Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
1
— Ne vous posez pas en juges d’autrui, pour ne pas être mis vous-mêmes en jugement.
23
Mais Jésus, se retournant, lui dit : — Va-t’en ! Arrière, tentateur, porte-parole de Satan ! Tu me tends un piège ! Tu veux me faire hésiter sur le chemin à prendre et me détourner (de celui que Dieu a fixé pour moi), car tu vois les choses du point de vue des hommes, et non de celui de Dieu.
7
Quel malheur pour le monde qu’il y ait tant de choses qui heurtent les consciences et poussent les hommes à pécher ! Certes, il est inévitable que des tentations surviennent, mais malheur à celui qui provoque de telles chutes !
57
Pourquoi aussi ne décidez-vous pas pour vous-mêmes ce qu’il serait juste de faire ?
2
Mieux vaudrait, pour lui, être précipité dans la mer avec une pierre de meule à son cou que de faire tomber dans le péché l’un de ces humbles croyants.
32
Pourquoi ? Parce qu’au lieu de faire confiance à Dieu, les Israélites ont tenu à présenter des œuvres méritoires, ils ont voulu être sauvés grâce à leurs efforts. Ils ont buté contre la pierre dont parle l’Écriture :
33
Voici, je place en Sion une pierre sur laquelle on tombera,
un rocher auquel on se heurtera ;
mais celui qui placera sa confiance en lui
ne sera pas déçu.
9
C’est bien (de ce même jugement) que parle David : Que leur table devienne pour eux un piège, un filet,
une cause de chute, un juste châtiment.
4
L’autre est au service de Dieu… et non au tien ! De quel droit le juges-tu ? Qui es-tu donc pour te poser en censeur de ton prochain ? Qu’il marche droit ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. C’est à Dieu qu’il doit des comptes, pas à toi. Cependant, sois tranquille, il marchera droit, car son maître lui en donnera la force. Il est capable de faire de lui un serviteur donnant entière satisfaction.
10
Comment donc peux-tu te mettre à juger ton frère ? De quel droit le critiques-tu ? Et toi, pourquoi jettes-tu, du haut de ta suffisance, un regard méprisant sur ton frère ? Ne devons-nous pas comparaître, les uns comme les autres, devant le tribunal de Dieu ?
13
Cessons donc de nous critiquer les uns les autres et de nous juger mutuellement. Appliquons plutôt notre intelligence à éviter toute occasion de chute à notre frère. Prenons garde, afin de ne pas être pour lui un piège qui le plonge dans le désarroi, un obstacle sur lequel il risque de buter.
17
Je vous engage instamment, chers frères, à vous méfier de ceux qui créent des difficultés dans les assemblées ; prenez garde à ceux qui aiment discuter et mettre en doute ce que vous avez appris du Christ. En s’écartant de l’enseignement reçu, ils sèment la division et des querelles sur leur chemin. Évitez-les, éloignez-vous d’eux,
9
Toutefois, faites bien attention : la liberté que vous prenez d’exercer vos droits ne doit pas devenir, pour les personnes scrupuleuses ou mal affermies dans la foi, un piège ou une occasion de chute.
10
Suppose, en effet, qu’un de ces chrétiens mal affermis te voie, toi « l’homme éclairé », assis à table dans un temple d’idoles. Est-ce réellement ce spectacle qui fortifiera sa conscience faible et lui permettra désormais de manger (sans hésitation) des viandes sacrifiées aux idoles ? Encouragé par ton exemple, ne sera-t-il pas plutôt tenté de violer ses scrupules de conscience et de manger de ces viandes, sans conviction ?
11
En agissant ainsi, il se causera du tort à lui-même, (peut-être) un tort irréparable. Et c’est à cause de ta connaissance que ce faible va courir à sa perte, ce frère pour lequel, pourtant, le Christ a donné sa vie !
12
Si vous péchez de la sorte envers des frères en blessant leur conscience mal affermie, vous péchez contre le Christ lui-même.
13
C’est pourquoi, si la viande que je mange devait constituer une tentation pour mon frère, si elle devait l’inciter à tomber dans le péché, je préférerais renoncer à la viande, une fois pour toutes, plutôt que d’être pour lui une occasion de chute.
32
Il faut donc que rien, dans votre comportement, ne soit un sujet de scandale ou une occasion de chute, ni pour les Juifs, ni pour les non-Juifs, ni pour les membres de l’Église de Dieu.
13
Pour cette question de tête couverte, examinez la chose entre vous et formez-vous un jugement personnel : estimez-vous convenable pour une femme de prier Dieu la tête découverte ? Ne le considérez-vous pas comme inconvenant et indécent ?
14
Nous sommes subjugués par l’amour que le Christ nous a témoigné ; il nous étreint, nous presse et nous pousse en avant. La conviction à laquelle nous sommes arrivés et qui nous guide est celle-ci : si un seul homme est mort pour tous, il s’ensuit que tous sont morts.
3
Quant à nous, nous évitons de choquer qui que ce soit, nous ne voulons placer d’obstacle sur le chemin de personne. Il ne faut pas que le ministère apostolique soit exposé à la critique ou tourné en dérision.
10
Vous saurez alors discerner les vraies valeurs, et vous serez capables de distinguer l’essentiel de l’accessoire et trouver, en toutes circonstances, la bonne manière d’agir. Un tel discernement vous rendra purs et irréprochables. Ainsi vous parviendrez au jour du Christ sans tomber en chemin ni causer la chute d’autrui.
14
C’est pourquoi je préfère nettement que les jeunes veuves se marient, qu’elles aient des enfants, s’occupent de leur intérieur et tiennent bien leur ménage afin de ne pas prêter le flanc aux critiques de nos adversaires. Ceux-ci ne trouveront pas le moindre prétexte à médisance.
4
Ne voyez-vous pas que, dans votre for intérieur, vous établissez entre les hommes des distinctions contredisant votre foi ? Votre comportement trahit un jugement inspiré par des normes incompatibles avec ce que vous croyez.
11
Mes frères, je vous en prie, ne dites pas de mal les uns des autres. Celui qui médit d’un frère ou qui le juge critique la loi ; il s’érige donc en juge au-dessus d’elle. Mais si tu juges la loi, tu ne l’observes plus, tu t’en fais le censeur.
10
Par contre, celui qui aime son frère reste constamment dans la lumière et il ne risque pas de tomber – ou de faire tomber quelqu’un d’autre – dans le péché.
14
Pourtant j’ai une ou deux choses à te reprocher : tu as dans tes rangs des gens attachés à la doctrine de Balaam, de celui qui avait incité le roi Balak à tendre un piège aux enfants d’Israël (pour les séduire) : il les amena à manger des viandes sacrifiées aux idoles et à se livrer à la débauche.
Dans ce verset qui fait transition à la suite, Paul s'adresse encore aux deux partis par un jeu de mots hardi, il leur montre sur quoi ils doivent faire porter leur perspicacité et leur penchant à juger : ne nous jugeons plus les uns les autres, mais (grec) jugez plutôt ceci, de ne pas placer au frère une pierre d'achoppement, c'est-à-dire un obstacle où il pourrait se heurter et qui le ferait trébucher, ou une occasion de chute (ce dernier mot manque dans A), soit un moyen de le faire tomber tout à fait. Cette recommandation s'adresse plus spécialement aux forts.
"Le fort est involontairement et inévitablement un danger pour le faible, en ce qu'il peut devenir pour lui une cause de chute." Schlatter. (Comparer 1Corinthiens 8.7-13, notes.)