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Tu n’insulteras pas un sourd et tu ne mettras pas d’obstacle sur le chemin d’un aveugle, et ainsi tu révéreras ton Dieu. Je suis l’Eternel.
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Toutefois, comme par cette affaire tu as fourni aux ennemis de l’Eternel une occasion de le mépriser, le fils qui t’est né mourra.
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Et l’on dira : « Frayez la route, oui, frayez-la,
ouvrez la voie !
Enlevez tout obstacle
du chemin de mon peuple. »
3
—Fils d’homme, ces gens-là portent leurs idoles sur leur cœur, et leurs yeux se tournent sans cesse vers ce qui les fait tomber dans le péché. Alors, vais-je me laisser consulter par eux ?
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—Ne condamnez pas les autres, pour ne pas être vous-mêmes condamnés.
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Mais Jésus, se retournant, lui dit :
—Arrière, « *Satan » ! Eloigne-toi de moi ! Tu es un obstacle à ma mission, car tes pensées ne sont pas celles de Dieu ; ce sont des pensées tout humaines.
7
Quel malheur pour le monde qu’il y ait tant d’occasions de tomber dans le péché ! Il est inévitable qu’il y en ait, mais malheur à celui qui crée de telles occasions.
57
—Pourquoi aussi ne discernez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste ?
2
Mieux vaudrait pour lui être précipité dans le lac avec une pierre de meule attachée au cou que de provoquer la chute de l’un de ces plus petits.
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Pour quelle raison ? Parce qu’ils ont cherché à être déclarés justes non pas en comptant sur la foi, mais comme si la justice pouvait provenir de la pratique de la Loi. Ils ont buté contre la pierre qui fait tomber,
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celle dont parle l’Ecriture :
Moi, je place en Sion une pierre qui fait tomber,
un rocher qui fait trébucher.
Celui qui met en lui sa *confiance ne connaîtra jamais le déshonneur.
9
De même *David déclare :
Que leurs banquets deviennent pour eux un piège, un filet,
une cause de chute, et qu’ils y trouvent leur châtiment.
4
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
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Et toi, pourquoi condamnes-tu ton frère ? Ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère ? Ne devons-nous pas tous comparaître devant le tribunal de Dieu ?
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Cessons donc de nous condamner les uns les autres.
Prenez plutôt la décision de ne rien mettre en travers du chemin d’un frère qui puisse le faire trébucher ou tomber.
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Je vous engage instamment, chers frères, à prendre garde à ceux qui sèment la division et égarent les autres en s’opposant à l’enseignement que vous avez reçu. Eloignez-vous d’eux,
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Toutefois, faites bien attention à ce que votre liberté ne fasse pas tomber dans le péché ceux qui sont mal affermis dans la foi.
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Suppose, en effet, que l’un d’eux te voie, toi, « l’homme éclairé », assis à table dans un temple d’idoles. Sa conscience ne va-t-elle pas l’encourager, lui qui est mal affermi, à manger des viandes sacrifiées aux idoles ?
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Ainsi, à cause de ta connaissance, ce chrétien mal affermi va courir à sa perte. Et pourtant, c’est un frère pour lequel le Christ a donné sa vie !
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Si vous péchez de la sorte envers des frères, en blessant leur conscience qui est faible, vous péchez contre le Christ lui-même.
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C’est pourquoi, si ce que je mange devait faire tomber mon frère dans le péché, j’y renoncerais à tout jamais, afin de ne pas être pour lui une occasion de chute.
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Mais que rien, dans votre comportement, ne soit une occasion de chute, ni pour les *Juifs, ni pour les païens, ni pour les membres de l’Eglise de Dieu.
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Jugez vous-mêmes de cela : est-il convenable pour une femme de prier Dieu la tête découverte ?
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En effet, l’amour du Christ nous étreint, car nous avons acquis la certitude qu’un seul homme est mort pour tous : donc tous sont morts en lui.
3
Pour que notre ministère soit sans reproche, nous évitons, en toute chose, de causer la chute de qui que ce soit.
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pour que vous puissiez discerner ce qui est important. Ainsi vous serez *purs et irréprochables au jour du Christ,
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C’est pourquoi je préfère nettement que les jeunes veuves se marient, qu’elles aient des enfants, et tiennent bien leur ménage afin de ne pas prêter le flanc aux critiques de nos adversaires.
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ne faites-vous pas des différences parmi vous, et ne portez-vous pas des jugements fondés sur de mauvaises raisons ?
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Frères, ne vous critiquez pas les uns les autres. Celui qui critique son frère ou qui se fait son juge critique la *Loi et la juge. Mais si tu juges la Loi, tu n’es plus celui qui lui obéit, tu t’en fais le juge.
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Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et par conséquent il est dans la lumière, aucun obstacle ne risque de le faire tomber.
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J’ai pourtant quelques reproches à te faire : tu as chez toi des gens attachés à la doctrine de Balaam qui avait appris au roi Balaq à tendre un piège devant les Israélites. Il voulait qu’ils participent au culte des idoles en mangeant les viandes provenant de leurs sacrifices et en se livrant à la débauche.
Dans ce verset qui fait transition à la suite, Paul s'adresse encore aux deux partis par un jeu de mots hardi, il leur montre sur quoi ils doivent faire porter leur perspicacité et leur penchant à juger : ne nous jugeons plus les uns les autres, mais (grec) jugez plutôt ceci, de ne pas placer au frère une pierre d'achoppement, c'est-à-dire un obstacle où il pourrait se heurter et qui le ferait trébucher, ou une occasion de chute (ce dernier mot manque dans A), soit un moyen de le faire tomber tout à fait. Cette recommandation s'adresse plus spécialement aux forts.
"Le fort est involontairement et inévitablement un danger pour le faible, en ce qu'il peut devenir pour lui une cause de chute." Schlatter. (Comparer 1Corinthiens 8.7-13, notes.)