ParamĂštres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'Ă©criture
Taille de texte

Merci Ă  Bibles et Publications ChrĂ©tiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Matthieu 19.18

L’homme lui dit : « Quels commandements ? » JĂ©sus rĂ©pond : « Ne tue personne. Ne commets pas d’adultĂšre. Ne vole pas. Ne tĂ©moigne pas faussement contre quelqu’un.
λέγΔÎč Î±áœÏ„áż·Î‡ Î ÎżÎŻÎ±Ï‚; ᜁ ÎŽáœČ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ ΔጶπΔΜ· ΀᜞ Οᜐ Ï†ÎżÎœÎ”ÏÏƒÎ”Îčς, Οᜐ ÎŒÎżÎčχΔύσΔÎčς, Οᜐ ÎșλέψΔÎčς, Οᜐ ÏˆÎ”Ï…ÎŽÎżÎŒÎ±ÏÏ„Ï…ÏÎźÏƒÎ”Îčς,
Et Jésus répondit : Tu ne tueras point ; tu ne commettras point d'adultÚre ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; honore ton pÚre et ta mÚre ;
He said to him, "Which ones?" Jesus said, "'You shall not murder.' 'You shall not commit adultery.' 'You shall not steal.' 'You shall not offer false testimony.'
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidĂ©os ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Exode 20

      12 Les commandements de la deuxiĂšme table, les six derniers des dix commandements, dĂ©crivent quel doit ĂȘtre notre devoir, pour nous mĂȘme et vis-Ă -vis des autres ; ils mentionnent le fameux commandement : « tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme », Luc 10:27. La piĂ©tĂ© et l'honnĂȘtetĂ© doivent aller de pair.

      Le cinquiÚme commandement concerne les devoirs que nous avons vis-à-vis de nos parents. Le fait d'honorer pÚre mÚre, doit démontrer par notre conduite, notre estime et notre obéissance à leur égard ; quand vos parents vous appellent, répondez leur ; quand ils vous envoient accomplir une tùche, faites ce qu'ils vous demandent, abstenez-vous de ce qu'ils vous interdisent ; faites tout cela en tant qu'enfant, dans la joie et dans l'amour. Soyez également soumis à leurs conseils et à leurs recommandations. Efforcez-vous de réconforter en tous points vos parents, donnez-leur une vieillesse paisible ; soutenez-les quand ils sont dans le besoin, ce que le Seigneur recommande particuliÚrement, Matthieu 15:4-6. Beaucoup de personnes ont remarqué que l'on était particuliÚrement béni en obéissant à ses parents, et que la malédiction accompagnait les enfants indisciplinés.

      Le sixiĂšme commandement indique que l'on doit se prĂ©occuper de la vie et du bien-ĂȘtre des autres comme nous le faisons pour nous-mĂȘmes. Les magistrats et les fonctionnaires sont instituĂ©s pour faire valoir la vĂ©rité : ne cherchez pas Ă  les contrecarrer. L'autodĂ©fense est lĂ©gitime ; mais beaucoup de meurtriers innocentĂ©s par la loi des hommes, ne le sont pas devant Dieu. Les passions dĂ©mesurĂ©es, provoquĂ©es par la colĂšre ou l'alcool, n'ont aucune excuse ; elles conduisent au meurtre et lors des duels, elles ne font que rĂ©vĂ©ler l'arrogance des hommes et leur esprit de vengeance. Tous les combats, mĂȘme ceux accomplis par les mercenaires, ne sont que le rĂ©sultat de la colĂšre et de la malice : ils rompent le sixiĂšme commandement ; tous les carnages sont en fait des meurtres. Il en est ainsi pour tout ce qui pousse les hommes au vice et au crime. La mauvaise conduite corrompt le cƓur, elle pousse rapidement les parents vers le trĂ©pas, comme d'ailleurs les Ă©pouses et autres membres d'une famille : toutes ces choses rompent ce sixiĂšme commandement. Ce dernier interdit les mauvaises envies, la haine ou la colĂšre, toute insulte. Il condamne le suicide. Il rĂ©clame un esprit bienveillant et patient, qui sait aussi pardonner.

      Le septiĂšme commandement concerne la chastetĂ©. Nous devrions ĂȘtre effrayĂ©s par toutes les « vilenies » qui s'attaquent au corps humain : elles ne font que le dĂ©truire. Quels que puissent ĂȘtre les errements de notre imagination polluĂ©e, animĂ©e par nos passions, ils ne font que rompre ce commandement : il en est ainsi pour toutes les images impures, les livres, les conversations douteuses et toute autre forme de dĂ©viations.

      Le huitiĂšme commandement est celui de l'amour, celui du respect de la propriĂ©tĂ© des autres. Ce que nous possĂ©dons ici-bas, mĂȘme acquis dans l'honnĂȘtetĂ©, reprĂ©sente le « pain » que Dieu nous a donné ; nous devrions nous en contenter et ĂȘtre reconnaissants : sachons ainsi faire preuve de confiance en la Providence divine. Quand nous dĂ©tournons notre regard de nos voisins, lorsqu'ils sont dans la nĂ©cessitĂ©, nous enfreignons la loi divine ; c'est un fait courant dans notre sociĂ©tĂ© d'aujourd'hui. Les « pillages » en tous genres, mĂȘme ceux qui sont effectuĂ©s sous le couvert de la justice humaine, vont Ă©galement contre ce commandement. La fraude, les emprunts effectuĂ©s sans perspective de remboursement, les non-paiements de dettes, l'extravagance, les abus, les extorsions d'argent aux pauvres, toutes ces choses s'opposent au huitiĂšme commandement. Offrons notre savoir-faire, dans un esprit de simplicitĂ© et dans le contentement, au service des autres, comme nous voudrions qu'ils le fassent Ă  notre Ă©gard.

      Le neuviĂšme commandement est relatif Ă  notre attitude vis-Ă -vis de nos voisins. Ce commandement interdit toute mĂ©disance, sous quelque forme que ce soit, toute parole Ă©quivoque qui pourrait « salir » notre prochain. DĂ©nigrer notre voisin ne peut que nuire Ă  sa rĂ©putation. Porter un faux tĂ©moignage contre lui, le calomnier, ou l'attaquer par notre mĂ©disance, tous ces actes rompent le neuviĂšme commandement ; il en est de mĂȘme pour celui qui dĂ©forme la vĂ©ritĂ©, qui s'efforce de salir la rĂ©putation de son prochain, ne cherchant que sa ruine. Combien de fois ce commandement est bafouĂ© chaque jour, par des personnes de tout rang, de toute nature !

      Le dixiÚme commandement s'attaque à la racine du mal : « tu ne convoiteras pas ». Les commandements précédents prohibaient tous les mauvais désirs envers notre prochain ; celui-ci interdit toute convoitise malsaine.

      Deutéronome 5

      Matthieu 5

      21 Les docteurs juifs enseignaient que rien n’était interdit dans le sixiĂšme commandement, Ă  l’exception du meurtre. En fait, ils Ă©taient loin de la signification spirituelle de ce commandement. Christ en a montrĂ© la pleine signification : le fait de savoir que nous devrons ĂȘtre jugĂ©s plus tard, doit influencer notre conduite actuelle.

      Toute colĂšre irrĂ©flĂ©chie est en rĂ©alitĂ© un « meurtre » du cƓur. Par le terme « frĂšre », mentionnĂ© au verset Matthieu 5:22*, nous devons comprendre toute personne, mĂȘme si elle n'est pas de notre parentĂ©, car nous sommes tous faits de la mĂȘme maniĂšre.

      « Raca », est une parole pleine de mĂ©pris, elle est profĂ©rĂ©e par l’orgueil ; le mot « insensé », quant Ă  lui, exprime la rancune, la haine en est l’origine. Les calomnies et les accusations malveillantes sont des poisons lents et sournois. Christ dit Ă  ces Juifs, que le peu d’importance qu'ils attachaient Ă  ces pĂ©chĂ©s, les amĂšnerait certainement en jugement, afin que justice soit faite.

      Nous devons veiller Ă  ĂȘtre en paix avec tous nos frĂšres et leur manifester un amour qui soit digne de Christ ; si parfois il y a querelle, suite Ă  une mauvaise parole ou conduite, nous devons alors confesser rapidement notre manquement, en nous humiliant devant notre frĂšre ; si nous persistons Ă  rester sur nos positions, nous sommes « indignes » d’une sainte communion avec Dieu, conformĂ©ment Ă  Ses saintes Ordonnances.

      Quand nous nous prĂ©parons Ă  rencontrer spirituellement le Seigneur, il est bon de nous examiner nous-mĂȘmes au prĂ©alable. Les paroles de ce texte peuvent parfaitement s’appliquer Ă  notre propre existence, en ce qui concerne notre rĂ©conciliation avec Dieu, par le biais de Christ !

      Tant que nous sommes en vie, ici-bas, nous sommes sur le « chemin du TrÎne du Jugement » ; aprÚs notre mort tout sera consommé...

      Quand nous considĂ©rons toute l'importance de cet enseignement, conjuguĂ© Ă  l’incertitude de la vie, nous devons mesurer combien il est nĂ©cessaire de rechercher sans tarder, la Paix avec Dieu !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      27 Toute victoire sur les dĂ©sirs du cƓur, est souvent synonyme d'efforts douloureux : on doit tendre cependant Ă  « courir vers ce but ».

      Toute directive cĂ©leste nous est donnĂ©e en vue de nous sauver DE nos pĂ©chĂ©s, mais pas DANS nos pĂ©chĂ©s. Tous nos sens et notre Ă©nergie doivent ĂȘtre prĂ©servĂ©s de ce qui conduit Ă  la transgression.

      Ceux qui mĂšnent les autres vers la tentation et le pĂ©chĂ©, que ce soit par leur conduite ou divers moyens, ou qui les laissent s’exposer Ă  l’iniquitĂ©, se rendent eux-mĂȘmes coupables de leur pĂ©chĂ©, et seront indirectement tenus pour responsables.

      Si nous devons parfois passer par des Ă©preuves douloureuses, dans le but de sauver notre vie, combien notre esprit ne devrait-il pas ĂȘtre attentif au salut de notre Ăąme ? Dans tout plan divin conçu notre Ă©gard, l’Esprit, le Consolateur, nous rendra capable de discerner la MisĂ©ricorde et la GrĂące du Seigneur.

      Matthieu 19

      Marc 10

      Luc 18

      Romains 13

      8 Les chrĂ©tiens doivent Ă©viter toute dĂ©pense inutile, et doivent veiller Ă  ne pas contracter des dettes qu'ils seront incapables de rembourser. Ils doivent aussi se tenir Ă©loignĂ©s de toute spĂ©culation aventureuse et engagement irrĂ©flĂ©chi, qui pourraient gravement compromettre l’acquittement de leurs dettes Ă©ventuelles.

      Ne soyez « en dette » envers personne. Donnez Ă  chacun ce qui lui appartient. Ne dĂ©pensez pas ce que vous devez aux autres. Beaucoup de personnes peu scrupuleuses, ne pensent guĂšre aux tristes consĂ©quences de l’endettement.

      L'amour pour les autres inclut tous les devoirs de la loi. Les cinq derniers des dix commandements sont tous rĂ©sumĂ©s dans cette loi royale : « tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme » ; cela signifie qu’il faut l’aimer avec la mĂȘme sincĂ©ritĂ© qu’on a pour soi-mĂȘme, bien qu’il ne s’agisse pas d’une mĂȘme mesure et d’un mĂȘme degrĂ©. Celui qui aime son prochain comme lui-mĂȘme, dĂ©sirera son bien-ĂȘtre. Cette rĂšgle d'or est fondĂ©e sur ce principe : faire aux autres ce que nous voudrions qui nous soit fait !

      L'amour est un principe vivant et actif de l'obĂ©issance Ă  la loi entiĂšre. Nous devons Ă©viter de blesser notre prochain, de nuire Ă  nos relations avec lui, Ă  ce qu’il possĂšde ; efforçons-nous aussi de ne pratiquer aucune sorte de mal envers quiconque, de veiller Ă  nous rendre utile, en toutes circonstances ici-bas !

      Galates 3

      Jacques 2

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légÚres variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.