Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
19
Alors, les disciples vinrent questionner Jésus à l’écart de la foule : — Pourquoi nous autres n’avons-nous pas réussi à chasser ce démon ?
20
Parce que vous n’avez pas assez de foi, leur répondit-il. Car, vraiment, je vous l’assure : si vous aviez la foi, même si elle n’était pas plus grosse qu’un grain de moutarde, vous pourriez commander à cette montagne : « Déplace-toi d’ici jusque là-bas », et elle le ferait. Rien ne vous serait impossible.
40
J’ai demandé à tes disciples de le chasser, mais ils n’y ont pas réussi.
16
Et c’est parce que nous croyons dans le nom de Jésus, que la puissance de ce nom a rendu à cet homme que vous voyez et que vous connaissez, la force de se tenir debout. Oui, c’est la foi que Jésus lui-même inspire qui vient d’opérer, sous vos yeux, chez cet homme, une parfaite guérison, de sorte que vous le voyez devant vous, complètement rétabli.
15
Mais l’esprit malin leur répondit : — Jésus ? Je le connais. Paul, je sais qui c’est. Mais vous, qui êtes-vous ?
16
Là-dessus, l’homme qui avait ces mauvais esprits en lui se jeta sur eux, en maîtrisa deux et les malmena avec tant de violence qu’ils parvinrent à grand-peine à s’enfuir de la maison, roués de coups et les vêtements en lambeaux.
Quel émouvant contraste entre la gloire de la montagne et cette scène de douleur ! C'est le ciel et la terre.
Ce contraste, Raphaël l'a admirablement reproduit dans son tableau de la transfiguration.
Les trois premiers évangiles le font vivement ressortir en suivant le même ordre dans leurs récits. Marc (Marc 9.14-29) peint avec le plus grand détail et de la manière la plus vivante le misérable état de ce jeune malade et la douleur de son père. (Voir les notes.)
Les symptômes mentionnés dans les trois évangiles (il tombe souvent, "il écume," Marc) semblent indiquer que le jeune homme était épileptique. De plus, le père avait cru remarquer que les phases de la lune exerçaient une influence sur la maladie de son fils (lunatique).
On comprend que les disciples n'eussent pu guérir une maladie aussi invétérée, dont le jeune homme était affligé dès son enfance. (Marc 9.21) Cela n'avait fait qu'augmenter les angoisses du père.