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17
Et, les laissant, il sortit de la ville, et s'en alla à Béthanie, où il passa la nuit.
6
Et Jésus étant à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux,
12
Le lendemain, comme ils sortaient de Béthanie, il eut faim.
3
Et Jésus étant à Béthanie, à table, dans la maison de Simon le lépreux, une femme vint à lui avec un vase d'albâtre, plein d'un parfum de nard pur et de grand prix, qu'elle lui répandit sur la tête, ayant rompu le vase.
4
Et quelques-uns en furent indignés en eux-mêmes, et dirent : Pourquoi perdre ainsi ce parfum ?
5
Car on pouvait le vendre plus de trois cents deniers, et les donner aux pauvres. Ainsi ils murmuraient contre elle.
6
Mais Jésus dit : Laissez-la ; pourquoi lui faites-vous de la peine ? Elle a fait une bonne action à mon égard.
7
Car vous aurez toujours des pauvres avec vous ; et toutes les fois que vous voudrez, vous pourrez leur faire du bien ; mais vous ne m'aurez pas toujours.
8
Elle a fait ce qui était en son pouvoir ; elle a embaumé par avance mon corps pour ma sépulture.
9
Je vous dis en vérité, que dans tous les endroits du monde où cet évangile sera prêché, ce qu'elle a fait sera aussi raconté en mémoire d'elle.
37
Et une femme de la ville, qui était de mauvaise vie, ayant su qu'il était à table dans la maison du pharisien, y apporta un vase d'albâtre, plein de parfum.
38
Et se tenant derrière, aux pieds de Jésus en pleurant, elle se mit à lui arroser les pieds de ses larmes, et elle les essuyait avec les cheveux de sa tête ; elle lui baisait les pieds, et les oignait de parfum.
39
Le pharisien qui l'avait convié, voyant cela, dit en lui-même : Si cet homme était prophète, il saurait qui est cette femme qui le touche, et qu'elle est de mauvaise vie.
1
Il y avait un homme malade, Lazare de Béthanie, bourg de Marie et de Marthe sa soeur.
2
(Marie était celle qui oignit le Seigneur de parfum, et qui essuya ses pieds avec ses cheveux ; et Lazare, son frère, était malade).
1
Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie, où était Lazare qui avait été mort, et qu'il avait ressuscité.
2
On lui fit là un souper, et Marthe servait, et Lazare était un de ceux qui étaient à table avec lui.
3
Alors Marie ayant pris une livre de parfum de nard pur, d'un grand prix, en oignit les pieds de Jésus, et les essuya avec ses cheveux ; et la maison fut remplie de l'odeur du parfum.
4
Alors Judas l'Iscariote, fils de Simon, l'un de ses disciples, celui qui devait le trahir, dit :
5
Pourquoi n'a-t-on pas vendu ce parfum trois cents deniers, pour les donner aux pauvres ?
6
Il disait cela, non qu'il se souciât des pauvres, mais parce qu'il était larron, et qu'ayant la bourse, il portait ce qu'on y mettait.
7
Jésus lui dit donc : Laisse-la faire ; elle a gardé ce parfum pour le jour de ma sépulture.
8
Car vous aurez toujours des pauvres avec vous ; mais vous ne m'aurez pas toujours.
- Matthieu et Marc, plus occupés du sens intime du touchant récit qui va suivre que de la chronologie, le placent à l'entrée de l'histoire de la Passion, à cause de son étroite relation avec les souffrances du Sauveur, dont il devait être la sainte inauguration. (verset 12 ; comparez Matthieu 21.1, note.)
D'après Jean (Jean 12.1 et suivants) ce repas à Béthanie eut lieu six jours avant la Pâque, la veille de l'entrée solennelle à Jérusalem. Personne, en effet, ne conteste plus aujourd'hui que Jean et les deux premiers évangiles ne racontent le même fait avec quelques légères différences dans les détails.
Ainsi Jean ne dit pas que la scène se passe dans la maison de Simon le lépreux (homme inconnu du reste dans l'histoire, et qui probablement avait été guéri de la lèpre par Jésus), mais il ne dit nullement le contraire. Ce Simon pouvait être un parent ou un ami intime de Marthe et de Marie, et il n'y a rien d'étonnant dans le fait qu'elles sont présentes avec leur frère et qu'elles agissent comme étant chez elles.
- Mais un autre trait de l'histoire évangélique qu'on a quelquefois confondu avec celui-ci, c'est l'histoire de la pécheresse, rapportée par Luc. (Luc 7.36 et suivants) Tout dans cette dernière est absolument différent : le temps, le lieu, les circonstances, les personnes, le sens moral et le but entier du récit. (Voir les notes.)
Si le cœur d’une personne possède un véritable amour pour Jésus-Christ, rien ne sera considéré comme trop beau pour Lui être offert. Plus les serviteurs de Christ sont remis en cause quant à leur service, plus le Seigneur manifeste Son approbation à leur égard.
L’acte de foi et d'amour de cette femme, était si remarquable, qu'il méritait d’être rapporté dans l’évangile : il ressemble à la foi et à l'amour de Marie, toujours restée discrète durant le ministère de Jésus. En tous lieux où l'évangile devait être prêché, cette histoire devait être relatée. Cette prophétie est accomplie !