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Luc 23.3

Alors Pilate l’interrogea : —Es-tu le roi des *Juifs ? lui demanda-t-il. —Tu le dis toi-même, lui répondit Jésus.
Et Pilate l'interrogea, disant : ss-tu le Roi des Juifs ? Et [Jésus] répondant, lui dit : tu le dis.
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      Matthieu 27

      11 N'ayant aucun grief contre Jésus, Pilate Le pressa de se disculper, cherchant à Le libérer. Le message que lui fit parvenir son épouse était un véritable avertissement.

      Dieu dispose de nombreux moyens pour avertir les pécheurs, quant à leurs activités coupables, et c'est une grande miséricorde de recevoir de tels signes de la Providence, par le biais d’amis fidèles, ou de notre propre conscience. « Oh ! Ne fais pas cette chose abominable que hait le Seigneur » ! C'est ce type de message que nous pouvons entendre, quand nous sommes tentés, si du moins nous voulons seulement y prêter attention.

      Étant influencé par les sacrificateurs, le peuple fit le choix de libérer Barabbas. Les multitudes qui choisissent les tentations du monde, plutôt que Dieu, en tant que souverain, se fient ainsi sur leurs propres illusions. Les Juifs désiraient tellement la mort de Christ, que Pilate pensa qu'il serait dangereux de refuser cette crucifixion. Cette lutte, dans le cœur du gouverneur, montre bien le pouvoir de la conscience, même sur les hommes les plus endurcis. Cependant tout se déroula pour qu'il soit évident que Christ souffre, non pour une faute personnelle, mais pour les péchés de Son peuple.

      En fait, il était vain pour Pilate de compter se libérer de la culpabilité du sang innocent de ce juste, lui qui par sa fonction était sensé le protéger ! La malédiction que les Juifs provoquèrent alors, par la retombée sur eux du sang innocent, eut un terrible accomplissement, dans la souffrance de leur nation.

      Nul ne peut porter le péché d’autrui, à l'exception de Celui qui n'avait à répondre d'aucun péché. Ne sommes-nous pas tous concernés ? Est-ce que Barabbas n'est pas « préféré » à Jésus, lorsque les pécheurs repoussent le salut, afin de pouvoir retenir leurs péchés si chers, péchés qui ternissent la Gloire divine, et qui meurtrissent leur âme ?

      Le bénéfice du sang de Christ est maintenant pour nous, en bien, au travers de Sa Miséricorde, à cause du refus initial qu'en ont fait les Juifs. Oh ! Puissions-nous y chercher refuge !

      Marc 15

      Luc 1

      Luc 19

      Luc 22

      Luc 23

      Jean 1

      Jean 18

      33 « Es-tu le roi des Juifs ? Ce roi des Juifs qui a été depuis si longtemps attendu ? Es-tu le Messie, le Prince ? Ou est-ce que tu te donnes toi-même ce nom » ? Christ répondit à cette question par une autre ; non pour se dérober, mais pour que Pilate puisse pleinement considérer Son ministère ici-bas.

      Jésus ne s'est jamais réclamé d'une puissance terrestre ; jamais la moindre traîtrise ni pratique frauduleuse n'ont été trouvées en Lui. Il donna un aperçu de Son Royaume. Sa nature est différente de celle du monde ; il s’agit d’un Royaume qui se trouve au sein des hommes, « placé » dans leur cœur et leur conscience ; la richesse spirituelle du Seigneur, Son pouvoir et Sa Gloire y sont contenus. Les soutiens dont Il dispose ne sont pas de ce monde ; Ses armes sont spirituelles ; Il n'éprouve aucun besoin, Il n'utilise pas la force pour Se maintenir et avancer, et Il n'est opposé à aucun royaume si ce n'est celui du péché et de Satan. Sa nature et Sa conception ne sont pas de ce monde.

      Quand Christ annonce : « Je suis la Vérité », cela signifie : « Je suis Roi ». Il convainc par les évidences de la Vérité ; Il gouverne par le pouvoir dirigeant de cette dernière. Les sujets de ce Royaume appartiennent à cette Vérité.

      Pilate posa une question intéressante : « Qu'est-ce que la vérité » ? Quand nous sondons l'Écriture, et que nous sommes attentifs au ministère de la Parole, nous devons nous poser cette même question : « Qu'est-ce que la vérité » ? Accompagnée de cette prière : « conduis-moi dans Ta Vérité, toute Ta Vérité ». Hélas, parmi ceux qui se posent cette question, beaucoup n'ont pas la patience de persévérer dans cette recherche de la Vérité, ou n’ont pas assez d'humilité pour recevoir la réponse.

      Par cette déclaration solennelle de ce texte, relative à l'innocence de Christ, il apparaît que bien que le Seigneur Jésus ait été traité comme le pire des malfaiteurs : jamais Il n'a mérité le traitement infâme qu’Il a subi. Cela révèle également le cheminement vers Sa mort : Il est mort en Sacrifice pour nos péchés.

      Pilate était désireux de plaire à tous ; il était davantage gouverné par la « sagesse » du monde que par les règles de la justice. Le péché est une sorte de voleur, cependant il est choisi sottement par de nombreuses personnes qui le préfèrent à Christ, qui Lui, désire vraiment nous sauver spirituellement.

      Efforçons-nous de confondre nos accusateurs comme Christ le faisait ; méfions-nous de ne pas « crucifier » Christ à nouveau.

      Jean 19

      19 Nous trouvons dans ce texte quelques détails particuliers, relatifs à la mort de Jésus ; ils y sont mieux relatés que dans les autres évangiles.

      Pilate n'a pas voulu céder au désir des principaux sacrificateurs, en permettant que l’inscription au dessus de Jésus soit modifiée ; cela manifestait indubitablement le pouvoir secret de Dieu sur son cœur, de façon à ce que cette formulation du caractère de notre Seigneur et de Son autorité, puisse être perpétrée.

      De nombreux actes exécutés par les soldats romains furent en fait l’accomplissement de prophéties de l'Ancien Testament. Tout ce qui a été écrit s’est accompli !

      Avant Sa mort, Christ eut une pensée d’affection pour sa mère. Quand Dieu nous prive parfois d’un certain réconfort, Il nous en accorde un autre, auquel nous ne nous attendions pas. Cette parole de Jésus, au sujet de Sa mère, nous convie à honorer nos parents, durant leur vivant et même à respecter leur mémoire quand ils sont dans l’au delà ; Il nous enseigne aussi de pourvoir à leurs besoins, et à assurer leur bien-être par tous les moyens possibles.

      Observons spécialement la dernière parole de Jésus, juste avant qu’Il n'expire : « Tout est accompli » ; cela signifie que les décisions de Dieu relatives aux souffrances de Son Fils, sont désormais réalisées. En cette simple phrase, toutes les prophéties de l'Ancien Testament, concernant la souffrance du Messie ont été accomplies : - La loi, avec toutes ses cérémonies, est abolie ; - La Lumière est venue ici-bas, toutes les « ombres » du péché ont été chassées. - Le châtiment que nous méritions par nos transgressions, fait place à la Justice éternelle. - Les souffrances de Jésus sont désormais terminées : celles de Son âme, comme celles de Son corps. - L'œuvre de la rédemption de l'homme et de son salut est désormais achevée.

      La vie de Christ ne lui a pas été prise de force : Il l'a offerte librement !

      1 Timothée 6

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