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9
Lévi dit de son père et de sa mère : Je ne les ai point vus ! Il ne distingue point ses frères, Il ne connaît point ses enfants. Car ils observent ta parole, Et ils gardent ton alliance ;
14
Michée répondit : L'Éternel est vivant ! j'annoncerai ce que l'Éternel me dira.
21
Je n'aurai point égard à l'apparence, Et je ne flatterai personne ;
22
Car je ne sais pas flatter : Mon créateur m'enlèverait bien vite.
9
(5 : 10) Car il n'y a point de sincérité dans leur bouche ; Leur coeur est rempli de malice, Leur gosier est un sépulcre ouvert, Et ils ont sur la langue des paroles flatteuses.
2
(12 : 3) On se dit des faussetés les uns aux autres, On a sur les lèvres des choses flatteuses, On parle avec un coeur double.
21
(55 : 22) Sa bouche est plus douce que la crème, Mais la guerre est dans son coeur ; Ses paroles sont plus onctueuses que l'huile, Mais ce sont des épées nues.
5
Un homme qui flatte son prochain Tend un filet sous ses pas.
13
Nous avons été coupables et infidèles envers l'Éternel, Nous avons abandonné notre Dieu ; Nous avons proféré la violence et la révolte, Conçu et médité dans le coeur des paroles de mensonge ;
14
Et la délivrance s'est retirée, Et le salut se tient éloigné ; Car la vérité trébuche sur la place publique, Et la droiture ne peut approcher.
15
La vérité a disparu, Et celui qui s'éloigne du mal est dépouillé. -L'Éternel voit, d'un regard indigné, Qu'il n'y a plus de droiture.
3
Ils ont la langue tendue comme un arc et lancent le mensonge ; Ce n'est pas par la vérité qu'ils sont puissants dans le pays ; Car ils vont de méchanceté en méchanceté, Et ils ne me connaissent pas, dit l'Éternel.
4
Que chacun se tienne en garde contre son ami, Et qu'on ne se fie à aucun de ses frères ; Car tout frère cherche à tromper, Et tout ami répand des calomnies.
5
Ils se jouent les uns des autres, Et ne disent point la vérité ; Ils exercent leur langue à mentir, Ils s'étudient à faire le mal.
30
Et toi, fils de l'homme, les enfants de ton peuple s'entretiennent de toi près des murs et aux portes des maisons, et ils se disent l'un à l'autre, chacun à son frère : Venez donc, et écoutez quelle est la parole qui est procédée de l'Éternel !
31
Et ils se rendent en foule auprès de toi, et mon peuple s'assied devant toi ; ils écoutent tes paroles, mais ils ne les mettent point en pratique, car leur bouche en fait un sujet de moquerie, et leur coeur se livre à la cupidité.
9
Écoutez donc ceci, chefs de la maison de Jacob, Et princes de la maison d'Israël, Vous qui avez en horreur la justice, Et qui pervertissez tout ce qui est droit,
10
Vous qui bâtissez Sion avec le sang, Et Jérusalem avec l'iniquité !
11
Ses chefs jugent pour des présents, Ses sacrificateurs enseignent pour un salaire, Et ses prophètes prédisent pour de l'argent ; Et ils osent s'appuyer sur l'Éternel, ils disent : L'Éternel n'est-il pas au milieu de nous ? Le malheur ne nous atteindra pas.
12
C'est pourquoi, à cause de vous, Sion sera labourée comme un champ, Jérusalem deviendra un monceau de pierres, Et la montagne du temple une sommité couverte de bois.
6
La loi de la vérité était dans sa bouche, Et l'iniquité ne s'est point trouvée sur ses lèvres ; Il a marché avec moi dans la paix et dans la droiture, Et il a détourné du mal beaucoup d'hommes.
9
Et moi, je vous rendrai méprisables et vils Aux yeux de tout le peuple, Parce que vous n'avez pas gardé mes voies, Et que vous avez égard à l'apparence des personnes Quand vous interprétez la loi.
11
Comment ne comprenez-vous pas que ce n'est pas au sujet de pains que je vous ai parlé ? Gardez-vous du levain des pharisiens et des sadducéens.
12
Alors ils comprirent que ce n'était pas du levain du pain qu'il avait dit de se garder, mais de l'enseignement des pharisiens et des sadducéens.
16
Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent : Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t'inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes.
24
Maître, Moïse a dit : Si quelqu'un meurt sans enfants, son frère épousera sa veuve, et suscitera une postérité à son frère.
26
Il en fut de même du second, puis du troisième, jusqu'au septième.
18
Il répondit : Allez à la ville chez un tel, et vous lui direz : Le maître dit : Mon temps est proche ; je ferai chez toi la Pâque avec mes disciples.
49
Aussitôt, s'approchant de Jésus, il dit : Salut, Rabbi ! Et il le baisa.
6
Les pharisiens sortirent, et aussitôt ils se consultèrent avec les hérodiens sur les moyens de le faire périr.
15
Jésus leur fit cette recommandation : Gardez-vous avec soin du levain des pharisiens et du levain d'Hérode.
17
Comme Jésus se mettait en chemin, un homme accourut, et se jetant à genoux devant lui : Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ?
14
Et ils vinrent lui dire : Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu ne t'inquiètes de personne ; car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes, et tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité. Est-il permis, ou non, de payer le tribut à César ? Devons-nous payer, ou ne pas payer ?
40
Jésus prit la parole, et lui dit : Simon, j'ai quelque chose à te dire. -Maître, parle, répondit-il. -
21
Ces gens lui posèrent cette question : Maître, nous savons que tu parles et enseignes droitement, et que tu ne regardes pas à l'apparence, mais que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité.
18
Celui qui parle de son chef cherche sa propre gloire ; mais celui qui cherche la gloire de celui qui l'a envoyé, celui-là est vrai, et il n'y a point d'injustice en lui.
6
Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.
37
Pilate lui dit : Tu es donc roi ? Jésus répondit : Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix.
17
Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme font plusieurs ; mais c'est avec sincérité, mais c'est de la part de Dieu, que nous parlons en Christ devant Dieu.
2
Nous rejetons les choses honteuses qui se font en secret, nous n'avons point une conduite astucieuse, et nous n'altérons point la parole de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d'homme devant Dieu.
16
Ainsi, dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair ; et si nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus de cette manière.
10
Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu ? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ.
6
Ceux qui sont les plus considérés-quels qu'ils aient été jadis, cela ne m'importe pas : Dieu ne fait point acception de personnes, -ceux qui sont les plus considérés ne m'imposèrent rien.
4
mais, selon que Dieu nous a jugés dignes de nous confier l'Évangile, ainsi nous parlons, non comme pour plaire à des hommes, mais pour plaire à Dieu, qui sonde nos coeurs.
17
La sagesse d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d'hypocrisie.
20
Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus Christ.
Mais ils s'étaient concertés auparavant avec les hérodiens. Le caractère de ce parti mentionné trois fois dans les évangiles (Marc 3.6 ; 12.13) et dont Josèphe ne parle pas, est discuté.
C'était probablement, non une secte religieuse, mais un parti politique attaché à la dynastie des Hérode, représentée alors par Hérode Antipas, tétrarque de Galilée. Mais tandis que De Wette, Néander, Winer voient dans les hérodiens des partisans de la domination romaine, Keim, Bleek, Weiss les considèrent comme les représentants d'un parti national qui aspirait à voir la Palestine réunie sous le sceptre d'Hérode.
D'après Reuss et M. Godet, les hérodiens, comme les pharisiens, revendiquaient la souveraineté nationale mais les pharisiens la voulaient contre les Romains, les hérodiens par les Romains. On comprend dès lors que ces deux partis, habituellement opposés, (Luc 13.31) se soient unis pour poser à Jésus la question du verset 17, question qu'eux-mêmes résolvaient de manière différente.
Ces paroles de flatterie sont destinées à capter la confiance de Jésus. Par la voie de Dieu, ils entendent la vraie religion et la vraie morale, la conduite prescrite par Dieu. Et les deux phrases qui suivent signifient : "ni la crainte des hommes ni le désir d'obtenir leur faveur ne pourront t'engager à manquer à la vérité."