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Matthieu 21.17

Puis il les quitta et sortit de la ville pour se rendre Ă  BĂ©thanie, oĂč il passa la nuit.

Puis il les laissa et sortit de la ville pour aller Ă  BĂ©thanie oĂč il passa la nuit.
He left them, and went out of the city to Bethany, and lodged there.
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      Jérémie 6

      Osée 9

      Matthieu 16

      Matthieu 21

      Matthieu 26

      6 Le fait de verser ce parfum sur la tĂȘte de Christ Ă©tait le tĂ©moignage du plus haut respect Ă  Son Ă©gard.

      Si le cƓur d’une personne possĂšde un vĂ©ritable amour pour JĂ©sus-Christ, rien ne sera considĂ©rĂ© comme trop beau pour Lui ĂȘtre offert. Plus les serviteurs de Christ sont remis en cause quant Ă  leur service, plus le Seigneur manifeste Son approbation Ă  leur Ă©gard.

      L’acte de foi et d'amour de cette femme, Ă©tait si remarquable, qu'il mĂ©ritait d’ĂȘtre rapportĂ© dans l’évangile : il ressemble Ă  la foi et Ă  l'amour de Marie, toujours restĂ©e discrĂšte durant le ministĂšre de JĂ©sus. En tous lieux oĂč l'Ă©vangile devait ĂȘtre prĂȘchĂ©, cette histoire devait ĂȘtre relatĂ©e. Cette prophĂ©tie est accomplie !

      Marc 3

      Marc 11

      1

      L'entrée triomphante de Christ, dans Jérusalem. (Marc 11:1-11). Le figuier stérile est maudit, le temple est remis en ordre. (Marc 11:12-18). La priÚre de la foi. (Marc 11:19-26). Les sacrificateurs et les anciens posent des questions relatives à Jean-Baptiste. (Marc 11:27-33).

      L’entrĂ©e si remarquable de Christ dans JĂ©rusalem, montre qu'Il n'avait pas peur du pouvoir ni de la ruse de Ses ennemis. Cela a dĂ» encourager Ses disciples, remplis de crainte. JĂ©sus, Ă©galement, n'Ă©tait pas inquiet Ă  la pensĂ©e de Ses souffrances imminentes. Tous remarquĂšrent Son humilitĂ©, et ces faits nous enseignent Ă  ne pas ĂȘtre obnubilĂ© par ce qui est Ă©levĂ©, mais plutĂŽt de consentir Ă  ce qui est modeste. Qu’il est malsain pour des chrĂ©tiens de convoiter le faste, alors que Christ Ă©tait si loin de le rĂ©clamer !

      Plusieurs souhaitÚrent la bienvenue à Jésus : « béni soit Celui qui vient », « Celui qui devait venir », si souvent promis, si longtemps attendu ! Il vient au nom du Seigneur. Qu'Il reçoive notre plus profonde affection, Il est un Sauveur béni, Il nous apporte des bénédictions et béni soit Celui qui l'envoie ! Louanges soient à notre Dieu qui est dans les cieux trÚs hauts, au dessus de tout ; Il est notre Dieu béni pour toujours !

      19 Les disciples ne parvenaient pas Ă  comprendre pourquoi ce figuier s’était dessĂ©chĂ© aussi rapidement ; en fait, tous ceux qui rejettent Christ se « dessĂšchent » ; ce figuier reprĂ©sentait l'Ă©tat de l'Ă©glise juive...

      Nous ne devrions pas suivre une religion qui ne nous rend pas productif de bonnes Ɠuvres. Christ enseigna Ă  Ses disciples les consĂ©quences de la priĂšre faite avec foi. On devrait vraiment recourir Ă  cette « puissance », que revĂȘt chaque vĂ©ritable chrĂ©tien, puissance qui fait des merveilles dans le domaine spirituel. La foi nous justifie, elle dĂ©place Ă©galement les « montagnes » de la culpabilité qui ne pourront ainsi jamais dresser de jugement contre nous. La foi purifie notre cƓur, dĂ©place aussi les montagnes de la corruption, elle les clarifie devant la GrĂące de Dieu.

      Nous avons une grande mission, face au trĂŽne de la GrĂące : prier pour le pardon de nos pĂ©chĂ©s ; cela devrait ĂȘtre notre prĂ©occupation permanente !

      Luc 8

      Luc 10

      38 Le fait qu’un sermon soit prĂȘchĂ© dans une maison ordinaire ne le rend pas mauvais pour autant ; quand nos amis nous visitent, on doit tout faire pour que leur Ăąme en tire du bĂ©nĂ©fice. Quand on est « assis » spirituellement aux pieds du Seigneur, cela rĂ©vĂšle un empressement Ă  recevoir Sa parole, et une soumission Ă  Ses commandements.

      Marthe Ă©tait occupĂ©e Ă  recevoir JĂ©sus et ceux qui Ă©taient venus avec lui. Cette attitude nous montre le respect qu’elle avait envers notre Seigneur JĂ©sus et en mĂȘme temps le souci des affaires de la maison. Mais sa conduite Ă©tait quelque peu blĂąmable : elle montrait trop de zĂšle dans son service, elle y consacrait toute son Ă©nergie, ne recherchant que la perfection.

      Les affaires du monde peuvent nous « piĂ©ger », si elles sont une entrave au service de Dieu, et si elles nuisent au bien de notre Ăąme. Que de temps utile est parfois gaspillĂ©, combien de dĂ©penses sont parfois inadĂ©quates, mĂȘme pour accueillir des serviteurs de l'Ă©vangile !

      Bien que Marthe soit quelque peu fautive, elle manifestait cependant une grande dévotion, et sa conduite générale n'a jamais failli.

      La faveur divine est nécessaire à notre bonheur ; le salut de Christ est nécessaire à notre « sécurité » spirituelle. Quand cela est bien compris, toutes les autres tùches seront accomplies convenablement !

      Christ a dĂ©clarĂ© que Marie avait choisi la bonne part. Pour elle, le nĂ©cessaire a Ă©tĂ© accompli : se placer sous la « houlette » de Christ. Lors de notre dĂ©part dans l’au-delĂ , tout ce qui nous appartient ici-bas nous sera enlevé ; par contre, rien ne nous sĂ©parera de l'Amour de Christ ! Les hommes et les dĂ©mons ne peuvent pas nous ĂŽter cet Amour, cela serait contraire Ă  la VolontĂ© divine.

      Accomplissons avec diligence l’essentiel et le nĂ©cessaire de notre tĂąche !

      Luc 19

      Luc 24

      50 \\ #50-53\\ Christ se rendit Ă  BĂ©thanie, Ă  proximitĂ© de la Montagne des Oliviers, prĂšs du jardin de GethsĂ©manĂ©, lĂ  oĂč Ses souffrances avaient commencé : Il Ă©tait alors Ă  l’agonie.

      Ceux qui dĂ©sirent aller au ciel, doivent y monter Ă  partir de la « maison des souffrances et des peines de la repentance ». Les disciples n’ont pas vu sortir JĂ©sus du tombeau ; Sa rĂ©surrection pouvait leur ĂȘtre prouvĂ©e par le fait qu'ils Le virent vivant, plus tard ; ils l'ont par contre vu monter au ciel ! Ils ne pouvaient avoir de meilleure preuve de Sa rĂ©surrection !

      JĂ©sus leva les mains et bĂ©nit Ses disciples. Il n'est pas parti avec un sentiment de tristesse, mais avec amour : Il a laissĂ© derriĂšre Lui Sa bĂ©nĂ©diction. Il est montĂ© au ciel de la mĂȘme façon qu'Il est ressuscitĂ©, c’est Ă  dire par Sa propre Puissance. Les disciples Lui rendirent hommage. Cette belle manifestation de la Gloire de Christ poussa ces derniers Ă  vraiment Le remercier et Ă  Le louer.

      Les disciples, dans une grande joie, revinrent ensuite Ă  JĂ©rusalem. En fait, la Gloire de Christ est Ă  l’origine de la joie de tous les vĂ©ritables croyants.

      Alors que nous nous attendons Ă  l’accomplissement des promesses divines, nous devons le faire en adressant Ă  Dieu nos louanges. Rien ne peut mieux prĂ©parer notre Ăąme Ă  recevoir le Saint-Esprit. Les craintes sont alors rĂ©duites au silence, les peines sont adoucies, apaisĂ©es et les espoirs sont maintenus. Toute la ferveur d’un chrĂ©tien repose sur l’accĂšs au trĂŽne de la GrĂące ; le trĂŽne du PĂšre est en effet celui de la GrĂące, pour nous, car il est aussi le trĂŽne de notre MĂ©diateur, JĂ©sus-Christ ! Nous pouvons compter sur Ses promesses.

      Appuyons-nous sur Ses ordonnances, louons et bénissons Dieu pour Ses miséricordes, plaçons nos désirs sur les choses « d'en haut », et attendons le retour du Rédempteur, pour parfaire notre bonheur. Amen.

      Qu'il en soit ainsi, Seigneur Jésus, reviens bientÎt !

      Jean 11

      1

      La maladie de Lazare. (Jean 11:1-6)
      Christ revient en Judée. (Jean 11:7-10)
      La mort de Lazare. (Jean 11:11-16)
      Christ arrive à Béthanie. (Jean 11:17-32)
      Il ressuscite Lazare. (Jean 11:33-46)
      Les pharisiens complotent contre Jésus. (Jean 11:47-53)
      Les Juifs recherchent Jésus. (Jean 11:54-57)

      Il n’est pas nouveau de voir certaines personnes, aimĂ©es de Christ, tomber malades ; les disfonctionnements corporels nous rappellent notre faiblesse, ils manifestent aussi souvent la GrĂące de Dieu Ă  l’égard de Son peuple.

      JĂ©sus n'est pas venu ici-bas pour nous prĂ©server des afflictions, mais pour nous sauver de nos pĂ©chĂ©s, et de la colĂšre divine Ă  venir ; il nous incombe cependant de recourir Ă  la Puissance du Seigneur, quand nos parents ou nos amis sont malades ou dans l’affliction. Puissions-nous ĂȘtre spirituellement « en phase » avec les actions parfois incomprĂ©hensibles de la Providence divine, afin qu’elles manifestent toutes la Gloire de Dieu, que ce soit dans la maladie, les dĂ©ceptions, voire le dĂ©cĂšs d’un proche... Si Dieu en ressort glorifiĂ©, nous en serons alors les plus heureux !

      JĂ©sus aimait Marthe et sa sƓur, ainsi que Lazare. Les familles dans lesquelles l'amour et la paix abondent, sont grandement privilĂ©giĂ©es ; quant Ă  celles que JĂ©sus aime, et au sein desquelles Il est le « bien-aimé », elles sont encore plus heureuses. Ce cas semble hĂ©las assez rare...

      Dieu accorde toujours Sa GrĂące, mĂȘme si Elle semble parfois tarder. Quand l'Ɠuvre de dĂ©livrance est diffĂ©rĂ©e, qu’elle soit matĂ©rielle ou spirituelle, publique ou personnelle, elle s'accomplit toujours au temps marquĂ© par le Seigneur !

      Jean 12

      1

      Marie oint le Seigneur. (Jean 12:1-11)
      Il entre à Jérusalem. (Jean 12:12-19)
      Les Grecs cherchent à voir Jésus. (Jean 12:20-26)
      Une voix du ciel porte témoignage à Christ. (Jean 12:27-33)
      Son entretien avec le peuple. (Jean 12:34-36)
      L'incrédulité des Juifs. (Jean 12:37-43)
      Christ s'adresse Ă  eux. (Jean 12:44-50)

      Christ avait auparavant blĂąmĂ© Marthe, lorsqu’elle s’était beaucoup trop occupĂ©e du service de sa maison. Elle n'avait pas commis de faute dans le sens oĂč elle aurait Ă©tĂ© trop absorbĂ©e par la pratique de ses occupations mĂ©nagĂšres ; Marthe a continuĂ© Ă  servir, mais en Ă©coutant les paroles pleines de GrĂące du Seigneur. En oignant de parfum les pieds de JĂ©sus, Marie Lui a tĂ©moignĂ© son amour, Celui qui auparavant avait tant donnĂ© pour elle et sa famille.

      Christ, « l'Oint de Dieu », doit ĂȘtre l’objet de notre adoration. Puisque Dieu a tĂ©moignĂ© devant tous, lors du baptĂȘme de Son Fils, la joie qu’Il avait par Lui, portons Lui « l'onction spirituelle » de toute notre affection !

      Le pĂ©chĂ© horrible de Judas Ă©tait masquĂ© par un prĂ©texte plausible, (le don de cet argent aux pauvres). Nous ne devons pas avoir de prĂ©jugĂ©s contre le ministĂšre de ceux qui ne servent pas le Seigneur conformĂ©ment Ă  nos habitudes personnelles. L’amour de l'argent est le leitmotiv du voleur. La GrĂące de Christ nous fait considĂ©rer avec amour tout ce qui concerne la piĂ©tĂ©, Elle extrait le meilleur, du pire, comme du bien.

      Le fait que les principaux sacrificateurs se soient consultĂ©s pour anĂ©antir le miracle de la rĂ©surrection de Lazare, en voulant le tuer, tĂ©moigne d'une rĂ©elle mĂ©chancetĂ©, d’une redoutable malice et folie, ne pouvant s’expliquer que par l'inimitiĂ© dĂ©sespĂ©rĂ©e du cƓur humain, envers Dieu. Les sacrificateurs rĂ©solurent donc de faire mourir Lazare, celui que le Seigneur avait ramenĂ© Ă  la vie...

      Le succĂšs de l'Ă©vangile dĂ©range souvent les hommes, Ă  tel point qu'ils parlent et agissent comme s'ils espĂ©raient obtenir une victoire sur le Tout-puissant Lui-mĂȘme !

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