302 - anpas de définition en Français rigoureusement équivalente
694 - argurionargent (métal) de l'argent (monnaie) une pièce d'argent, un « shekel » (un sicle)
906 - ballojeter ou laisser tomber une chose sans se préoccuper de l'endroit de la chute éparpiller, …
1163 - deiil est nécessaire, il est besoin de, il est juste et correct nécessité liée à …
1473 - egoJe, moi, mon, ma, mes ...
1699 - emosmon, mien, etc.
2064 - erchomaivenir de personnes arriver d'un lieu vers un autre, utilisé aussi pour les arrivants apparaître, …
2532 - kaiet, aussi, même, en effet, mais
2865 - komizoaimer, prendre soin de, pourvoir à prendre et transporter pour prendre soin et préserver apporter, …
3450 - mouJe, moi, mon, de moi
3767 - ounalors, donc, c'est pourquoi, en conséquence, par conséquent, les choses étant ainsi
4571 - setoi, tu
4862 - sunavec
5110 - tokosnaissance l'action de produire ce qui a été produit, descendant intérêt de l'argent, usure (car …
5133 - trapezitesun changeur de monnaie, courtier, agent de change, banquier quelqu'un qui change de la monnaie …
5629Temps - Aoriste Second 5780 Voix - Active 5784 Mode - Infinitif 5795 Nombre - …
5631Temps - Aoriste Second 5780 Voix - Active 5784 Mode - Participe 5796 Nombre - …
5668Temps - Aoriste 5777 Voix - Moyenne 5785 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 88
5713Temps - Imparfait 5775 Voix - Pas de Voix indiquée 5799 Mode - Indicatif 5791 …
En effet, même s'il était un homme dur et injuste, qui ne pût inspirer à son serviteur que de la crainte, celui-ci aurait dû, par cette crainte seule, faire valoir l'argent de son maître par des banquiers : séparant ainsi son bien de celui de son maître, il n'aurait pas, à proprement parler, fait de tort à celui-ci ; il aurait au moins réalisé cette justice à laquelle il en appelle.
Cette pensée ressort finement du contraste formé par ces deux mots : ce qui est à toi, (verset 25) ce qui est à moi. (verset 27)
On a donné de ce dernier trait : porter l'argent aux banquiers des explications plus ou moins arbitraires. Les uns ont vu dans ces banquiers des associations chrétiennes auxquelles le serviteur paresseux aurait pu confier les ressources qu'il ne voulait pas faire valoir lui-même ; d'autres, des chrétiens plus avancés, sous la direction desquels il aurait dû se placer.
D'autres encore voient dans l'acte de porter l'argent aux banquiers, le renoncement à la profession chrétienne qui est commandé à ceux qui n'ont pas dans le cœur la foi et l'amour de leur Maître.
M. Godet pense que la banque est "le trésor divin, et l'acte de dépôt, réclamé du serviteur, un état de prière dans lequel le serviteur, qui se croit incapable d'agir lui-même pour la cause de Christ, peut au moins demander à Dieu de tirer de lui et de sa connaissance chrétienne le parti qu'il trouvera bon." Il est peut-être prudent de ne pas presser ce détail de la parabole.