Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne. Démarrez dès aujourd'hui le plan de lecture offert dont vous avez besoin.

Luc 20

Sommaire

Téléchargez l'application “Qui est Jésus ?”
GOOGLE PLAY APP STORE

TopChrétien est une plate-forme diffuseur de contenu de partenaires de qualité sélectionnés. Toutefois, si vous veniez à trouver un contenu vidéo illicite ou avec un problème technique, merci de nous le signaler en cliquant sur ce lien.

Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Versets relatifs

    • Luc 20

      1 Un jour que Jésus enseignait le peuple dans le temple, et qu'il annonçait l'Évangile, les principaux sacrificateurs et les scribes, avec les anciens, étant survenus,
      2 Lui parlèrent et lui dirent : Dis-nous par quelle autorité tu fais ces choses, et qui est celui qui t'a donné cette autorité ?
      3 Il répondit et leur dit : Je vous demanderai aussi une chose ; dites-la-moi :
      4 Le baptême de Jean venait-il du ciel ou des hommes ?
      5 Or, ils raisonnaient ainsi en eux-mêmes : Si nous disons : Du ciel, il dira : Pourquoi donc n'y avez-vous pas cru ?
      6 Et si nous disons : Des hommes, tout le peuple nous lapidera ; car il est persuadé que Jean est un prophète.
      7 C'est pourquoi ils répondirent qu'ils ne savaient d'où il venait.
      8 Et Jésus leur dit : Je ne vous dirai pas non plus par quelle autorité je fais ces choses.
      9 Alors il se mit à dire au peuple cette parabole : Un homme planta une vigne, et la loua à des vignerons, et fut longtemps absent.
      10 Et la saison étant venue, il envoya un serviteur vers les vignerons, afin qu'ils lui donnassent du fruit de la vigne ; mais les vignerons l'ayant battu, le renvoyèrent à vide.
      11 Et il envoya encore un autre serviteur ; mais l'ayant aussi battu et traité outrageusement, ils le renvoyèrent à vide.
      12 Il en envoya encore un troisième, mais ils le blessèrent aussi, et le chassèrent.
      13 Le maître de la vigne dit alors : Que ferai-je ? J'enverrai mon fils bien-aimé ; peut-être qu'en le voyant ils le respecteront.
      14 Mais les vignerons l'ayant vu, raisonnèrent ainsi entre eux, disant : Celui-ci est l'héritier ; venez, tuons-le, afin que l'héritage soit à nous.
      15 Et l'ayant jeté hors de la vigne, ils le tuèrent. Que fera donc le maître de la vigne ?
      16 Il viendra, et fera périr ces vignerons et il donnera la vigne à d'autres. Les Juifs ayant entendu cela, dirent :
      17 Qu'ainsi n'advienne ! Alors Jésus les regardant, leur dit : Que veut donc dire ce qui est écrit : La pierre que ceux qui bâtissaient ont rejetée, est devenue la principale pierre de l'angle ?
      18 Quiconque tombera sur cette pierre sera brisé, et elle écrasera celui sur qui elle tombera.
      19 Alors les principaux sacrificateurs et les scribes cherchèrent à l'heure même à jeter les mains sur lui ; car ils avaient reconnu qu'il avait dit cette parabole contre eux ; mais ils craignirent le peuple.
      20 C'est pourquoi, l'observant de près, ils apostèrent des gens qui contrefaisaient les gens de bien, pour le surprendre dans ses paroles, afin de le livrer au magistrat et au pouvoir du gouverneur.
      21 Ces gens lui adressèrent cette question : Maître, nous savons que tu parles et enseignes avec droiture, et que, sans faire acception de personne, tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité.
      22 Nous est-il permis de payer le tribut à César, ou non ?
      23 Mais Jésus comprenant leur artifice, leur dit : Pourquoi me tentez-vous ?
      24 Montrez-moi un denier. De qui a-t-il l'image et l'inscription ? Ils répondirent : De César.
      25 Et il leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
      26 Et ils ne purent le surprendre dans ses paroles devant le peuple ; mais, s'étonnant de sa réponse, ils se turent.
      27 Alors quelques-uns d'entre les sadducéens, qui nient la résurrection, s'étant approchés, l'interrogèrent en disant :
      28 Maître, Moïse nous a prescrit, que si le frère de quelqu'un est mort ayant une femme et qu'il soit mort sans enfants, son frère prenne sa femme et suscite lignée à son frère.
      29 Or, il y avait sept frères. Le premier ayant épousé une femme, mourut sans enfants.
      30 Le second épousa sa femme, et mourut sans enfants.
      31 Puis le troisième l'épousa aussi, et tous les sept de même ; et ils moururent sans laisser d'enfants.
      32 Après eux tous la femme mourut aussi.
      33 Duquel donc d'entre eux sera-t-elle femme à la résurrection ? Car les sept l'ont épousée.
      34 Jésus leur répondit : Les enfants de ce siècle se marient, et donnent en mariage.
      35 Mais ceux qui seront jugés dignes d'avoir part au siècle à venir et à la résurrection des morts, ne se marieront ni ne donneront en mariage.
      36 Car ils ne pourront non plus mourir, parce qu'ils seront semblables aux anges, et qu'ils seront enfants de Dieu, étant enfants de la résurrection.
      37 Et, que les morts ressuscitent, c'est ce que montre aussi Moïse quand il nomme, au buisson ardent, le Seigneur, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob.
      38 Or, Dieu n'est point le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants ; car tous vivent devant lui.
      39 Et quelques-uns des scribes prenant la parole, dirent : Maître tu as bien parlé.
      40 Et ils n'osaient plus lui faire aucune question.
      41 Alors il leur dit : Comment dit-on que le Christ est fils de David ?
      42 Et David lui-même dit dans le livre des Psaumes : Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite,
      43 Jusqu'à ce que j'aie fait de tes ennemis le marchepied de tes pieds.
      44 Si donc David l'appelle Seigneur, comment est-il son fils ?
      45 Et comme tout le peuple écoutait, il dit à ses disciples :
      46 Gardez-vous des scribes qui se plaisent à se promener en longues robes, et qui aiment les salutations dans les places, et les premiers sièges dans les synagogues, et les premières places dans les festins ;
      47 Qui dévorent les maisons des veuves, tout en affectant de faire de longues prières ; ils encourront une plus grande condamnation.
    • Luc 20

      1 Un de ces jours-là, pendant que Jésus enseignait le peuple dans la cour du temple et lui annonçait la Bonne Nouvelle, les grands-prêtres survinrent avec les interprètes de la loi et les anciens
      2 et l’interrompirent : — Dis-nous, lui demandèrent-ils, en vertu de quelle autorité tu agis comme tu le fais. Qui est-ce qui t’en a donné le droit ? —
      3 J’ai, moi aussi, une question à vous poser, répliqua-t-il, une seule. À vous de répondre :
      4 en vertu de quelle autorité Jean-Baptiste baptisait-il ? Tenait-il son mandat de Dieu ou des hommes ?
      5 Ils se mirent à réfléchir et à discuter entre eux : — Si nous disons : « C’est Dieu qui l’a envoyé », il va nous demander : « Pourquoi, alors, n’avez-vous pas cru en lui ? »
      6 Mais si nous répondons que sa mission était d’origine purement humaine, tout le peuple va nous tuer à coups de pierres, car ces gens-là sont convaincus que Jean était un prophète.
      7 Ils répondirent donc qu’ils ne savaient pas qui lui avait donné mission de baptiser. —
      8 Eh bien, reprit Jésus, moi non plus, je ne vous dirai pas en vertu de quelle autorité j’agis comme je le fais.
      9 Puis, s’adressant au peuple, il leur raconta cette parabole : — Un homme avait une vigne. Il la loua à des vignerons et partit pour un temps assez long à l’étranger.
      10 Au moment convenu, il envoie un serviteur vers les vignerons pour se faire remettre sa part de la récolte, mais les vignerons le maltraitent et le renvoient à vide.
      11 Le maître leur envoie un autre serviteur. Celui-là aussi, ils le renvoient à vide après l’avoir battu et accablé d’injures.
      12 Le maître essaie une troisième fois de leur envoyer un serviteur. Celui-là aussi se fait chasser après avoir été grièvement blessé.
      13 Le propriétaire du vignoble se dit alors : « Qu’est-ce que je pourrais bien faire ? Je vais leur envoyer mon fils, celui que j’aime, ils auront probablement du respect pour lui et le traiteront avec égards ».
      14 Mais quand les vignerons le reconnaissent, ils raisonnent ainsi entre eux : « Ah ! voilà le futur propriétaire ! Venez, tuons-le et l’héritage sera à nous ! »
      15 Effectivement, après l’avoir entraîné hors du vignoble, ils l’assassinent. — Comment, à votre avis, le propriétaire de la vigne les traitera-t-il ? (leur demanda Jésus.
      16 Puis il ajouta :) Il viendra en personne, il fera exécuter ces vignerons et confiera son vignoble à d’autres. — Espérons que non ! s’écrièrent les auditeurs de Jésus en entendant cela.
      17 Mais lui, fixant ses regards sur eux, leur dit : — Que signifie donc ce texte de l’Écriture : La pierre que les constructeurs avaient mise au rebut est devenue la pierre fondamentale à l’angle de l’édifice.
      18 Celui qui butera contre cette pierre-là se brisera la nuque, et si elle tombe sur quelqu’un, elle l’écrasera.
      19 Les interprètes de la loi et les grands-prêtres auraient bien voulu arrêter Jésus sur l’heure, mais ils n’osaient pas : ils avaient peur des réactions du peuple. En effet, ils avaient fort bien compris que c’étaient eux que Jésus visait par cette parabole.
      20 Dès lors, ils se mirent à le surveiller de près, à l’affût d’un prétexte (pour l’accuser). Ils envoyèrent auprès de lui d’habiles indicateurs qui faisaient semblant d’être des hommes pieux, pleins de scrupules. Ils devaient s’efforcer de lui arracher quelque parole compromettante qui leur permettrait de le déférer aux autorités civiles et à la juridiction du gouverneur romain.
      21 Ces gens-là l’abordèrent donc ainsi : — Maître, nous savons que tu es vrai et droit dans tes paroles et dans ton enseignement ; tu dis, en toute franchise, comment Dieu nous demande de vivre, sans tenir compte des positions sociales de ceux qui sont en face de toi.
      22 Eh bien ! dis-nous si oui ou non nous avons le droit de payer des impôts à un César ?
      23 Pénétrant leurs intentions, Jésus déjoua leur ruse en disant : —
      24 Montrez-moi une pièce d’argent ! Cette effigie et ce nom, de qui sont-ils ? — De César, répondirent-ils. —
      25 Eh bien ! leur dit-il, rendez à César ce qui appartient à César, et donnez à Dieu ce qui revient à Dieu.
      26 Ainsi, ils furent incapables de le trouver en défaut. Tout le peuple en fut témoin : pas moyen de surprendre une parole dite en public qui puisse leur servir à l’attaquer. Ils étaient si surpris de sa réplique qu’ils gardèrent le silence.
      27 Après cela vinrent quelques sadducéens, ceux qui prétendent que les morts ne ressuscitent pas. Ils lui posèrent la question suivante : —
      28 Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit : Si quelqu’un vient à mourir, laissant une femme mais pas d’enfant, son frère devra épouser la veuve pour donner une postérité au frère décédé.
      29 Or, il y avait sept frères. L’aîné s’est marié et il est mort sans laisser d’enfant.
      30 Le deuxième, puis le troisième, ont épousé la veuve, et ainsi de suite jusqu’au septième :
      31 ils sont tous morts et aucun n’a laissé d’enfant !
      32 En fin de compte, la femme est morte, elle aussi.
      33 Avec lequel d’entre eux sera-t-elle mariée le jour où les morts ressusciteront, puisque tous les sept l’ont eue pour femme ?
      34 Jésus leur répondit : — Ici-bas, on prend femme ou mari.
      35 Mais ceux qui seront jugés dignes de parvenir à la résurrection d’entre les morts, pour faire partie du monde à venir, ne se marieront plus et ne seront plus donnés en mariage,
      36 car ils ne peuvent plus mourir. Ils sont (à cet égard) comme les anges ; une fois ressuscités, ils sont fils de Dieu.
      37 De plus, Moïse lui-même a fait allusion à la résurrection des morts dans le passage où il est question du buisson ardent, quand il désigne le Seigneur par ce nom : Le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob.
      38 En effet, puisque Dieu n’est pas un Dieu des morts, mais des vivants, ce passage prouve bien que, pour lui, (les patriarches) sont tous les trois vivants.
      39 Là-dessus, quelques interprètes de la loi prirent la parole, pour marquer leur approbation : — Bien, Maître, tu as donné la réponse qu’il fallait.
      40 Et, de fait, à partir de ce moment-là, personne n’osa plus lui poser d’autres questions.
      41 Ce fut au tour de Jésus de les interroger : — Comment se fait-il que l’on dise que le Messie doit être un descendant de David,
      42 alors que David lui-même s’exprime ainsi au livre des Psaumes : Le Seigneur (Dieu) a dit à mon Seigneur (le Messie) : Viens siéger à ma droite, jusqu’à ce que j’aie soumis tes ennemis
      43 et que j’en aie fait comme un escabeau sous tes pieds.
      44 Puisque David appelle donc (le Messie) son Seigneur, comment celui-ci peut-il être son descendant ?
      45 Devant tout le peuple qui l’écoutait, il dit à ses disciples : —
      46 Méfiez-vous de ces interprètes de la loi qui ne demandent qu’à se promener en costumes de cérémonies, qui aiment se faire saluer bien bas sur les places publiques, qui réclament les sièges d’honneur dans les synagogues et les meilleures places dans les banquets.
      47 Pendant ce temps, ils mangent le bien des veuves et leur ravissent tout ce qu’elles possèdent, sous prétexte de faire (pour elles) de longues prières. Leur condamnation n’en sera que plus sévère.
    • Luc 20

      1 Jésus enseigne dans le temple et il annonce la Bonne Nouvelle aux gens. Un jour, les chefs des prêtres, les maîtres de la loi et les anciens arrivent.
      2 Ils demandent à Jésus : « Dis-nous : de quel droit est-ce que tu fais ces choses ? Qui t’a donné le pouvoir de les faire ? »
      3 Jésus leur répond : « Moi aussi, je vais vous poser une question. Dites-moi :
      4 qui a envoyé Jean baptiser ? Est-ce que c’est Dieu ou les hommes ? »
      5 Alors ils réfléchissent entre eux et ils se disent : « Si nous répondons : “C’est Dieu”, Jésus va nous dire : “Vous n’avez pas fait confiance à Jean, pourquoi donc ?”
      6 Et si nous répondons : “Ce sont les hommes”, tout le peuple va nous jeter des pierres pour nous tuer ! En effet, tous croient que Jean était un prophète. »
      7 Alors ils répondent à Jésus : « Nous ne savons pas. »
      8 Jésus leur dit : « Moi non plus, je ne vous dis pas de quel droit je fais ces choses. »
      9 Ensuite, Jésus raconte cette histoire au peuple : « Un homme plante une vigne. Il la confie à des vignerons et il part en voyage pour longtemps.
      10 Au moment de la récolte, il envoie un serviteur vers les vignerons pour aller chercher son raisin. Mais les vignerons frappent le serviteur et ils le renvoient sans rien lui donner.
      11 Le propriétaire envoie un autre serviteur. Les vignerons le frappent, l’insultent et ils le renvoient sans rien lui donner.
      12 Le propriétaire leur envoie un troisième serviteur. Les vignerons le blessent lui aussi et ils le chassent.
      13 Alors le propriétaire de la vigne se dit : “Qu’est-ce que je vais faire ? Je vais leur envoyer mon fils très aimé, ils vont sans doute le respecter.”
      14 Mais quand les vignerons voient le fils, ils se disent entre eux : “C’est lui qui sera le propriétaire plus tard. Tuons-le, et la vigne sera à nous !”
      15 Ils le font sortir de la vigne et ils le tuent. » Jésus demande : « Qu’est-ce que le propriétaire de la vigne va faire ?
      16 Il va venir, il va tuer les vignerons et il donnera la vigne à d’autres. » En entendant cela, les gens disent : « Non, jamais ! »
      17 Alors Jésus les regarde et il leur dit : « Que veut dire cette phrase des Livres Saints : “La pierre que les maçons ont rejetée est devenue la pierre principale de la maison ?” »
      18 Tous ceux qui tombent sur cette pierre auront le corps brisé. Et si cette pierre tombe sur quelqu’un, elle l’écrasera.
      19 Les maîtres de la loi et les chefs des prêtres comprennent que Jésus a raconté cette histoire contre eux. C’est pourquoi ils cherchent à l’arrêter tout de suite, mais ils ont peur du peuple.
      20 Alors ils surveillent Jésus et ils envoient vers lui des hommes qui font semblant d’être fidèles à Dieu. Ces gens-là veulent trouver des erreurs dans les paroles de Jésus. Ainsi, on pourra le livrer au gouverneur, qui a pouvoir et autorité sur le pays.
      21 Ils lui posent cette question : « Maître, nous le savons, tu dis et tu enseignes des choses justes. Tu ne regardes pas l’importance des gens, mais tu enseignes en toute vérité ce que Dieu nous demande de faire.
      22 Dis-nous : est-il permis ou non de payer l’impôt à l’empereur romain ? »
      23 Mais Jésus comprend que c’est un piège et il leur dit :
      24 « Montrez-moi une pièce d’argent. Sur cette pièce, il y a l’image et le nom de quelqu’un. De qui donc ? » Ils répondent : « De l’empereur. »
      25 Alors Jésus leur dit : « Eh bien, rendez à l’empereur ce qui est à l’empereur, et rendez à Dieu ce qui est à Dieu. »
      26 Le peuple écoute. Les maîtres de la loi et les chefs des prêtres ne peuvent pas trouver d’erreurs dans les paroles de Jésus. Ils sont très étonnés de sa réponse et ils se taisent.
      27 Quelques Sadducéens s’approchent de Jésus. Les Sadducéens ne croient pas que les morts se relèveront. Ils posent cette question à Jésus :
      28 « Maître, Moïse a écrit pour nous dans la loi : “Un homme a un frère marié. Si ce frère meurt sans enfants, l’homme doit se marier avec la veuve. Ainsi il donnera des enfants à son frère qui est mort.”
      29 Eh bien, supposons ceci : il y a donc sept frères. Le premier se marie et il meurt sans enfants.
      30 Le deuxième se marie avec la veuve et il meurt sans enfants.
      31 Il arrive la même chose au troisième et aux autres aussi. Les sept frères meurent sans laisser d’enfants.
      32 Finalement, la femme meurt à son tour.
      33 Quand les morts se relèveront, elle sera la femme de qui ? En effet, chacun des sept frères a été son mari. »
      34 Jésus leur répond : « Dans ce monde, les hommes et les femmes se marient.
      35 Certains, Dieu les juge dignes de vivre dans le monde qui vient, et donc de se relever de la mort. Mais ces hommes et ces femmes ne se marient plus.
      36 En effet, ils ne peuvent plus mourir, parce qu’ils sont comme les anges. Ils sont fils de Dieu, parce que Dieu les a relevés de la mort.
      37 Et Moïse a montré clairement que les gens se réveillent de la mort. En effet, quand Moïse raconte l’histoire du buisson, il appelle le Seigneur “le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob”. »
      38 Jésus ajoute : « Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais il est le Dieu des vivants, parce que tous vivent pour lui. »
      39 Quelques maîtres de la loi disent à Jésus : « Maître, tu as bien parlé. »
      40 Et ils n’osent plus lui poser d’autres questions.
      41 Alors Jésus leur dit : « Les gens disent que le Messie est fils de David. Mais comment peuvent-ils dire cela ?
      42 En effet, dans le livre des Psaumes, David lui-même dit : “Le Seigneur déclare à mon Maître : Viens t’asseoir à ma droite,
      43 je vais mettre tes ennemis sous tes pieds.”
      44 Donc David appelle le Messie “Maître”. Alors comment le Messie peut-il être aussi fils de David ? »
      45 Tout le peuple écoute Jésus. Alors il dit à ses disciples :
      46 « Attention ! Ne faites pas comme les maîtres de la loi ! Ils aiment se promener avec de grands vêtements. Ils aiment qu’on les salue sur les places de la ville. Ils choisissent les premiers sièges dans les maisons de prière et les premières places dans les grands repas.
      47 Ils prennent aux veuves tout ce qu’elles ont, et en même temps, ils font de longues prières, pour faire semblant d’être bons. À cause de cela, Dieu les punira encore plus que les autres. »
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.