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Le pharaon répliqua :
—Vous êtes des fainéants, oui, des fainéants ! Voilà pourquoi vous dites : « Nous voudrions aller offrir des sacrifices à l’Eternel. »
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Lorsque son frère aîné Eliab l’entendit discuter avec les soldats, il se mit en colère contre lui et lui dit :
—Que viens-tu faire ici ? A qui as-tu laissé nos quelques moutons dans la steppe ? Je te connais bien, moi, petit prétentieux ! Je sais quelles mauvaises intentions tu as dans ton cœur ! Tu n’es venu que pour voir la bataille !
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David lui répondit :
—Eh ! Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Est-ce que je n’ai plus le droit de parler maintenant ?
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J’ai aussi constaté que tout labeur et que toute habileté que les hommes mettent à leurs œuvres sont motivés par la rivalité des uns envers les autres. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
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oui, vous qui dites : « Quand la nouvelle lune sera-t-elle passée,
pour que nous vendions notre blé ?
Quand le sabbat finira-t-il
pour que nous ouvrions nos magasins de grains ?
Nous diminuerons la mesure,
nous en augmenterons le prix,
en truquant les balances,
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Voici ce que déclare le Seigneur des *armées célestes :
—Les gens de ce peuple prétendent : « Le temps n’est pas venu encore, le temps où le Temple de l’Eternel doit être rebâti. »
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Alors la parole de l’Eternel leur fut adressée par le prophète Aggée :
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—Est-il temps pour vous-mêmes d’habiter à votre aise des maisons lambrissées, alors que ce Temple est en ruine ?
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Vous apportez sur mon autel des aliments impurs et puis vous demandez : « En quoi t’avons-nous profané ? » C’est en disant : « La table de l’Eternel n’a guère d’importance. »
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Quand, pour le sacrifice, vous venez présenter un animal aveugle, n’y a-t-il rien de mal ? Et quand vous présentez une bête éclopée ou un agneau malade, n’y a-t-il rien de mal ? Offrez-le donc à votre gouverneur ! Sera-t-il content de vous ? Ou vous fera-t-il bon accueil ? dit l’Eternel, le Seigneur des armées célestes.
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Ensuite, après avoir agi ainsi, vous venez supplier Dieu d’avoir pitié de vous ! Vous fera-t-il bon accueil ? C’est là ce que demande le Seigneur des armées célestes.
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Qui enfin, parmi vous, se décidera à fermer les portes de mon Temple, pour que vous n’allumiez plus inutilement le feu sur mon autel ? Je n’ai aucun plaisir en vous, dit l’Eternel, le Seigneur des armées célestes. Je n’accepte pas l’offrande de vos mains.
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« Quel fardeau ! », dites-vous, et vous me dédaignez, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes. Vous apportez ici des bêtes dérobées, boiteuses ou malades ; ce sont là vos offrandes. Croyez-vous que je vais les accepter de vous ? demande l’Eternel.
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En voyant cela, les disciples manifestèrent leur indignation en disant :
—Pourquoi un tel gaspillage ?
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Quelques-uns s’en indignèrent et murmurèrent entre eux :
—Pourquoi gaspiller ainsi ce parfum ?
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Judas Iscariot, l’un des *disciples de Jésus, celui qui allait le trahir, dit :
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—Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum ? On aurait pu donner aux pauvres au moins trois cents deniers !
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S’il parlait ainsi, ce n’était pas parce qu’il se souciait des pauvres ; mais il était voleur et, comme c’était lui qui gérait la bourse commune, il gardait pour lui ce qu’on y mettait.
D'après Marc, ce furent quelques-uns (des disciples) qui firent entendre ces murmures. Selon le récit de Jean, ce fut Judas qui, obéissant à une basse cupidité, entraîna ainsi quelques autres disciples, dont le légalisme étroit ne pouvait comprendre cet acte de dévouement et d'amour.