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1
Psaume de David. Pour commémorer.
2
Éternel ! ne me punis pas dans ton indignation, Et ne me châtie pas dans ta fureur.
16
Je suis malheureux et moribond dès ma jeunesse, Je suis chargé de tes terreurs, je suis troublé.
46
Tu as abrégé les jours de sa jeunesse, Tu l’as couvert de honte. Pause.
7
Nous défaillons par l’effet de ta colère, Et ta fureur nous épouvante.
11
Qui reconnaît la force de ta colère Et ton courroux, selon la crainte qui t’est due ?
10
Je mange de la cendre au lieu de pain Et je mêle des larmes à ma boisson,
4
Certes, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; Et nous, nous l’avons considéré comme atteint d’une plaie ; Comme frappé par Dieu et humilié.
5
Mais il était transpercé à cause de nos crimes, Écrasé à cause de nos fautes ; Le châtiment qui nous donne la paix est (tombé) sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.
6
Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l’Éternel a fait retomber sur lui la faute de nous tous.
8
Il a été emporté par la violence et le jugement ; Dans sa génération qui s’est soucié De ce qu’il était retranché De la terre des vivants, A cause des crimes de mon peuple, De la plaie qui les avait atteints ?
26
Après les soixante-deux semaines, Un messie sera retranché, Et il n’aura personne pour lui. Le peuple d’un prince qui viendra détruira la ville et le sanctuaire, Et sa fin arrivera comme par une inondation ; Il est résolu que les dévastations dureront Jusqu’à la fin de la guerre.
32
Lui qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi tout avec lui, par grâce ?
13
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous – car il est écrit : Maudit soit quiconque est pendu au bois –
17
car le grand jour de leur colère est venu, et qui pourrait subsister ?
Dès ma jeunesse : allusion à des circonstances particulières au psalmiste. Hengstenberg généralise cette plainte comme suit : Quand une grande affliction nous atteint, notre esprit ne l'envisage pas isolément et indépendamment de celles qui l'ont précédée elle nous apparaît comme le dernier degré d'une longue suite de malheurs, dont le premier chaînon coïncide avec le commencement de notre existence.