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Beaucoup de Pharisiens et de SadducĂ©ens viennent pour que Jean les baptise. En voyant cela, Jean leur dit : « EspĂšce de vipĂšres ! La colĂšre de Dieu va venir, et vous croyez que vous pouvez lâĂ©viter ? Qui vous a dit cela ?
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Jésus leur dit : « Faites attention ! Méfiez-vous du levain des Pharisiens et des Sadducéens ! »
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Le mĂȘme jour, des SadducĂ©ens sâapprochent de JĂ©sus. Les SadducĂ©ens pensent que les morts ne se relĂšveront pas. Ils interrogent JĂ©sus
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Quelques SadducĂ©ens sâapprochent de JĂ©sus. Les SadducĂ©ens pensent que les morts ne se relĂšveront pas. Ils interrogent JĂ©sus en lui disant :
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« MaĂźtre, MoĂŻse a Ă©crit pour nous dans la loi : âUn homme et une femme sont mariĂ©s. Sâils nâont pas dâenfants et si lâhomme meurt, son frĂšre doit se marier avec la veuve. Ainsi, il donnera des enfants au frĂšre qui est mort.â
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Eh bien, supposons ceci : Il y a sept frĂšres. Le premier se marie et il meurt sans laisser dâenfants.
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Le deuxiĂšme se marie avec la veuve et il meurt sans laisser dâenfants. Il arrive la mĂȘme chose au troisiĂšme
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et aux autres aussi. Les sept frĂšres meurent sans laisser dâenfants. AprĂšs eux tous, la femme meurt Ă son tour.
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Quand les morts se relÚveront, elle sera la femme de qui ? En effet, chacun des sept frÚres a été son mari. »
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Jésus leur dit : « Vous vous trompez ! Est-ce que vous savez pourquoi ? Parce que vous ne connaissez ni les Livres Saints, ni la puissance de Dieu.
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Quand les morts se relĂšveront, les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils vivront comme les anges auprĂšs de Dieu.
26
Au sujet des gens qui se relĂšveront, vous avez sĂ»rement lu, dans le livre de MoĂŻse, lâhistoire du buisson. Câest lĂ que Dieu a dit Ă MoĂŻse : âJe suis le Dieu dâAbraham, le Dieu dâIsaac et le Dieu de Jacob.â
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Dieu nâest pas le Dieu des morts, mais il est le Dieu des vivants. Donc, vous vous trompez complĂštement. »
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Quelques SadducĂ©ens sâapprochent de JĂ©sus. Les SadducĂ©ens ne croient pas que les morts se relĂšveront. Ils posent cette question Ă JĂ©sus :
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« MaĂźtre, MoĂŻse a Ă©crit pour nous dans la loi : âUn homme a un frĂšre mariĂ©. Si ce frĂšre meurt sans enfants, lâhomme doit se marier avec la veuve. Ainsi il donnera des enfants Ă son frĂšre qui est mort.â
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Eh bien, supposons ceci : il y a donc sept frĂšres. Le premier se marie et il meurt sans enfants.
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Le deuxiĂšme se marie avec la veuve et il meurt sans enfants.
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Il arrive la mĂȘme chose au troisiĂšme et aux autres aussi. Les sept frĂšres meurent sans laisser dâenfants.
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Finalement, la femme meurt Ă son tour.
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Quand les morts se relÚveront, elle sera la femme de qui ? En effet, chacun des sept frÚres a été son mari. »
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Jésus leur répond : « Dans ce monde, les hommes et les femmes se marient.
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Certains, Dieu les juge dignes de vivre dans le monde qui vient, et donc de se relever de la mort. Mais ces hommes et ces femmes ne se marient plus.
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En effet, ils ne peuvent plus mourir, parce quâils sont comme les anges. Ils sont fils de Dieu, parce que Dieu les a relevĂ©s de la mort.
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Et MoĂŻse a montrĂ© clairement que les gens se rĂ©veillent de la mort. En effet, quand MoĂŻse raconte lâhistoire du buisson, il appelle le Seigneur âle Dieu dâAbraham, le Dieu dâIsaac et le Dieu de Jacobâ. »
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JĂ©sus ajoute : « Dieu nâest pas le Dieu des morts, mais il est le Dieu des vivants, parce que tous vivent pour lui. »
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Quelques maßtres de la loi disent à Jésus : « Maßtre, tu as bien parlé. »
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Et ils nâosent plus lui poser dâautres questions.
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Pierre et Jean sont en train de parler Ă la foule, quand les prĂȘtres, le chef des gardes du temple et les SadducĂ©ens arrivent prĂšs dâeux.
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Alors le grand-prĂȘtre et tous ceux qui sont avec lui, câest-Ă -dire le groupe des SadducĂ©ens, sont trĂšs jaloux et ils dĂ©cident dâagir.
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Paul le sait : certains membres du Tribunal sont SadducĂ©ens et dâautres sont Pharisiens. Câest pourquoi devant eux, il dit dâune voix forte : « FrĂšres, je suis Pharisien et fils de Pharisien. Comme eux, jâai lâespoir que les morts se relĂšveront, et câest pour cela quâon me juge. »
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Au moment oĂč Paul dit cela, les Pharisiens et les SadducĂ©ens se mettent Ă se disputer, et lâassemblĂ©e se divise en deux camps.
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En effet, les SadducĂ©ens disent : « Les morts ne se relĂšvent pas, les anges et les esprits nâexistent pas. » Mais les Pharisiens croient le contraire.
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Nous annonçons que le Christ sâest rĂ©veillĂ© de la mort. Pourtant, parmi vous, certains disent : « Les morts ne se relĂšveront plus. » Comment peuvent-ils dire cela ?
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Si les morts ne se relĂšvent plus, le Christ non plus ne sâest pas rĂ©veillĂ© de la mort.
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Et si le Christ ne sâest pas rĂ©veillĂ© de la mort, nous nâavons rien Ă annoncer, et vous nâavez rien Ă croire.
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Ils se sont éloignés de la vérité. Ils disent que Dieu nous a déjà relevés de la mort et ainsi, ils renversent la foi de certains.
Comparer Marc 12.18-27 ; Luc 20.27-40.
Ce jour-lĂ : Ă peine JĂ©sus a, par sa sagesse, Ă©chappĂ© Ă un piĂšge de ses adversaires, que dĂ©jĂ un autre lui est tendu. Dans ces journĂ©es de lutte suprĂȘme, l'inimitiĂ© des divers partis qui avaient rĂ©solu sa mort ne lui laissait pas de rĂ©pit. TantĂŽt ce sont les pharisiens, tantĂŽt les sadducĂ©ens qui s'attaquent Ă lui. Sur ces deux partis politico-religieux, opposĂ©s l'un Ă l'autre, voir Matthieu 3.7, note.
Que la vĂ©ritĂ© soit claire, et elle apparaĂźtra dans toute sa force ! Ayant ainsi rĂ©duit au silence les incroyants, notre Seigneur a continuĂ© de montrer la vĂ©ritĂ© de la doctrine de la RĂ©surrection, Ă partir des livres de MoĂŻse. Dieu a dĂ©clarĂ© Ă MoĂŻse quâIl Ă©tait le Dieu des patriarches, morts depuis bien longtemps ; ceci montre qu'ils Ă©taient alors capables de jouir de Ses faveurs, et prouve que la doctrine de la rĂ©surrection est clairement enseignĂ©e dans l'Ancien Testament, comme dans le Nouveau. Mais cette doctrine Ă©tait jusquâalors partiellement masquĂ©e, pour ĂȘtre complĂštement rĂ©vĂ©lĂ©e, aprĂšs la rĂ©surrection de Christ, Celui qui allait ĂȘtre les « prĂ©mices » de ceux qui Ă©taient « endormis ».
Toute erreur provient de la mĂ©connaissance des Ăcritures et de la Puissance divine. Dans ce monde, la mort enlĂšve chacun, l'un aprĂšs l'autre ; ainsi se terminent toutes les espĂ©rances terrestres, les joies, les peines, etc.
Combien sont misĂ©rables ceux qui nâont aucune espĂ©rance dans lâau-delĂ , une fois dans la tombe !