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Matthieu 22.23

Ce mĂȘme jour, il fut abordĂ© par des sadducĂ©ens, ceux qui prĂ©tendent que les morts ne ressuscitent pas. Ils vinrent lui poser la question suivante : —
On that day Sadducees (those who say that there is no resurrection) came to him. They asked him,
La doctrine de Christ déplut aux sadducéens irréligieux, ainsi qu'aux pharisiens et aux hérodiens. Elle annonçai les grandes vérités de la résurrection et celles d'un Royaume futur, plus qu'elles n'avaient jamais été révélées. Il est vain de chercher à contester systématiquement l'état des choses ici-bas, ni ce qui prendra place dans le futur.

Que la vĂ©ritĂ© soit claire, et elle apparaĂźtra dans toute sa force ! Ayant ainsi rĂ©duit au silence les incroyants, notre Seigneur a continuĂ© de montrer la vĂ©ritĂ© de la doctrine de la RĂ©surrection, Ă  partir des livres de MoĂŻse. Dieu a dĂ©clarĂ© Ă  MoĂŻse qu’Il Ă©tait le Dieu des patriarches, morts depuis bien longtemps ; ceci montre qu'ils Ă©taient alors capables de jouir de Ses faveurs, et prouve que la doctrine de la rĂ©surrection est clairement enseignĂ©e dans l'Ancien Testament, comme dans le Nouveau. Mais cette doctrine Ă©tait jusqu’alors partiellement masquĂ©e, pour ĂȘtre complĂštement rĂ©vĂ©lĂ©e, aprĂšs la rĂ©surrection de Christ, Celui qui allait ĂȘtre les « prĂ©mices » de ceux qui Ă©taient « endormis ».

Toute erreur provient de la mĂ©connaissance des Écritures et de la Puissance divine. Dans ce monde, la mort enlĂšve chacun, l'un aprĂšs l'autre ; ainsi se terminent toutes les espĂ©rances terrestres, les joies, les peines, etc.

Combien sont misĂ©rables ceux qui n’ont aucune espĂ©rance dans l’au-delĂ , une fois dans la tombe !
Le mĂȘme jour, les sadducĂ©ens, qui disent qu'il n'y a pas de rĂ©surrection, vinrent trouver JĂ©sus et lui posĂšrent cette question :

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      Matthieu 3

      7 Le rĂŽle de la prĂ©dication est de mettre en application la doctrine divine : tel Ă©tait le but de l’exhortation de Jean.

      Les Pharisiens se souciaient d’abord d’observer et de respecter le cĂŽtĂ© apparent de la piĂ©tĂ©, en nĂ©gligeant les points les plus importants de la loi morale, et la signification spirituelle de leurs cĂ©rĂ©monies lĂ©gales. Certains d'entre eux Ă©taient de dĂ©testables hypocrites, faisant de leurs prĂ©tentions Ă  la saintetĂ©, une parure inique.

      Les sadducĂ©ens avaient une dĂ©marche tout Ă  fait opposĂ©e, niant l'existence des esprits et d’une vie spirituelle future. Ils Ă©taient Ă  cette Ă©poque et dans ce pays, des « infidĂšles » mĂ©prisables.

      Il y a inĂ©luctablement une colĂšre divine Ă  venir. Chacun devrait chercher Ă  la fuir. Dieu, qui ne prend aucun plaisir Ă  notre ruine, nous a avertis Ă  ce sujet ; Il nous prĂ©vient par Sa Parole, par Ses serviteurs, ainsi que par le biais de notre conscience. Ceux qui se disent dĂ©solĂ©s par le constat de leurs pĂ©chĂ©s, et qui cependant, persistent dans leurs voies, ne sont pas dignes d’ĂȘtre appelĂ©s des repentants, et n’ont de ce fait aucun privilĂšge spirituel. Le vĂ©ritable repentant est humble et abaissĂ© Ă  ses propres yeux, reconnaissant pour la moindre misĂ©ricorde qui lui est accordĂ©e, patient lors des afflictions sĂ©vĂšres, vigilant contre toute apparence de pĂ©chĂ©, appliquĂ© dans son devoir, et charitable quant aux jugements de son prochain.

      Ce texte Ă©nonce une parole de prudence : ne pas se baser aveuglĂ©ment sur des privilĂšges extĂ©rieurs acquis. Nous courons un grand danger quand nos cƓurs tentent d’étouffer toute conviction de pĂ©chĂ©, en mettant de cĂŽtĂ© la Puissance rĂ©vĂ©latrice de la Parole de Dieu. On trouve de nombreuses personnes, qui, en se fiant abusivement sur les honneurs et les avantages que peuvent avoir les membres d'une Ă©glise, sont en fait bien loin du ciel...

      Ce texte contient une terrible menace Ă  l’encontre de l'insouciant et de celui qui se croit faussement en sĂ©curitĂ©. Nos cƓurs corrompus ne peuvent, par nature, produire du bon fruit, Ă  moins que l'Esprit rĂ©gĂ©nĂ©rateur de Christ ne greffe en eux la perfection de la Parole de Dieu. Tout arbre, mĂȘme le plus haut, le plus majestueux ou le plus verdoyant, qui ne produit pas de bon fruit, Ă  savoir celui de la repentance, sera abattu et jetĂ© dans le feu de la colĂšre divine, l’endroit le plus propice pour recevoir les « plantes stĂ©riles » : Ă  quoi d'autre pourrait-il servir ? S'il ne fournit aucun fruit, il sera un parfait combustible !

      Jean annonce la venue de Christ, le rÎle et les desseins de ce Dernier : cet avÚnement était imminent.

      Notre comportement et notre apparence extĂ©rieure, ne peuvent aucunement nous rendre purs. Nulle ordonnance, quel qu’en soit l’auteur ou le mode, ne peut supplĂ©er au besoin du baptĂȘme du Saint-Esprit et de feu. Seul le pouvoir purificateur du Saint-Esprit peut produire cette puretĂ© de cƓur et ces « saintes affections » qui accompagnent le salut ! C'est Christ qui baptise de l’Esprit Saint. C'est ce qu'Il a fait ne maniĂšre extraordinaire envers les apĂŽtres, Actes 2:4. C'est ce qu'Il fait aussi dans les grĂąces et les rĂ©conforts octroyĂ©s par l'Esprit, Ă  ceux qui le Lui demandent, Luc 11:13, Jean 7:38,39, Actes 11:16.

      Observons ici que l'Ă©glise des « Gentils » est « l'aire de battage » de Christ, Esa 21:10. Les vĂ©ritables croyants sont comme le blé : substantiel, utile, et prĂ©cieux ; les hypocrites sont comme une balle de paille : lĂ©gers et vides, inutiles et sans valeur, emportĂ©s au loin par le moindre souffle ; le monde est constituĂ© de « bons » et de « mauvais », tous dans le mĂȘme cheminement ; un jour viendra, malgrĂ© tout, oĂč le blĂ© et la paille seront sĂ©parĂ©s...

      Le dernier jugement sera un jour remarquable : les saints et les pécheurs seront séparés pour toujours. Dans le ciel, les saints seront rassemblés, ils ne seront plus jamais disséminés ; ils seront en sécurité, loin de tout danger, séparés de leurs voisins corrompus et esclaves de leurs vaines convoitises.

      L'enfer est un feu inextinguible ; il sera certainement la « part » et la punition des hypocrites et des impies.

      La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous : selon notre conduite ici-bas, « dans le champ », nous serons alors étendus sur « l'aire de battage ».

      Matthieu 16

      Matthieu 22

      23 La doctrine de Christ déplut aux sadducéens irréligieux, ainsi qu'aux pharisiens et aux hérodiens. Elle annonçai les grandes vérités de la résurrection et celles d'un Royaume futur, plus qu'elles n'avaient jamais été révélées. Il est vain de chercher à contester systématiquement l'état des choses ici-bas, ni ce qui prendra place dans le futur.

      Que la vĂ©ritĂ© soit claire, et elle apparaĂźtra dans toute sa force ! Ayant ainsi rĂ©duit au silence les incroyants, notre Seigneur a continuĂ© de montrer la vĂ©ritĂ© de la doctrine de la RĂ©surrection, Ă  partir des livres de MoĂŻse. Dieu a dĂ©clarĂ© Ă  MoĂŻse qu’Il Ă©tait le Dieu des patriarches, morts depuis bien longtemps ; ceci montre qu'ils Ă©taient alors capables de jouir de Ses faveurs, et prouve que la doctrine de la rĂ©surrection est clairement enseignĂ©e dans l'Ancien Testament, comme dans le Nouveau. Mais cette doctrine Ă©tait jusqu’alors partiellement masquĂ©e, pour ĂȘtre complĂštement rĂ©vĂ©lĂ©e, aprĂšs la rĂ©surrection de Christ, Celui qui allait ĂȘtre les « prĂ©mices » de ceux qui Ă©taient « endormis ».

      Toute erreur provient de la mĂ©connaissance des Écritures et de la Puissance divine. Dans ce monde, la mort enlĂšve chacun, l'un aprĂšs l'autre ; ainsi se terminent toutes les espĂ©rances terrestres, les joies, les peines, etc.

      Combien sont misĂ©rables ceux qui n’ont aucune espĂ©rance dans l’au-delĂ , une fois dans la tombe !

      Marc 12

      18 La meilleure protection contre toute erreur relative aux Écritures, consiste Ă  bien connaitre ces derniĂšres : Elles sont la vĂ©ritable « source » de toute vie spirituelle authentique, Elles sont le fondement sur lequel on peut vraiment se baser.

      Dans ce texte, Christ ne rĂ©pond pas directement Ă  l'objection des sadducĂ©ens : ils n’étaient Ă  cette Ă©poque que des moqueurs hypocrites, cherchant Ă  faire valoir leur propre doctrine, sur le devenir de la postĂ©ritĂ©, lors de la rĂ©surrection des morts. La relation entre mari et femme ici-bas, n'existera pas dans le paradis cĂ©leste.

      Il n’est pas Ă©tonnant que nous puissions nous « perdre » dans de vaines erreurs d’interprĂ©tation, lorsque nous imaginons le monde de l’au-delĂ , au travers de ce que nous pouvons en percevoir ici-bas. Il est absurde de penser que le Dieu Tout Puissant puisse ĂȘtre la part et le bonheur d'un homme, qui finisse dans la mort Ă©ternelle : il est donc certain que l'Ăąme d'Abraham existe toujours et agit, bien qu’elle soit pour un temps, sĂ©parĂ©e de son corps.

      Ceux qui nient la rĂ©surrection se trompent gravement, on devrait d’ailleurs les prĂ©venir de leur erreur. Cherchons Ă  « transiter » dans ce monde pĂ©rissable, dans l’espĂ©rance joyeuse d'un bonheur Ă©ternel, et d'une glorieuse rĂ©surrection !

      Luc 20

      27 Il est frĂ©quent de constater que ceux qui ne pensent qu’à Ă©branler les vĂ©ritĂ©s divines, se trouvent en fait confrontĂ©s Ă  des difficultĂ©s, ne serait-ce que pour les comprendre !

      Nous nous mĂ©prenons et nous faisons du tort Ă  la VĂ©ritĂ© de Christ, quand nous forgeons nos opinions spirituelles d’aprĂšs les notions de ce monde. Il existe en fait plusieurs mondes : celui qui est prĂ©sent et visible, ainsi qu’un autre, invisible ; que chacun puisse bien les comparer et fonder son « espĂ©rance spirituelle » sur le meilleur !

      Les croyants connaitront la résurrection, une résurrection merveilleuse. Nous ne pouvons imaginer le sort réservé aux habitants de ce monde, 1Corinthiens 2:9.

      Ceux qui sont « entrĂ©s dans la joie de leur Seigneur », dans les cieux, connaissent pleinement la fĂ©licitĂ© cĂ©leste ; lorsque la saintetĂ© parvient Ă  un certain degrĂ© de perfection, aucune occasion ne peut nous inciter Ă  pĂ©cher. Lorsque Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© Son Nom aux patriarches bibliques, Il leur montrait qu’Il Ă©tait Ă  la fois le Dieu Tout-puissant, Ge 17:1 et « leur trĂšs grande RĂ©compense », Ge 15:1. Dans toute l'ampleur de Son entreprise ici-bas, Dieu n'a jamais atteint Ses limites ; dans la dispensation future, celle du Royaume de Dieu, toutes Ses promesses s’accompliront en totalitĂ©.

      39 Les scribes approuvÚrent la réponse que Christ fit aux sadducéens, au sujet de la résurrection, mais ils furent réduits au silence par une simple question, à propos du Messie.

      Christ, en tant que Dieu, Ă©tait le Seigneur de David, mais en tant qu’homme, Il Ă©tait le fils de ce dernier.

      Les scribes devaient s’attendre Ă  recevoir un jugement plus sĂ©vĂšre : d’abord Ă  cause de leur escroquerie envers les pauvres veuves, mais aussi pour leur abus de « religiosité », en particulier dans leurs priĂšres, par lesquelles ils cherchaient Ă  satisfaire leurs convoitises.

      Une piĂ©tĂ© simulĂ©e est un « double pĂ©ché ». Implorons Dieu de nous garder de tout orgueil, de toute ambition inconsidĂ©rĂ©e, de toute cupiditĂ©, et de tout mal ; qu'Il nous apprenne Ă  rechercher l’honneur que Lui seul peut nous accorder !

      Actes 4

      1

      Pierre et Jean sont emprisonnés. (Actes 4:1-4)
      Les apÎtres témoignent hardiment pour Christ. (Actes 4:5-14)
      Pierre et Jean témoignent, refusant de se taire. (Actes 4:15-22)
      Les croyants s'unissent dans la priĂšre et dans la louange. (Actes 4:23-31)
      La sainte charité des chrétiens. (Actes 4:32-37)

      Les apĂŽtres prĂȘchaient JĂ©sus, ressuscitĂ© des morts. Toute la joie de la « bonne nouvelle » allait en fait dĂ©pendre de cette rĂ©surrection ; ils ne prĂȘchĂšrent que la Personne de Christ.

      Celui pour qui la gloire du Royaume de Christ est vaine, est vraiment misérable ; il restera dans ce triste état éternellement car la gloire du Seigneur est infinie !

      Les fidĂšles et paisibles serviteurs de Christ, tels les apĂŽtres, furent souvent l'objet de persĂ©cutions dans leur ministĂšre d’amour, alors que certaines personnes belliqueuses Ă©chappĂšrent Ă  tout problĂšme. De nos jours, les exemples ne manquent pas, oĂč l’on rencontre des dĂ©sapprobateurs des Écritures, de la priĂšre en commun, et de la repentance...

      Si nous obéissons aux préceptes de Christ, Il nous soutiendra !

      Actes 5

      17 Il n'y a aucune prison qui ne soit trop sombre ni impĂ©nĂ©trable, pour que Dieu ne puisse y visiter Son peuple, et, s'Il le dĂ©sire, l'en faire sortir. La guĂ©rison d'une maladie, la dĂ©livrance de nos Ă©preuves ne nous sont pas accordĂ©es pour que nous puissions jouir du confort de la vie, mais pour que Dieu puisse en ĂȘtre honorĂ©, et pour que nous Le servions ensuite.

      Les prĂ©dicateurs de l'Évangile n'ont pas Ă  se dissimuler, au contraire, ils doivent profiter de toute opportunitĂ© de prĂȘcher lors de rassemblements. Ils doivent mĂȘme porter la Parole aux plus modestes, leur Ăąme est aussi prĂ©cieuse aux yeux de Christ que celle des plus grands de ce monde ! On doit annoncer l’Évangile Ă  tous, car tous sont concernĂ©s. Il faut tĂ©moigner Ă  ceux qui sont rĂ©solus Ă  entendre l’Évangile, Ă  vivre et mourir pour lui. Il faut porter Ă  tous les paroles de cette vie cĂ©leste et divine, Ă  cĂŽtĂ© de laquelle, la vie prĂ©sente ici-bas est bien terne... Il faut annoncer les paroles de vie, selon l’inspiration du Saint-Esprit. La parole de l'Évangile est la vie ; par elle, nous pouvons ĂȘtre sauvĂ©s !

      Ceux qui sont mĂ©contents du succĂšs de l'Évangile sont bien misĂ©rables ! Ils ne peuvent que constater que la Parole et la Puissance du Seigneur sont contre eux ; ils tremblent en pensant aux consĂ©quences de cette antipathie, mais cependant, ils continuent dans leur triste obstination...

      Actes 23

      6 Les pharisiens respectaient Ă  la lettre, la loi de l'Ă©glise juive naissante. Les sadducĂ©ens, de leur cĂŽtĂ©, n'admettaient pas en totalitĂ© la vĂ©racitĂ© de l'Écriture ou de la rĂ©vĂ©lation divine ; ils niaient toute existence d’un royaume divin ; ils n'avaient ni espĂ©rance d'un bonheur Ă©ternel, ni crainte d'un chĂątiment futur.

      Quand Paul fut interrogĂ© pour savoir pourquoi il Ă©tait devenu chrĂ©tien, il put rĂ©pondre que c'Ă©tait vraiment pour vivre avec l'espĂ©rance de la rĂ©surrection des morts. Le fait de confesser sa foi aurait dĂ» empĂȘcher les pharisiens de l’attaquer et aurait dĂ» permettre que l’apĂŽtre soit protĂ©gĂ© de toute violence illicite.

      Qu’il est simple pour Dieu de dĂ©fendre Sa propre cause ! Bien que les Juifs semblaient ĂȘtre dans un parfait accord de conspiration contre la religion, ils Ă©taient cependant dĂ©stabilisĂ©s par divers motifs d’interprĂ©tations diffĂ©rentes de la Loi.

      On ne peut trouver de rĂ©elle entente d’amitiĂ© parmi les mĂ©chants, et parfois, Dieu peut trĂšs facilement transformer leur union temporaire en une franche inimitiĂ©.

      Les consolations divines fortifiĂšrent et gardĂšrent Paul ; le tribun, dirigeant de la troupe, le soustrait aux mains de ses cruels accusateurs, sans connaĂźtre rĂ©ellement l‘exactitude des faits.

      Nous ne devons pas avoir peur de ceux qui s’opposent Ă  nous, tant que le Seigneur nous ouvre la voie. Christ dĂ©sire que Ses serviteurs, ceux qui Lui sont fidĂšles, soient toujours heureux. Paul pouvait rĂ©ellement penser qu'il ne verrait jamais Rome ; mais Dieu annonça que le vƓu de l’apĂŽtre lui serait accordĂ©, pour l'honneur de Christ, et pour pratiquer le bien.

      1 Corinthiens 15

      12 Ayant montré que Christ est ressuscité, l'apÎtre répond maintenant à ceux qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de résurrection.

      Il n'y aurait pas eu de justification, ni de salut, si Christ n'Ă©tait pas ressuscitĂ©. La foi en Christ ne serait-elle pas vaine et sans utilitĂ©, s'Il Ă©tait encore parmi les morts ? La rĂ©surrection de notre Seigneur se prouve par celle de Son corps. MĂȘme ceux qui sont morts dans la foi, auraient pĂ©ri dans leurs pĂ©chĂ©s, si Christ n'Ă©tait pas ressuscitĂ©. Tous ceux qui croient en Christ placent leur espĂ©rance en Lui, Le RĂ©dempteur, espĂ©rance basĂ©e sur Sa rĂ©demption et le salut qu’Il offre ; s'il n'y avait pas eu de rĂ©surrection, ni de certitude de la vie Ă©ternelle, leur confiance en Lui n’aurait Ă©tĂ© limitĂ©e que pour la vie ici-bas. Un tel Ă©tat d’ñme devrait ĂȘtre la pire des conditions en ce monde, pire que les flĂ©aux de l'humanitĂ©, en particulier au temps des apĂŽtres, avec tout le contexte philosophique qui les entourait : les chrĂ©tiens Ă©taient alors dĂ©testĂ©s et persĂ©cutĂ©s.

      Mais tel n’est pas le cas : les chrĂ©tiens, ici-bas, reçoivent un solide rĂ©confort spirituel, mĂȘme lors de leurs difficultĂ©s et de leurs Ă©preuves, mĂȘme au temps de la persĂ©cution la plus virulente...

      2 Timothée 2

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