poursuite des Philistins, et les Philistins s'en allèrent en leur lieu.
34
De son temps, Hiel, le Béthélite, bâtit Jéricho ; il la fonda sur Abiram, son premier-né, et posa ses portes sur Segub, son plus jeune fils, selon la parole de l'Éternel, qu'il avait dite par Josué, fils de Nun.
16
Et le roi lui dit : Combien de fois t'adjurerai-je de ne me dire que la vérité au nom de l'Éternel ?
4
Si Édom dit : Nous sommes détruits, mais nous rebâtirons ce qui est ruiné, -ainsi dit l'Éternel des armées : Ils bâtiront, mais moi, je renverserai, et on les appellera contrée de méchanceté, et le peuple contre lequel l'Éternel est indigné à toujours.
63
Mais Jésus garda le silence. Et le souverain sacrificateur, répondant, lui dit : Je t'adjure, par le Dieu vivant, que tu nous dises si toi, tu es le Christ, le Fils de Dieu.
13
Mais quelques-uns aussi des Juifs exorcistes qui couraient çà et là, essayèrent d'invoquer le nom du Seigneur Jésus sur ceux qui avaient des esprits malins, disant : Je vous adjure par Jésus que Paul prêche.
Jéricho, déchue désormais de la position importante qu'elle avait occupée jusqu'alors à proximité des gués du Jourdain, devait rester ouverte à tous. Ses fortifications, qui venaient de s'écrouler, ne devaient pas être relevées. L'exécration du serment de Josué atteignait, non celui qui le premier habiterait de nouveau dans ce lieu ; Jéricho fut rebâtie quelque temps après (2Samuel 10.5) ; mais l'homme qui en relèverait les murailles et en poserait les portes. La malédiction prononcée par Josué frappa Hiel, de Béthel (1Rois 16.31).
La critique croit reconnaître dans ce récit deux narrations combinées en une. D'après la première l'armée entoure la ville pendant sept jours, une fois chaque jour, les six premières fois en silence et la septième avec cris de guerre. D'après la seconde l'arche et les sacrificateurs avec les trompettes, précédés d'une partie de l'armée et suivis de l'autre, font le tour de la ville sept fois le même jour, et la septième fois, au signal des trompettes, poussent le cri de guerre : sur quoi les murailles s'écroulent. Mais avant de nous prononcer sur la réalité de cette différence entre les deux documents, il importerait que nous les eussions tous deux complètement sous les yeux, puisque nous ne pouvons savoir ce que le rédacteur a retranché, du récit de l'un pour faire place à celui de l'autre. Et dans tous les cas ces différences ne seraient que secondaires, même si elles étaient réelles, et ne feraient que mieux ressortir l'unité fondamentale des deux traditions qui garantissent le fait principal.