Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
10
Les Israélites sont groupés par familles à l’entrée de leurs tentes. Moïse les entend se plaindre. Alors le SEIGNEUR se met dans une violente colère. Et Moïse n’est pas content du tout.
11
Il demande au SEIGNEUR : « Pourquoi est-ce que tu me fais du mal ? Tu ne me montres plus ta bonté. Pourquoi donc ? Ce peuple qu’il faut diriger est une charge très lourde. Pourquoi est-ce que tu m’as obligé à la porter ?
12
Qui a donné la vie à ce peuple ? Qui l’a mis au monde ? Ce n’est pas moi ! Et pourtant, tu m’as donné cet ordre : “Porte ce peuple comme on porte un bébé, et conduis-le dans le pays que j’ai promis par serment à ses ancêtres.”
13
Tous ces gens se plaignent de moi en disant : “Donne-nous de la viande à manger !” Où vais-je trouver de la viande pour en donner à tout ce peuple ?
14
Je ne peux pas porter ce peuple tout seul. C’est une charge trop lourde pour moi.
15
Si tu veux me traiter de cette façon, fais-moi plutôt mourir ! Ainsi tu me montreras ta bonté, et je n’assisterai pas à mon malheur. »
3
Moïse est un homme très humble, plus humble que tous les autres habitants de la terre.
10
Moïse et Aaron réunissent l’assemblée des Israélites devant le rocher et ils leur disent : « Écoutez donc, vous qui vous révoltez ! Est-ce que nous serons capables de faire sortir pour vous de l’eau de ce rocher ? »
11
Moïse lève la main et, avec son bâton, il frappe le rocher deux fois. Aussitôt, l’eau sort en grande quantité. La communauté d’Israël peut boire et ses troupeaux aussi.
12
Mais le SEIGNEUR dit à Moïse et à Aaron : « Vous n’avez pas eu confiance en moi, vous n’avez pas montré aux Israélites que je suis le vrai Dieu ! Pour cela, ce n’est pas vous qui conduirez ce peuple dans le pays que je leur donne. »
32
Ils ont mis le SEIGNEUR en colère près de l’eau de Mériba, et ils ont fait le malheur de Moïse.
33
Ils l’ont mis hors de lui, alors Moïse a parlé sans réfléchir.
6
Le SEIGNEUR relève les malheureux, mais il abaisse jusqu’à terre les gens mauvais.
4
Oui, le SEIGNEUR se plaît au milieu de son peuple. Les gens simples, il les honore en leur sauvant la vie.
5
Ils sont heureux, ceux qui sont doux, parce qu’ils recevront la terre comme un don de Dieu !
29
Je ne cherche pas à vous dominer. Prenez donc, vous aussi, la charge que je vous propose, et devenez mes disciples. Ainsi, vous trouverez le repos pour vous-mêmes.
5
« Dites à la ville de Sion : Regarde ! Ton roi vient vers toi ! Il est plein de douceur. Il est monté sur une ânesse et sur un ânon, le petit d’une bête qui porte des charges. »
1
Moi, Paul, je vous fais une demande personnelle à cause de la douceur et de la bonté du Christ. On dit que je suis timide quand je suis en face de vous, et énergique avec vous quand je suis loin !
5
Pourtant, je pense que j’ai autant de valeur que vos espèces de grands apôtres.
11
Vous voyez, je deviens fou ! Vous m’avez forcé à cela. C’est vous qui deviez vanter mes qualités. En effet, je n’ai rien de moins que vos espèces de grands apôtres, et pourtant je ne suis rien !
7
Pourtant, nous, les apôtres du Christ, nous pouvions faire peser notre autorité sur vous. Au contraire, quand nous étions avec vous, nous avons été pleins de douceur, comme une mère qui prend soin de ses enfants.
2
Nous faisons tous beaucoup d’erreurs. Si quelqu’un parle sans faire d’erreur, il est parfait, il peut être maître de tout son corps.
3
Quand nous mettons une tige en fer dans la bouche des chevaux pour les faire obéir, nous pouvons diriger tout leur corps.
13
Est-ce qu’il y a quelqu’un de sage parmi vous ? Est-ce qu’il y a quelqu’un d’intelligent ? Alors il doit le montrer par sa bonne conduite, par des actes faits avec douceur et sagesse.
4
Elle doit être cachée à l’intérieur de vous-mêmes. Un cœur doux et calme, voilà la beauté qui a beaucoup de valeur pour Dieu, et elle ne disparaît pas.
Moïse était fort doux. Dès qu'il s'agit de sa position personnelle, Moïse ne réclame point. Il est ardent quand il s'agit de la gloire de l'Eternel, doux et humble dans sa propre cause.
Cette remarque du narrateur, placée après les mots : Et l'Eternel l'entendit, explique pourquoi l'Eternel intervient immédiatement et sans que Moïse se soit plaint à lui. Celui-ci a laissé place à la colère (divine), selon l'expression de saint Paul (Romains 12.19). Le lecteur même qui pense que ce récit est procédé de la main de Moïse, doit, semble-t-il, reconnaître que cette remarque a été introduite ici par une autre main, mais évidemment par la main de quelqu'un qui connaissait de Moïse autre chose que les deux traits racontés Exode 2.12 et 23.19.