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4
Car les flèches du Tout Puissant m'ont percé, Et mon âme en suce le venin ; Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.
11
C'est pourquoi je ne retiendrai point ma bouche, Je parlerai dans l'angoisse de mon coeur, Je me plaindrai dans l'amertume de mon âme.
12
Suis-je une mer, ou un monstre marin, Pour que tu établisses des gardes autour de moi ?
13
Quand je dis : Mon lit me soulagera, Ma couche calmera mes douleurs,
14
C'est alors que tu m'effraies par des songes, Que tu m'épouvantes par des visions.
15
Ah ! je voudrais être étranglé ! Je voudrais la mort plutôt que ces os !
16
Je les méprise !... je ne vivrai pas toujours... Laisse-moi, car ma vie n'est qu'un souffle.
1
Mon souffle se perd, Mes jours s'éteignent, Le sépulcre m'attend.
11
Quoi ! mes jours sont passés, mes projets sont anéantis, Les projets qui remplissaient mon coeur...
12
Et ils prétendent que la nuit c'est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là !
13
C'est le séjour des morts que j'attends pour demeure, C'est dans les ténèbres que je dresserai ma couche ;
14
Je crie à la fosse : Tu es mon père ! Et aux vers : Vous êtes ma mère et ma soeur !
15
Mon espérance, où donc est-elle ? Mon espérance, qui peut la voir ?
16
Elle descendra vers les portes du séjour des morts, Quand nous irons ensemble reposer dans la poussière.
14
(22 : 15) Je suis comme de l'eau qui s'écoule, Et tous mes os se séparent ; Mon coeur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles.
15
(22 : 16) Ma force se dessèche comme l'argile, Et ma langue s'attache à mon palais ; Tu me réduis à la poussière de la mort.
14
Chaque jour je suis frappé, Tous les matins mon châtiment est là.
15
(88 : 16) Je suis malheureux et moribond dès ma jeunesse, Je suis chargé de tes terreurs, je suis troublé.
3
Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.
10
Il a plu à l'Éternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours ; Et l'oeuvre de l'Éternel prospérera entre ses mains.
7
Épée, lève-toi sur mon pasteur Et sur l'homme qui est mon compagnon ! Dit l'Éternel des armées. Frappe le pasteur, et que les brebis se dispersent ! Et je tournerai ma main vers les faibles.
44
Étant en agonie, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre.
15 à 19 Pourquoi tant de malheurs ?
Pourquoi... ? Cette question domine toute la strophe finale. Puisque les vivants seuls peuvent glorifier Dieu, pourquoi me rejeter ?