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Un nouveau plan de lecture à découvrir : L'identité en Christ

Nombres 6.23

"Speak to Aaron and to his sons, saying, 'This is how you shall bless the children of Israel.' You shall tell them,
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      Genèse 14

      Genèse 24

      Genèse 27

      Genèse 28

      Genèse 47

      7 Jacob, avec la solennité que confère son âge, la piété d'un vrai croyant, et l'autorité d'un patriarche en même temps que prophète, a sollicité le Seigneur de bien vouloir accorder Sa bénédiction sur Pharaon. Il a agi sans avoir honte de sa religion ; de plus, il voulait exprimer sa gratitude au bienfaiteur de sa famille. Nous sommes ici en présence d'une réponse très particulière donnée à une question tout à fait commune. Jacob estime que sa vie a été un véritable pèlerinage ; il a séjourné, en tant qu'étranger, dans de nombreux endroits, même dans son pays d'origine. Sa véritable maison n'était pas ici-bas ; sa demeure, son héritage, ses trésors se trouvaient en réalité dans les cieux ! Il comptait avec attention tous les jours de sa vie ; tous les jours de notre vie sont comptés, et nous ne sommes pas sûrs du lendemain... Sachons donc bien en saisir toute la valeur.

      Les jours du patriarche furent peu nombreux. Bien qu'il ait vécu cent trente an, ils ne représentèrent que peu de temps, en comparaison avec l'éternité. Ces années furent mauvaises ; il en est de même pour tout homme. Il n'est que peu de jours sur terre et de plus il est souvent soumis à l'épreuve ; la vie de Jacob n'a pas été facile. La vieillesse l'a surpris plus tôt que la majorité de ses pères. De même que le jeune homme ne devrait pas être fier de sa force ou de sa beauté, le vieillard ne devrait pas l'être davantage, de son âge et de ses cheveux blancs, malgré le respect qu'il est en droit de demander ; de nos jours, les vieillards n'atteignent pas forcément l'âge des patriarches des temps bibliques. Les cheveux blancs ne sont qu'une couronne de gloire, lorsqu'ils sont toutefois portés par une personne cheminant dans la droiture.

      Dans notre texte, le propos de Jacob ne pouvait que faire réfléchir Pharaon, en lui rappelant que la prospérité et le bonheur dans ce monde ne peuvent durer bien longtemps ni satisfaire le cœur des hommes indéfiniment.

      Après une vie de vanité et de vexations, l'homme finit dans la tombe, qu'il descende d'un trône ou d'une modeste maison. Rien ne peut nous rendre plus heureux que de discerner la perspective d'une maison éternelle dans le ciel, après notre court et souvent pénible pèlerinage sur terre.

      Genèse 48

      Lévitique 9

      22 Quand les sacrifices solennels et la bénédiction finale furent achevés, Dieu manifesta Son approbation. C'est alors que le feu, envoyé par l'Éternel consuma le sacrifice, manifestant ainsi la présence divine. Ce feu jaillit devant le peuple rassemblé : cela signifiait qu'il consumait les sacrifices pour l'ensemble des péchés commis ; cela manifestait également l'approbation divine, quant à l'expiation du pécheur.

      C'était une image de toutes les choses merveilleuses qui devaient s'accomplir plus tard, au temps de l'évangile. Le Saint-Esprit descendit sur les apôtres sous la forme d'une flamme de feu. La descente de ce feu dans nos âmes, illumine notre piété et notre affection pour notre Père céleste. Cela nous donne également du zèle pour nous détourner de la chair et de ses convoitises ; cette action céleste est le témoignage de l'approbation divine quant à notre repentance. Nous ne pouvons rien offrir à Dieu ; par contre, tout ce que nous détenons vient de Lui. Nous devons posséder la grâce, ce merveilleux feu venant de Dieu, sinon, nous ne pouvons le servir convenablement, Heb 12:28.

      Dans notre texte, nous lisons que le peuple était impressionné en voyant la Grâce et la Gloire de l'Éternel. Les Israélites exprimaient alors une joie extrême : ils possédaient l'assurance triomphante que Dieu se trouvait parmi eux ; ils tombèrent avec humilité sur leur face : ils adorèrent la majesté de ce Dieu qui daignait se manifester en personne. C'est l'attitude typique du pécheur qui a la crainte de Dieu, seul sentiment qui permette de s'approcher de Lui. La crainte respectueuse de Dieu ne peut que nous inciter à nous incliner devant Lui !

      Nombres 6

      Deutéronome 10

      Deutéronome 21

      Deutéronome 33

      1

      La majesté glorieuse de Dieu. (Deutéronome 33:1-5)
      Les bénédictions des douze tribus. (Deutéronome 33:6-23)
      La force accordée aux croyants. (Deutéronome 33:24,25)
      L'excellence d'Israël. (Deutéronome 33:26-29)

      Moïse prononça une bénédiction solennelle, pour clore L'énoncé de tous les préceptes, avertissements et prophéties préalablement donnés. Le patriarche, tout en donnant la loi, a décrit l'apparence glorieuse de Dieu. Les directives de l'Éternel sont comme le feu : si elles sont acceptées, elles réchauffent l'âme, fondent, purifient et brûlent toutes traces de corruption ; si elles sont rejetées, elles endurcissent le cœur, procurent la souffrance et amènent à la destruction finale.

      Le Saint-Esprit vint ici-bas sous la forme de langues de feu ; l'évangile est aussi une « loi brûlante ». La loi de Dieu, écrite dans les cœurs, est en quelque sorte, une preuve de l'amour divin, répandu ici-bas : nous devons reconnaître la loi de l'Éternel, comme l'un des dons de Sa Grâce !

      Josué 8

      1 Chroniques 23

      Luc 24

      50 \\ #50-53\\ Christ se rendit à Béthanie, à proximité de la Montagne des Oliviers, près du jardin de Gethsémané, là où Ses souffrances avaient commencé : Il était alors à l’agonie.

      Ceux qui désirent aller au ciel, doivent y monter à partir de la « maison des souffrances et des peines de la repentance ». Les disciples n’ont pas vu sortir Jésus du tombeau ; Sa résurrection pouvait leur être prouvée par le fait qu'ils Le virent vivant, plus tard ; ils l'ont par contre vu monter au ciel ! Ils ne pouvaient avoir de meilleure preuve de Sa résurrection !

      Jésus leva les mains et bénit Ses disciples. Il n'est pas parti avec un sentiment de tristesse, mais avec amour : Il a laissé derrière Lui Sa bénédiction. Il est monté au ciel de la même façon qu'Il est ressuscité, c’est à dire par Sa propre Puissance. Les disciples Lui rendirent hommage. Cette belle manifestation de la Gloire de Christ poussa ces derniers à vraiment Le remercier et à Le louer.

      Les disciples, dans une grande joie, revinrent ensuite à Jérusalem. En fait, la Gloire de Christ est à l’origine de la joie de tous les véritables croyants.

      Alors que nous nous attendons à l’accomplissement des promesses divines, nous devons le faire en adressant à Dieu nos louanges. Rien ne peut mieux préparer notre âme à recevoir le Saint-Esprit. Les craintes sont alors réduites au silence, les peines sont adoucies, apaisées et les espoirs sont maintenus. Toute la ferveur d’un chrétien repose sur l’accès au trône de la Grâce ; le trône du Père est en effet celui de la Grâce, pour nous, car il est aussi le trône de notre Médiateur, Jésus-Christ ! Nous pouvons compter sur Ses promesses.

      Appuyons-nous sur Ses ordonnances, louons et bénissons Dieu pour Ses miséricordes, plaçons nos désirs sur les choses « d'en haut », et attendons le retour du Rédempteur, pour parfaire notre bonheur. Amen.

      Qu'il en soit ainsi, Seigneur Jésus, reviens bientôt !

      Romains 1

      1 Corinthiens 1

      2 Corinthiens 13

      Hébreux 7

      1

      Comparaison entre le sacerdoce de Melchisédech et celui de Christ. (Hébreux 7:1-3)
      Démonstration de l'excellence du sacerdoce de Christ par rapport à celui du Lévitique. (Hébreux 7:4-10)
      Le sacerdoce appliqué à Christ. (Hébreux 7:11-25)
      La foi et l'espérance de l'église encouragées par ce sacerdoce. (Hébreux 7:26-28)

      Melchisédech rencontra Abraham, alors que ce dernier revenait de délivrer Lot. Ce nom, Melchisédech, signifiant « Roi de Justice », convient indubitablement au caractère de ce personnage, le désignant comme un modèle du Messie et de Son Royaume.

      Le nom de sa ville (Salem) signifie « Paix ; » en tant que « roi de paix », il a été un modèle de Christ, le Prince de Paix, le grand Réconciliateur entre Dieu et l'homme. Rien n'est rapporté dans les Écritures, sur Melchisédech, quant au commencement ou à la fin de sa vie ; il a ressemblé ainsi au Fils de Dieu, dont l'existence demeure, d'éternité en éternité ; il n’y avait aucun sacrificateur avant Melchisédech, et personne ne lui succéda, dans son sacerdoce.

      Chaque verset de l'Écriture honore le grand Roi de Justice et de Paix, notre « Souverain Sacrificateur » glorieux et notre Sauveur ; plus nous examinerons la Parole de Dieu, plus nous serons convaincus que le témoignage de Jésus est l'esprit de prophétie.

      Hébreux 11

      20 Isaac bénit Jacob et Ésaü.

      Les avantages du temps présent ne sont pas forcément ce qu’il y a de mieux : nul n’a pu connaître l'amour (ou la haine), en voulant rechercher obstinément ce que le temps présent ne pouvait lui offrir dans l’immédiat.

      Jacob vivait par la foi ; il est mort dans la foi. Les bénéfices de la foi sont toujours présents, durant notre vie entière, et particulièrement à l’heure de la mort. En résumé, la foi est d’une grande importance, en aidant les croyants à « mourir dans le Seigneur », de façon à L'honorer, par notre patience, notre espérance et notre joie spirituelles.

      Joseph a été soumis à la tentation ; il a été persécuté à cause de son intégrité ; il a été tenté par les honneurs et le pouvoir, à la cour de Pharaon, mais cependant, sa foi l'a protégé. C'est une grande miséricorde que de pouvoir se soustraire aux mauvaises lois et aux vains décrets ; quand nous ne sommes pas astreints à les subir, nous devons utiliser tous les moyens légaux pour pallier à notre sécurité.

      La foi des parents de Moïse était mêlée d’une certaine incrédulité, mais Dieu a bien voulu ne pas en tenir compte. La foi donne une force capable de combattre toute crainte coupable et servile ; elle place l’âme devant Dieu et montre la vanité de la créature ; elle « montre » que tout doit ouvrir la route à la Volonté et au Pouvoir de Dieu.

      Les plaisirs du péché sont, et seront toujours éphémères ; ils doivent rapidement se terminer dans le repentir, voire, dans le pire des cas, dans une ruine brutale. Les plaisirs de ce monde sont pour la plupart, axés sur ceux du péché ; il en est toujours ainsi et nous ne pouvons pas les apprécier sans abandonner Dieu et Son peuple. La souffrance doit être préférée au péché ; il se trouve plus de mal dans le moindre péché que dans la plus grande souffrance.

      Le peuple de Dieu est, et a toujours été maltraité. Christ a souffert Lui-même de l'opprobre ; les personnes citées dans ce texte ont toutes obtenu, par leur foi, une plus grande richesse que les trésors de l'empire le plus riche du monde. Moïse a fait son choix lorsqu'il fut capable de vraiment discerner les conséquences d’un jugement divin, opposé aux plaisirs de ce monde.

      Il est nécessaire pour chacun de pratiquer la piété avec beaucoup de sérieux, de savoir mépriser le monde, alors qu'il nous attire par ses convoitises. Les croyants doivent songer sagement à leur récompense future. Par la foi, nous pouvons être totalement assurés de pouvoir bénéficier de la Providence de Dieu, et associés à Sa présence pleine de Grace et à Sa Puissance. Une telle perception de Dieu permettra aux croyants de se garder spirituellement jusqu'à la fin, quels que soient les aléas rencontrés sur leur chemin.

      Ce n'est pas par notre propre justice, ou par de meilleures performances, que nous sommes sauvés du courroux de Dieu, mais par le sang de Christ, et la justification qui lui est imputée. Une foi authentique rend le péché amer pour l'âme, même si cette dernière reçoit l'expiation et le pardon. Tous nos privilèges spirituels ici-bas doivent nous laisser un chemin ouvert en direction du ciel.

      Le Seigneur a même fait tomber Babylone, face à la foi de Son peuple ; quand Dieu a quelque grand projet à exécuter, en faveur des Siens, Il leur donne une foi fervente. Un véritable croyant désire demeurer, non seulement avec Dieu, mais aussi en communion avec Son peuple.

      Par son geste, Rahab déclarait elle-même être juste. Il apparaît cependant pleinement qu'elle n'a pas été justifiée par ses œuvres, car ce qu'elle a opéré était entaché d’une certaine culpabilité ; elle ne pouvait donc pas prétendre, sans la foi, à la parfaite Justice ou à la Droiture de Dieu...

      1 Pierre 1

      2 Pierre 1

      2 Jean 1

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