906 - ballojeter ou laisser tomber une chose sans se préoccuper de l'endroit de la chute éparpiller, …
1063 - garcar, parce que, en effet ...c'est que en effet, oui accompagnant une question: en effet, …
1779 - entaphiazopréparer un corps à la sépulture, par tout ce que nécessitent les funérailles: vêtements, fleurs, …
1909 - episur, à, par, avant de position: sur, à par, au dessus, contre à travers, au …
3165 - meJe, moi, mon, ma, etc.
3450 - mouJe, moi, mon, de moi
3464 - murononguent, parfum, huile odorante
3778 - houtosce, cet, cette, ces ...
4160 - poieofaire avec les noms des choses faites, produire, construire, former, façonner, etc. être les auteurs, …
4314 - prosà l'avantage de à, près de, par vers, envers, avec, en considération de
4983 - somale corps, des hommes ou des animaux un corps mort ou cadavre le corps vivant …
5124 - toutocette (chose), ces (choses)
5631Temps - Aoriste Second 5780 Voix - Active 5784 Mode - Participe 5796 Nombre - …
5656Temps - Aoriste 5777 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 2319
5658Temps - Aoriste 5777 Voix - Active 5784 Mode - Infinitif 5795 Nombre - 516
On admet généralement que, par ces paroles, Jésus prête à Marie une pensée, une intention qu'elle n'avait pas, afin de donner plus de valeur à son action, et de la justifier entièrement aux yeux des disciples. Nous ne pouvons adopter cette interprétation.
Elle donne aux paroles de Jésus un sens qui ne serait pas entièrement vrai. Sans aucun doute, Marie, dans son âme profonde et aimante, avait pressenti la mort prochaine du Maître.
Elle avait pénétré le sens des prédictions nombreuses que Jésus avait faites de cette mort, tandis que les disciples n'y avaient rien compris. Elle avait vu d'ailleurs la haine de ses adversaires grandir à la suite de la résurrection de son frère. (Jean 12.10)
Et elle remarquait qu'il y avait dans la personne et dans les paroles de Jésus, pendant ce séjour à Béthanie, quelque chose de particulièrement sérieux et solennel.
Il n'en fallait pas davantage pour faire naître dans l'âme d'une Marie ce pressentiment douloureux auquel Jésus donne une expression plus précise. Les paroles qu'il prononce durent être d'ailleurs pour Marie une révélation nouvelle, en même temps qu'une précieuse approbation de ce qu'elle venait de faire