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Un jour, il vit un groupe important de pharisiens et de sadducéens qui voulaient aussi se faire baptiser par lui. Il les apostropha : — Espèces de vipères ! Qui vous a fait croire (qu’en vous faisant baptiser) vous pourriez esquiver (le jugement) imminent de la colère (de Dieu) ?
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Jésus leur dit : — Faites bien attention ! Méfiez-vous soigneusement du levain des pharisiens et des sadducéens. — (Pourquoi a-t-il fait cette remarque ? se demandèrent-ils.)
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Ce même jour, il fut abordé par des sadducéens, ceux qui prétendent que les morts ne ressuscitent pas. Ils vinrent lui poser la question suivante : —
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Ensuite, les sadducéens, ceux qui nient la résurrection des morts, viennent le trouver. Ils lui posent une question : —
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Maître, Moïse nous a laissé la prescription suivante : Si quelqu’un meurt en laissant sa femme sans enfants, son frère devra épouser la veuve pour lui donner des enfants, et susciter ainsi une descendance à son frère.
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Or, il était une fois sept frères. L’aîné s’est marié et il est mort sans laisser de descendant.
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Le deuxième a épousé la veuve, puis il est mort, lui aussi sans avoir d’enfant. Le troisième a fait de même.
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En fin de compte, les sept sont morts sans laisser de descendance. La femme, restée la dernière, meurt à son tour.
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De qui sera-t-elle l’épouse au jour de la résurrection, quand tous les morts reviendront à la vie, puisque tous les sept l’ont eue pour femme ?
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Jésus leur dit : — Vous êtes complètement dans l’erreur, parce que vous ne connaissez ni les Écritures ni la puissance de Dieu.
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En effet, lorsqu’on ressuscite d’entre les morts, on ne se marie pas et on n’est pas donné en mariage, mais on vit comme les anges dans les cieux.
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En ce qui concerne la résurrection des morts, n’avez-vous jamais lu dans le livre de Moïse, lorsqu’il est question du buisson ardent, en quels termes Dieu lui a parlé : Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob.
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Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Oui, vous êtes tout à fait dans l’erreur.
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Après cela vinrent quelques sadducéens, ceux qui prétendent que les morts ne ressuscitent pas. Ils lui posèrent la question suivante : —
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Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit : Si quelqu’un vient à mourir, laissant une femme mais pas d’enfant, son frère devra épouser la veuve pour donner une postérité au frère décédé.
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Or, il y avait sept frères. L’aîné s’est marié et il est mort sans laisser d’enfant.
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Le deuxième, puis le troisième, ont épousé la veuve, et ainsi de suite jusqu’au septième :
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ils sont tous morts et aucun n’a laissé d’enfant !
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En fin de compte, la femme est morte, elle aussi.
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Avec lequel d’entre eux sera-t-elle mariée le jour où les morts ressusciteront, puisque tous les sept l’ont eue pour femme ?
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Jésus leur répondit : — Ici-bas, on prend femme ou mari.
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Mais ceux qui seront jugés dignes de parvenir à la résurrection d’entre les morts, pour faire partie du monde à venir, ne se marieront plus et ne seront plus donnés en mariage,
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car ils ne peuvent plus mourir. Ils sont (à cet égard) comme les anges ; une fois ressuscités, ils sont fils de Dieu.
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De plus, Moïse lui-même a fait allusion à la résurrection des morts dans le passage où il est question du buisson ardent, quand il désigne le Seigneur par ce nom : Le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob.
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En effet, puisque Dieu n’est pas un Dieu des morts, mais des vivants, ce passage prouve bien que, pour lui, (les patriarches) sont tous les trois vivants.
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Là-dessus, quelques interprètes de la loi prirent la parole, pour marquer leur approbation : — Bien, Maître, tu as donné la réponse qu’il fallait.
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Et, de fait, à partir de ce moment-là, personne n’osa plus lui poser d’autres questions.
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Pendant qu’ils parlaient encore à la foule, survinrent quelques prêtres accompagnés du chef de la police du temple et de quelques membres du parti des sadducéens.
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Alors, poussés par la jalousie, le grand-prêtre et tous ses partisans, c’est-à-dire les sadducéens, décidèrent d’agir.
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Paul savait que le Conseil était divisé en deux partis, celui des sadducéens et celui des pharisiens ; il s’écria alors à haute voix : — Frères, je suis pharisien et fils de pharisien. Si je suis mis en accusation, c’est parce que j’espère en la résurrection des morts.
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À ces mots, les vieilles querelles entre pharisiens et sadducéens se réveillèrent, et l’assemblée se divisa en deux camps.
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Les sadducéens, en effet, soutiennent que les morts ne ressuscitent pas et ils ne croient pas à l’existence des anges et des esprits. Les pharisiens, au contraire, tiennent à l’une comme à l’autre doctrine.
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Or, si la résurrection du Christ constitue l’essence même de notre prédication, comment quelques-uns parmi vous peuvent-ils prétendre qu’il n’y a pas de résurrection des morts ?
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S’il n’y a pas de résurrection des morts, alors le Christ lui-même n’est pas ressuscité.
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Mais si le Christ n’est pas ressuscité, toute notre prédication devient sans objet, l’Évangile n’est plus alors que le produit d’une imagination qui tourne à vide et ne rime à rien. Dans ce cas, nous n’avons plus rien à proclamer, et vous, plus rien à croire : votre foi s’écroule, parce qu’elle n’a plus aucun fondement sur lequel s’appuyer.
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Ils se sont écartés du droit chemin et se sont égarés loin de la vérité, prétendant que notre résurrection a déjà eu lieu. Ils cherchent ainsi à miner la foi de certains croyants et ils ont réussi à renverser celle de plusieurs.
Comparer Marc 12.18-27 ; Luc 20.27-40.
Ce jour-là : à peine Jésus a, par sa sagesse, échappé à un piège de ses adversaires, que déjà un autre lui est tendu. Dans ces journées de lutte suprême, l'inimitié des divers partis qui avaient résolu sa mort ne lui laissait pas de répit. Tantôt ce sont les pharisiens, tantôt les sadducéens qui s'attaquent à lui. Sur ces deux partis politico-religieux, opposés l'un à l'autre, voir Matthieu 3.7, note.
Que la vérité soit claire, et elle apparaîtra dans toute sa force ! Ayant ainsi réduit au silence les incroyants, notre Seigneur a continué de montrer la vérité de la doctrine de la Résurrection, à partir des livres de Moïse. Dieu a déclaré à Moïse qu’Il était le Dieu des patriarches, morts depuis bien longtemps ; ceci montre qu'ils étaient alors capables de jouir de Ses faveurs, et prouve que la doctrine de la résurrection est clairement enseignée dans l'Ancien Testament, comme dans le Nouveau. Mais cette doctrine était jusqu’alors partiellement masquée, pour être complètement révélée, après la résurrection de Christ, Celui qui allait être les « prémices » de ceux qui étaient « endormis ».
Toute erreur provient de la méconnaissance des Écritures et de la Puissance divine. Dans ce monde, la mort enlève chacun, l'un après l'autre ; ainsi se terminent toutes les espérances terrestres, les joies, les peines, etc.
Combien sont misérables ceux qui n’ont aucune espérance dans l’au-delà, une fois dans la tombe !