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18
Mais Jésus, pénétrant leur ruse, leur lança : — Espèces d’hypocrites ! Pourquoi essayez-vous de me prendre au piège ?
35
L’un d’entre eux, un docteur de la loi, voulut lui tendre un piège. Il lui demanda : —
2
Survinrent des pharisiens qui lui posèrent cette question pour le prendre au piège : — Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ?
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Mais les pharisiens et les docteurs de la loi, qui ont refusé de se faire baptiser par lui, ont méprisé la volonté de Dieu et ont fait échouer son plan à leur égard.
25
À ce moment-là, un docteur de la loi intervint et posa à Jésus une question pour l’embarrasser. — Maître, lui dit-il, qu’est-ce que je dois faire pour être sûr d’obtenir la vie éternelle ?
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Jésus lui répondit : — Qu’est-ce qui est écrit dans notre loi ?
27
Que dit-elle à ce sujet ? Comment la comprends-tu ? — Aime le Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, lui répondit-il. Et : Aime ton prochain comme toi-même.
28
— Excellente réponse, lui dit Jésus, fais cela et tu auras la vie.
29
Mais le docteur de la loi voulant montrer que sa question était justifiée, répliqua : — Oui, mais qui donc est mon prochain ?
30
Pour répondre à cette question, Jésus lui dit : — Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, quand il fut attaqué par des brigands. Ils lui arrachent ses habits, le maltraitent et s’en vont, le laissant à moitié mort.
31
Il se trouve qu’un prêtre descend par le même chemin. Il voit cet homme, passe de l’autre côté de la route et s’éloigne.
32
Après lui, un lévite arrive, lui aussi, au même endroit. Il s’approche, voit le blessé, puis prend l’autre côté de la route et s’éloigne.
33
Mais un Samaritain, voyageant par là, arrive près de l’homme. Lorsqu’il le voit, il est pris de pitié pour lui.
34
Il s’approche, soigne ses plaies avec de l’huile et du vin, avant de les recouvrir de pansements, puis il le charge sur sa propre mule et le conduit dans un centre d’hébergement où il le soigne de son mieux.
35
Le lendemain, il sort deux deniers de sa poche, les remet au tenancier et lui dit : « Voudrais-tu prendre soin de cet homme ? Au cas où tu dépenserais davantage pour lui, je te le rembourserai lorsque je repasserai ».
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Et Jésus ajouta : — À ton avis, lequel des trois s’est montré le prochain de l’homme qui fut victime des brigands ? —
37
C’est celui qui a eu pitié de lui, lui répondit le docteur de la loi. — Eh bien, va et agis de même ! lui dit Jésus.
45
Là-dessus, un docteur de la loi se mit à protester et dit à Jésus : — Maître, en parlant ainsi, tu nous insultes, nous aussi ! —
46
Oui, malheur à vous aussi, docteurs de la loi ! lui rétorqua-t-il. Vous imposez aux gens des fardeaux qu’ils sont incapables de porter, mais vous-mêmes, vous ne voudriez pas y toucher du petit doigt !
52
Malheur à vous, docteurs de la loi ! Vous vous êtes emparés de la clé qui permet d’accéder à la connaissance (du salut). Non seulement vous n’y pénétrez pas vous-mêmes, mais si quelqu’un veut y entrer, vous l’en empêchez !
3
Jésus, prévenant leurs pensées, s’adressa aux docteurs de la loi et aux pharisiens : — D’après la loi, est-il permis ou non de faire une guérison le jour du sabbat ?
13
Prends toutes dispositions pour qu’il soit pourvu au voyage de Zénas, le juriste, et d’Apollos, afin que rien ne leur manque.
D'après Marc, (Marc 12.28 et suivants) qui rapporte le dialogue d'une manière plus complète, ce légiste n'aurait pas été animé de dispositions hostiles, car Jésus porte sur lui un jugement favorable.
L'expression pour l'éprouver n'implique du reste pas nécessairement une intention hostile. (Comparer Jean 6.6)
Peut-être les pharisiens chargèrent-ils ce légiste de porter la parole, précisément parce qu'il était plus modéré que la plupart d'entre eux. Peut-être aussi reçut-il de la présence et de la parole de Jésus une impression sérieuse qui changea les dispositions de son cœur.