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Marc 15

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    • Marc 15

      1 Le matin, de bonne heure, les chefs des prêtres se réunissent avec les anciens, les maîtres de la loi et tout le Tribunal religieux, pour prendre une décision. Ils font attacher Jésus, ils l’emmènent et le livrent à Pilate.
      2 Pilate demande à Jésus : « Est-ce que tu es le roi des Juifs ? » Jésus lui répond : « C’est toi qui le dis. »
      3 Les chefs des prêtres accusent Jésus de beaucoup de choses.
      4 Pilate demande encore à Jésus : « Tu ne réponds rien ? Tu entends tout ce qu’ils disent contre toi ? »
      5 Mais Jésus ne répond plus rien, et Pilate est très étonné.
      6 À chaque fête de Pâque, Pilate libère un prisonnier, celui que la foule veut.
      7 Un homme appelé Barabbas est en prison avec ses camarades. Ils ont tué quelqu’un quand ils se sont révoltés contre les Romains.
      8 La foule arrive chez Pilate. Les gens se mettent à lui demander : « Fais pour nous ce que tu as l’habitude de faire ! »
      9 Pilate leur répond : « Est-ce que vous voulez que je vous libère le roi des Juifs ? »
      10 En effet, Pilate le sait bien : les chefs des prêtres lui ont livré Jésus par jalousie.
      11 Mais les chefs des prêtres poussent la foule à dire : « Libère-nous Barabbas ! »
      12 Pilate leur demande encore : « Qu’est-ce que je vais donc faire de celui que vous appelez le roi des Juifs ? »
      13 Ils répondent en criant : « Cloue-le sur une croix ! »
      14 Pilate leur dit : « Qu’est-ce qu’il a donc fait de mal ? » Mais ils crient encore plus fort : « Cloue-le sur une croix ! »
      15 Pilate veut faire plaisir à la foule, il leur libère Barabbas. Il fait frapper Jésus à coups de fouet, puis il le livre aux soldats pour qu’ils le clouent sur une croix.
      16 Les soldats amènent Jésus à l’intérieur de la cour, c’est-à-dire dans le palais du gouverneur, et ils appellent toute la troupe.
      17 Pour se moquer de Jésus, ils lui mettent un vêtement en beau tissu rouge. Ils tressent une couronne avec des branches épineuses et ils la posent sur sa tête.
      18 Ils se mettent à le saluer en lui disant : « Salut, roi des Juifs ! »
      19 Ils le frappent sur la tête avec un roseau et ils crachent sur lui. Ils se mettent à genoux pour s’incliner jusqu’à terre devant lui.
      20 Quand ils ont fini de se moquer de lui, ils lui enlèvent le vêtement rouge et ils lui remettent ses habits. Ensuite, ils l’emmènent dehors pour le clouer sur une croix.
      21 Un homme de Cyrène, appelé Simon, le père d’Alexandre et de Rufus, passe par là en revenant des champs. Les soldats l’obligent à porter la croix de Jésus.
      22 Ils conduisent Jésus à un endroit appelé Golgotha, ce qui veut dire « Le lieu du Crâne ».
      23 Ils veulent lui faire boire du vin mélangé avec de la myrrhe. Mais Jésus n’en prend pas.
      24 Ensuite, les soldats le clouent sur une croix. Ils tirent au sort pour savoir qui aura ses vêtements, puis ils les partagent entre eux.
      25 Il est neuf heures du matin quand ils le clouent sur la croix.
      26 Il y a une pancarte qui indique pourquoi Jésus est condamné. Dessus, on a écrit : « Le roi des Juifs ».
      27 Les soldats clouent aussi deux bandits sur des croix, à côté de Jésus : l’un à sa droite et l’autre à sa gauche.
      28 []
      29 Les gens qui passent par là secouent la tête et ils insultent Jésus en disant : « Eh ! Tu voulais détruire le temple et le reconstruire en trois jours !
      30 Eh bien, sauve-toi toi-même en descendant de la croix ! »
      31 De même, les chefs des prêtres et les maîtres de la loi se moquent de Jésus. Et ils se disent entre eux : « Il a sauvé les autres, mais il ne peut pas se sauver lui-même !
      32 Maintenant, le Messie, le roi d’Israël, n’a qu’à descendre de la croix ! Si nous voyons cela, alors nous croirons en lui ! » Et ceux qu’on a cloués sur des croix à côté de Jésus l’insultent aussi.
      33 À midi, il fait nuit dans tout le pays, jusqu’à trois heures de l’après-midi.
      34 À trois heures, Jésus crie d’une voix forte : « Éloï, Éloï, lema sabaktani ? » Cela veut dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
      35 Parmi ceux qui sont là, certains l’entendent et disent : « Il appelle Élie ! »
      36 L’un d’eux part en courant. Il trempe une éponge dans du vinaigre. Il met l’éponge au bout d’un roseau et la présente à Jésus pour qu’il boive. Il dit : « Attendez ! Nous allons voir si Élie vient le descendre de la croix ! »
      37 Mais Jésus pousse un grand cri et il meurt.
      38 Le grand rideau qui est dans le temple se déchire en deux morceaux, depuis le haut jusqu’en bas.
      39 L’officier romain qui est en face de Jésus voit comment il est mort et il dit : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu ! »
      40 Quelques femmes aussi sont là et elles regardent de loin. Parmi elles, il y a Marie de Magdala, Marie, la mère de Jacques le Jeune et de José, et Salomé.
      41 Elles ont suivi Jésus et l’ont servi quand il était en Galilée. Il y a là aussi beaucoup d’autres femmes qui étaient montées avec lui à Jérusalem.
      42 Le soir est déjà là. C’est le jour où on prépare la fête, c’est-à-dire le jour avant le sabbat.
      43 Joseph, de la ville d’Arimathée, arrive. C’est un notable du Tribunal religieux. Il attend, lui aussi, le Royaume de Dieu. Courageusement, il va chez Pilate et il lui demande le corps de Jésus.
      44 Pilate est étonné d’apprendre que Jésus est déjà mort. Il fait venir l’officier romain et lui pose cette question : « Est-ce qu’il est mort depuis longtemps ? »
      45 L’officier romain le renseigne, puis Pilate permet à Joseph de prendre le corps de Jésus.
      46 Joseph achète un drap. Il descend le corps de la croix, il l’enveloppe dans le drap et le met dans une tombe creusée dans le rocher. Ensuite, il roule une grosse pierre pour fermer l’entrée de la tombe.
      47 Marie de Magdala et Marie, mère de José, regardent l’endroit où on met Jésus.
    • Marc 15

      1

      Christ devant Pilate. (Marc 15:1-14). Christ est amené pour être crucifié. (Marc 15:15-21). La crucifixion. (Marc 15:22-32). La mort de Christ. (Marc 15:33-41). Son corps enseveli. (Marc 15:42-47).

      On lia Christ. Il est bon de se remémorer les liens du Seigneur Jésus : sentons-nous nous-mêmes liés spirituellement à Celui qui fut lié pour nous ! En Le proclamant roi, les Juifs instituèrent en quelque sorte, le royaume de Dieu ; cependant, par leur propre proclamation, ce royaume leur fut repris et donné aux nations.

      Christ répondit à Pilate directement, alors qu’Il ne s’adressa même pas aux faux témoins ; Pilate était d’ailleurs lui-même convaincu de leur corruption. Le procurateur pensa qu'il pouvait en appeler au peuple, et que ce dernier délivrerait Jésus de la main des sacrificateurs. Mais les Juifs étaient de plus en plus agités par les sacrificateurs, et criaient, « crucifie le, crucifie le » ! Jugeons les personnes et les choses, selon leur mérite et la « mesure » qu'offre la Parole de Dieu, ne nous fions pas à la rumeur commune !

      La pensée que personne ne fut jamais traité aussi honteusement que Jésus, le Seul qui fut ici-bas parfaitement sage, saint, et excellent, révèle, par ces évènements dramatiques de la crucifixion, à celui qui reste objectif, la méchanceté de l’homme et son inimitié envers Dieu.

      Abhorrons de plus en plus cette hargne qui marqua la conduite des persécuteurs de Jésus !

      15 Christ aborda la mort sous son aspect le plus terrifiant. Ce supplice était réservé aux plus grands malfaiteurs. La croix et la honte sont ainsi liées. Dieu ayant été déshonoré par le péché de l'homme, Christ Lui donna satisfaction en se soumettant à la plus grande disgrâce qui pouvait émaner de la nature humaine. Cette mort était maudite, comme le mentionnait la loi juive, dans \\#De 21:23\\.

      Les soldats romains se moquèrent de la « royauté » de notre Seigneur Jésus. Les serviteurs, dans le prétoire de la maison du souverain sacrificateur, se moquèrent aussi de Lui, le « Prophète et le Sauveur ». Est-ce qu’une robe de pourpre (ou écarlate) peut être un sujet d'orgueil pour un chrétien, alors qu'elle était un opprobre et une honte sur le dos de Christ ? Il porta la couronne d'épines que nous méritions, afin que nous puissions porter la couronne de gloire, que Lui seul méritait. Nous étions, par le péché, destinés à la honte et au mépris éternel. Cependant, pour nous délivrer, notre Seigneur Jésus Lui-même fut déshonoré et méprisé. Il fut placé au rang des « ouvriers d'iniquité » bien qu'Il n'ait commis aucun péché.

      Les souffrances de notre humble et saint Rédempteur sont une source d'instruction permanente pour le croyant, source dont il ne peut jamais se lasser.

      Ais-je le droit de me plaindre ou de murmurer, en tant que vil pécheur, alors que Jésus a tant souffert ? Dans une situation similaire, céderais-je à la colère, adresserais-je des reproches et des menaces à ceux qui me feraient subir les mêmes injures que celle infligées au Seigneur ?

      22 Le lieu où notre Seigneur Jésus fut crucifié, s’appelait le lieu du crâne ; c'était le lieu habituel où l’on exécutait les condamnés : Christ fut à tous égards, compté parmi les transgresseurs...

      Chaque fois que nous regardons spirituellement à « Christ crucifié », nous devons nous rappeler ce qui était écrit au dessus de Sa tête : il est le Roi, et en tant que tel, nous devons nous soumettre et être Ses sujets, en fait, comme de véritables Israélites. Ils crucifièrent en même temps deux brigands et placèrent Jésus au centre, dans l'intention de Le déshonorer au maximum. Il était annoncé d'avance, dans Esa 53:12*, qu'Il devrait être compté avec les transgresseurs, car Il a été fait « péché » pour nous.

      Même ceux qui passaient par là s'en prenaient à Jésus : ils Lui disaient de descendre de la croix, afin qu'ils croient en Lui ; ces passants restèrent incrédules... En fait Christ leur donna un signe encore plus convaincant de Sa sainteté, lorsqu'Il sortit du tombeau !

      Quand l'homme croît fermement en la Vérité, au travers des souffrances de Christ, il cherche alors le salut avec ferveur ! Avec quelle gratitude il reçoit ensuite l'espoir naissant du pardon et de la vie éternelle, tous deux étant acquis par les souffrances et la mort du Fils de Dieu ! Ce racheté, attristé par le Saint-Esprit, au sujet des Souffrances du Sauveur en Gloire, répand ses pleurs sur ce Dernier, écrasé par les péchés qu’Il supporta à la croix.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      33 Ce texte nous indique qu’il y eut des ténèbres épaisses sur le pays, de midi jusqu'à trois heures de l'après-midi. Les Juifs faisaient le maximum pour anéantir Christ, le « Soleil de Justice ». Ces ténèbres symbolisaient la « nébulosité » sous laquelle était placée l'âme de Christ, véritable « offrande pour le péché ».

      Jésus ne se plaignit pas de l'abandon de Ses disciples, mais de celui de Son Père : c’est en cela qu’Il a été fait « péché » pour nous. Quand l’apôtre Paul devait être offert spirituellement en sacrifice, pour le service des saints, il pouvait se réjouir Philippiens 2:17. Mais le fait d’être offert en sacrifice pour le péché des hommes a un sens complètement différent.

      Au moment où Jésus mourut, le voile du temple fut déchiré de haut en bas. Ceci terrorisa les Juifs incrédules : c’était le signe de l’anéantissement de leur assemblée religieuse et de leur nation ; mais c’était en même temps une consolation pour tous les chrétiens fidèles : cela représentait, par le sang de Jésus, l'ouverture d’une voie nouvelle et vivante vers le « lieu très saint ».

      L'assurance avec laquelle Christ s'est ouvertement adressé à Dieu le Père et a remis Son âme entre Ses mains, semble avoir grandement affecté le centurion. Une vision spirituelle authentique de Christ crucifié, réconciliera le croyant avec la pensée de la mort : en effet, il se languit de voir, d'aimer, de louer, comme il le devrait, ce Sauveur qui fut blessé et percé pour le délivrer de la colère divine à venir !

      42 Ce texte décrit l'ensevelissement de notre Seigneur Jésus. Puissions-nous, par la Grâce, « mourir au péché », de manière similaire, Romains 6:11* !

      Joseph d'Arimathée était un de ceux qui attendaient le Royaume de Dieu. Ceux qui espèrent avoir part aux privilèges de ce Royaume, doivent se confier totalement en Jésus, alors que tout semble anéanti. Dieu a choisi cet homme pour Son service. Une Providence particulière fit évoluer le cours des évènements pour que Pilate fasse vérifier avec exactitude si Jésus était bien mort, afin de prévenir toute simulation éventuelle. Pilate donna donc l'autorisation à Joseph de descendre le corps et d'en faire ce que bon lui semblait.

      Quelques unes des femmes regardèrent où Jésus fût déposé, afin de pouvoir venir oindre Son corps, après le sabbat ; elles n'avaient en effet pas eu le temps de le faire avant. On porta une attention spéciale sur le lieu où se trouvait le sépulcre de Christ, parce qu'Il devait ressusciter.

      Jésus n'abandonne pas ceux qui ont confiance en Lui et qui Le réclament. La mort, privée de son aiguillon, met un terme aux douleurs du croyant, comme elle le fit à celles du Sauveur.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte

    • Marc 15

      1 Et aussitôt, au matin, les principaux sacrificateurs avec les anciens et les scribes et tout le sanhédrin, ayant tenu conseil, lièrent Jésus et l'emmenèrent et le livrèrent à Pilate.
      2 Et Pilate l'interrogea : Toi, tu es le roi des Juifs ? Et répondant, il lui dit : Tu le dis.
      3 Et les principaux sacrificateurs l'accusaient de beaucoup de choses.
      4 Et Pilate l'interrogea encore, disant : Ne réponds-tu rien ? Vois de combien de choses ils portent témoignage contre toi.
      5 Mais encore Jésus ne répondit rien, de sorte que Pilate s'en étonnait.
      6 Or il leur relâchait à la fête un prisonnier, lequel que ce fût qu'ils demandassent.
      7 Et il y avait le nommé Barabbas qui était détenu avec ses compagnons de sédition, lesquels, dans la sédition, avaient commis un meurtre.
      8 Et la foule, poussant des cris, se mit à lui demander de faire comme il leur avait toujours fait.
      9 Et Pilate leur répondit, disant : Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ?
      10 Car il savait que les principaux sacrificateurs l'avaient livré par envie.
      11 Mais les principaux sacrificateurs excitèrent le peuple à demander que plutôt il leur relâchât Barabbas.
      12 Et Pilate, répondant leur dit encore : Que voulez-vous donc que je fasse de celui que vous appelez roi des Juifs ?
      13 Et ils s'écrièrent encore : Crucifie-le !
      14 Et Pilate leur dit : Mais quel mal a-t-il fait ? Et ils s'écrièrent encore plus fort : Crucifie-le !
      15 Et Pilate, voulant contenter la foule, leur relâcha Barabbas ; et, ayant fait fouetter Jésus, il le livra pour être crucifié.
      16 Et les soldats l'emmenèrent dans la cour, qui est le prétoire. Et ils assemblent toute la cohorte ;
      17 et ils le revêtent de pourpre, et ayant tressé une couronne d'épines, ils la lui mettent autour de la tête.
      18 Et ils se mirent à le saluer, disant : Salut, roi des Juifs !
      19 Et ils lui frappaient la tête avec un roseau et crachaient contre lui, et, se mettant à genoux, ils lui rendaient hommage.
      20 Et après qu'ils se furent moqués de lui, ils le dépouillèrent de la pourpre et le revêtirent de ses propres vêtements ; et ils l'emmènent dehors pour le crucifier.
      21 Et ils contraignent un certain homme, Simon, Cyrénéen, père d'Alexandre et de Rufus, qui passait par là, venant des champs, de porter sa croix.
      22 Et ils le mènent au lieu appelé Golgotha, ce qui, interprété, est : lieu du crâne.
      23 Et ils lui donnèrent à boire du vin mixtionné de myrrhe ; mais il ne le prit pas.
      24 Et l'ayant crucifié, ils partagent ses vêtements, en tirant au sort pour savoir ce que chacun en prendrait.
      25 Et c'était la troisième heure, et ils le crucifièrent.
      26 Et l'écriteau concernant le sujet de son accusation portait écrit : Le roi des Juifs.
      27 Et, avec lui, ils crucifient deux brigands, un à sa droite, et un à sa gauche.
      28 Et l'écriture fut accomplie, qui dit :" Et il a été compté parmi les iniques ".
      29 Et ceux qui passaient par là, l'injuriaient, hochant la tête et disant : Hé ! toi qui détruis le temple et qui le bâtis en trois jours,
      30 sauve-toi toi-même, et descends de la croix !
      31 Pareillement aussi les principaux sacrificateurs, se moquant entre eux avec les scribes, disaient : Il a sauvé les autres, il ne peut se sauver lui-même.
      32 Que le Christ, le roi d'Israël, descende maintenant de la croix, afin que nous voyions et que nous croyions ! Ceux aussi qui étaient crucifiés avec lui l'insultaient.
      33 Et quand la sixième heure fut venue, il y eut des ténèbres sur tout le pays jusqu'à la neuvième heure.
      34 Et à la neuvième heure, Jésus s'écria d'une forte voix, disant : Éloï, Éloï, lama sabachthani ? ce qui, interprété, est : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?
      35 Et quelques-uns de ceux qui étaient là présents, ayant entendu cela, disaient : Voici, il appelle Élie.
      36 Et l'un d'eux courut, et ayant rempli une éponge de vinaigre et l'ayant mise au bout d'un roseau, il lui donna à boire, disant : Laissez, voyons si Élie vient pour le faire descendre.
      37 Et Jésus, ayant jeté un grand cri, expira.
      38 Et le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu'en bas.
      39 Et le centurion qui était là vis-à-vis de lui, voyant qu'il avait expiré en criant ainsi, dit : Certainement, cet homme était Fils de Dieu.
      40 Et il y avait aussi des femmes qui regardaient de loin, entre lesquelles étaient aussi Marie de Magdala, et Marie, la mère de Jacques le mineur et de Joses, et Salomé,
      41 qui, lorsqu'il était en Galilée, l'avaient suivi et l'avaient servi, et plusieurs autres qui étaient montées avec lui à Jérusalem.
      42 Et le soir étant déjà venu, puisque c'était la Préparation, ce qui est le jour qui précède un sabbat,
      43 Joseph qui était d'Arimathée, conseiller honorable, qui aussi lui-même attendait le royaume de Dieu, vint et prit sur lui d'entrer auprès de Pilate, et lui demanda le corps de Jésus.
      44 Et Pilate s'étonna, ayant peine à croire qu'il fût déjà mort ; et ayant appelé le centurion, il lui demanda s'il y avait longtemps qu'il était mort.
      45 Et l'ayant appris du centurion, il donna le corps à Joseph.
      46 Et Joseph, ayant acheté un linceul, le descendit, et l'enveloppa du linceul, et le mit dans un sépulcre qui était taillé dans le roc, et roula une pierre contre la porte du sépulcre.
      47 Et Marie de Magdala, et Marie, la mère de Joses, regardaient où on le mettait.
    • Marc 15

      1 Καὶ εὐθὺς πρωῒ συμβούλιον ποιήσαντες οἱ ἀρχιερεῖς μετὰ τῶν πρεσβυτέρων καὶ γραμματέων καὶ ὅλον τὸ συνέδριον δήσαντες τὸν Ἰησοῦν ἀπήνεγκαν καὶ παρέδωκαν Πιλάτῳ.
      2 καὶ ἐπηρώτησεν αὐτὸν ὁ Πιλᾶτος· Σὺ εἶ ὁ βασιλεὺς τῶν Ἰουδαίων; ὁ δὲ ἀποκριθεὶς αὐτῷ λέγει· Σὺ λέγεις.
      3 καὶ κατηγόρουν αὐτοῦ οἱ ἀρχιερεῖς πολλά.
      4 ὁ δὲ Πιλᾶτος πάλιν ἐπηρώτα αὐτὸν λέγων· Οὐκ ἀποκρίνῃ οὐδέν; ἴδε πόσα σου κατηγοροῦσιν.
      5 ὁ δὲ Ἰησοῦς οὐκέτι οὐδὲν ἀπεκρίθη, ὥστε θαυμάζειν τὸν Πιλᾶτον.
      6 Κατὰ δὲ ἑορτὴν ἀπέλυεν αὐτοῖς ἕνα δέσμιον ὃν παρῃτοῦντο.
      7 ἦν δὲ ὁ λεγόμενος Βαραββᾶς μετὰ τῶν στασιαστῶν δεδεμένος οἵτινες ἐν τῇ στάσει φόνον πεποιήκεισαν.
      8 καὶ ἀναβὰς ὁ ὄχλος ἤρξατο αἰτεῖσθαι καθὼς ἐποίει αὐτοῖς.
      9 ὁ δὲ Πιλᾶτος ἀπεκρίθη αὐτοῖς λέγων· Θέλετε ἀπολύσω ὑμῖν τὸν βασιλέα τῶν Ἰουδαίων;
      10 ἐγίνωσκεν γὰρ ὅτι διὰ φθόνον παραδεδώκεισαν αὐτὸν οἱ ἀρχιερεῖς.
      11 οἱ δὲ ἀρχιερεῖς ἀνέσεισαν τὸν ὄχλον ἵνα μᾶλλον τὸν Βαραββᾶν ἀπολύσῃ αὐτοῖς.
      12 ὁ δὲ Πιλᾶτος πάλιν ἀποκριθεὶς ἔλεγεν αὐτοῖς· Τί οὖν θέλετε ποιήσω ὃν λέγετε τὸν βασιλέα τῶν Ἰουδαίων;
      13 οἱ δὲ πάλιν ἔκραξαν· Σταύρωσον αὐτόν.
      14 ὁ δὲ Πιλᾶτος ἔλεγεν αὐτοῖς· Τί γὰρ ἐποίησεν κακόν; οἱ δὲ περισσῶς ἔκραξαν· Σταύρωσον αὐτόν.
      15 ὁ δὲ Πιλᾶτος βουλόμενος τῷ ὄχλῳ τὸ ἱκανὸν ποιῆσαι ἀπέλυσεν αὐτοῖς τὸν Βαραββᾶν, καὶ παρέδωκεν τὸν Ἰησοῦν φραγελλώσας ἵνα σταυρωθῇ.
      16 Οἱ δὲ στρατιῶται ἀπήγαγον αὐτὸν ἔσω τῆς αὐλῆς, ὅ ἐστιν πραιτώριον, καὶ συγκαλοῦσιν ὅλην τὴν σπεῖραν.
      17 καὶ ἐνδιδύσκουσιν αὐτὸν πορφύραν καὶ περιτιθέασιν αὐτῷ πλέξαντες ἀκάνθινον στέφανον·
      18 καὶ ἤρξαντο ἀσπάζεσθαι αὐτόν· Χαῖρε, βασιλεῦ τῶν Ἰουδαίων·
      19 καὶ ἔτυπτον αὐτοῦ τὴν κεφαλὴν καλάμῳ καὶ ἐνέπτυον αὐτῷ, καὶ τιθέντες τὰ γόνατα προσεκύνουν αὐτῷ.
      20 καὶ ὅτε ἐνέπαιξαν αὐτῷ, ἐξέδυσαν αὐτὸν τὴν πορφύραν καὶ ἐνέδυσαν αὐτὸν τὰ ἱμάτια τὰ ἴδια. καὶ ἐξάγουσιν αὐτὸν ἵνα σταυρώσωσιν αὐτόν.
      21 Καὶ ἀγγαρεύουσιν παράγοντά τινα Σίμωνα Κυρηναῖον ἐρχόμενον ἀπ’ ἀγροῦ, τὸν πατέρα Ἀλεξάνδρου καὶ Ῥούφου, ἵνα ἄρῃ τὸν σταυρὸν αὐτοῦ.
      22 καὶ φέρουσιν αὐτὸν ἐπὶ τὸν Γολγοθᾶν τόπον, ὅ ἐστιν μεθερμηνευόμενον Κρανίου Τόπος.
      23 καὶ ἐδίδουν αὐτῷ ἐσμυρνισμένον οἶνον, ὃς δὲ οὐκ ἔλαβεν.
      24 καὶ σταυροῦσιν αὐτὸν καὶ διαμερίζονται τὰ ἱμάτια αὐτοῦ, βάλλοντες κλῆρον ἐπ’ αὐτὰ τίς τί ἄρῃ.
      25 Ἦν δὲ ὥρα τρίτη καὶ ἐσταύρωσαν αὐτόν.
      26 καὶ ἦν ἡ ἐπιγραφὴ τῆς αἰτίας αὐτοῦ ἐπιγεγραμμένη· Ὁ βασιλεὺς τῶν Ἰουδαίων.
      27 καὶ σὺν αὐτῷ σταυροῦσιν δύο λῃστάς, ἕνα ἐκ δεξιῶν καὶ ἕνα ἐξ εὐωνύμων αὐτοῦ.
      29 Καὶ οἱ παραπορευόμενοι ἐβλασφήμουν αὐτὸν κινοῦντες τὰς κεφαλὰς αὐτῶν καὶ λέγοντες· Οὐὰ ὁ καταλύων τὸν ναὸν καὶ οἰκοδομῶν ἐν τρισὶν ἡμέραις,
      30 σῶσον σεαυτὸν καταβὰς ἀπὸ τοῦ σταυροῦ.
      31 ὁμοίως καὶ οἱ ἀρχιερεῖς ἐμπαίζοντες πρὸς ἀλλήλους μετὰ τῶν γραμματέων ἔλεγον· Ἄλλους ἔσωσεν, ἑαυτὸν οὐ δύναται σῶσαι·
      32 ὁ χριστὸς ὁ βασιλεὺς Ἰσραὴλ καταβάτω νῦν ἀπὸ τοῦ σταυροῦ, ἵνα ἴδωμεν καὶ πιστεύσωμεν. καὶ οἱ συνεσταυρωμένοι σὺν αὐτῷ ὠνείδιζον αὐτόν.
      33 Καὶ γενομένης ὥρας ἕκτης σκότος ἐγένετο ἐφ’ ὅλην τὴν γῆν ἕως ὥρας ἐνάτης.
      34 καὶ τῇ ἐνάτῃ ὥρᾳ ἐβόησεν ὁ Ἰησοῦς φωνῇ μεγάλῃ· Ἐλωῒ ἐλωῒ λεμὰ σαβαχθάνι; ὅ ἐστιν μεθερμηνευόμενον Ὁ θεός μου ὁ θεός μου, εἰς τί ἐγκατέλιπές με;
      35 καί τινες τῶν παρεστηκότων ἀκούσαντες ἔλεγον· Ἴδε Ἠλίαν φωνεῖ.
      36 δραμὼν δέ τις καὶ γεμίσας σπόγγον ὄξους περιθεὶς καλάμῳ ἐπότιζεν αὐτόν, λέγων· Ἄφετε ἴδωμεν εἰ ἔρχεται Ἠλίας καθελεῖν αὐτόν.
      37 ὁ δὲ Ἰησοῦς ἀφεὶς φωνὴν μεγάλην ἐξέπνευσεν.
      38 καὶ τὸ καταπέτασμα τοῦ ναοῦ ἐσχίσθη εἰς δύο ἀπ’ ἄνωθεν ἕως κάτω.
      39 ἰδὼν δὲ ὁ κεντυρίων ὁ παρεστηκὼς ἐξ ἐναντίας αὐτοῦ ὅτι οὕτως ἐξέπνευσεν εἶπεν· Ἀληθῶς οὗτος ὁ ἄνθρωπος υἱὸς θεοῦ ἦν.
      40 Ἦσαν δὲ καὶ γυναῖκες ἀπὸ μακρόθεν θεωροῦσαι, ἐν αἷς καὶ Μαρία ἡ Μαγδαληνὴ καὶ Μαρία ἡ Ἰακώβου τοῦ μικροῦ καὶ Ἰωσῆτος μήτηρ καὶ Σαλώμη,
      41 αἳ ὅτε ἦν ἐν τῇ Γαλιλαίᾳ ἠκολούθουν αὐτῷ καὶ διηκόνουν αὐτῷ, καὶ ἄλλαι πολλαὶ αἱ συναναβᾶσαι αὐτῷ εἰς Ἱεροσόλυμα.
      42 Καὶ ἤδη ὀψίας γενομένης, ἐπεὶ ἦν παρασκευή, ὅ ἐστιν προσάββατον,
      43 ἐλθὼν Ἰωσὴφ ὁ ἀπὸ Ἁριμαθαίας εὐσχήμων βουλευτής, ὃς καὶ αὐτὸς ἦν προσδεχόμενος τὴν βασιλείαν τοῦ θεοῦ, τολμήσας εἰσῆλθεν πρὸς τὸν Πιλᾶτον καὶ ᾐτήσατο τὸ σῶμα τοῦ Ἰησοῦ.
      44 ὁ δὲ Πιλᾶτος ἐθαύμασεν εἰ ἤδη τέθνηκεν, καὶ προσκαλεσάμενος τὸν κεντυρίωνα ἐπηρώτησεν αὐτὸν εἰ πάλαι ἀπέθανεν·
      45 καὶ γνοὺς ἀπὸ τοῦ κεντυρίωνος ἐδωρήσατο τὸ πτῶμα τῷ Ἰωσήφ.
      46 καὶ ἀγοράσας σινδόνα καθελὼν αὐτὸν ἐνείλησεν τῇ σινδόνι καὶ ἔθηκεν αὐτὸν ἐν μνημείῳ ὃ ἦν λελατομημένον ἐκ πέτρας, καὶ προσεκύλισεν λίθον ἐπὶ τὴν θύραν τοῦ μνημείου.
      47 ἡ δὲ Μαρία ἡ Μαγδαληνὴ καὶ Μαρία ἡ Ἰωσῆτος ἐθεώρουν ποῦ τέθειται.
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