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29
Et il dit à Guéhazi : Trousse tes reins, prends mon bâton en ta main, et t'en va ; si tu trouves quelqu'un, ne le salue point ; et si quelqu'un te salue, ne lui réponds point ; puis tu mettras mon bâton sur le visage de l'enfant.
30
Mais la mère de l'enfant dit : L'Eternel est vivant, et ton âme est vivante, que je ne te laisserai point ; il se leva donc, et s'en alla après elle.
31
Or Guéhazi était passé devant eux, et avait mis le bâton sur le visage de l'enfant ; mais il n'y eut en cet enfant ni voix, ni apparence qu'il eût entendu ; ainsi [Guéhazi] s'en retourna au devant d'Elisée, et lui en fit le rapport, en disant : L'enfant ne s'est point réveillé.
16
Et je l'ai présenté à tes Disciples ; mais ils ne l'ont pu guérir.
19
Alors les Disciples vinrent en particulier à Jésus, et lui dirent : pourquoi ne l'avons-nous pu jeter dehors ?
20
Et Jésus leur répondit : c'est à cause de votre incrédulité : car en vérité je vous dis, que si vous aviez de la foi, aussi gros qu'un grain de semence de moutarde, vous diriez à cette montagne : transporte-toi d'ici là, et elle s'y transporterait ; et rien ne vous serait impossible.
40
Or j'ai prié tes Disciples de le chasser dehors, mais ils n'ont pu.
16
Et par la foi en son nom, son Nom a raffermi [les pieds de] cet homme que vous voyez et que vous connaissez ; la foi, dis-je, que [nous avons] en lui, a donné à celui-ci cette entière disposition de tous ses membres, en la présence de vous tous.
15
Mais le malin esprit répondant, dit : je connais Jésus, et je sais qui est Paul ; mais vous, qui êtes-vous ?
16
Et l'homme en qui était le malin esprit, sauta sur eux, et s'en étant rendu le maître, les traita si mal, qu'ils s'enfuirent de cette maison tout nus et blessés.
Quel émouvant contraste entre la gloire de la montagne et cette scène de douleur ! C'est le ciel et la terre.
Ce contraste, Raphaël l'a admirablement reproduit dans son tableau de la transfiguration.
Les trois premiers évangiles le font vivement ressortir en suivant le même ordre dans leurs récits. Marc (Marc 9.14-29) peint avec le plus grand détail et de la manière la plus vivante le misérable état de ce jeune malade et la douleur de son père. (Voir les notes.)
Les symptômes mentionnés dans les trois évangiles (il tombe souvent, "il écume," Marc) semblent indiquer que le jeune homme était épileptique. De plus, le père avait cru remarquer que les phases de la lune exerçaient une influence sur la maladie de son fils (lunatique).
On comprend que les disciples n'eussent pu guérir une maladie aussi invétérée, dont le jeune homme était affligé dès son enfance. (Marc 9.21) Cela n'avait fait qu'augmenter les angoisses du père.