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14
Oh non ! Seigneur, répliqua Pierre, jamais de ma vie je n’ai mangé quelque chose de souillé ou d’impur.
15
Mais la voix insista : — Ce que Dieu a déclaré pur, ce n’est pas à toi de le tenir pour impur.
28
Il salua ces gens en disant : — Vous savez qu’il est absolument illicite pour un Juif d’avoir des relations avec un étranger ou d’entrer chez lui. Toutefois, pour ce qui me concerne, Dieu lui-même vient de me faire comprendre qu’il ne faut considérer personne comme souillé ou impur.
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Mais je répondis : — Oh non ! Seigneur, jamais de ma vie je n’ai mangé quelque chose de souillé ou d’impur.
9
La voix céleste reprit une deuxième fois : — Ce que Dieu a déclaré pur, ce n’est pas à toi de le tenir pour impur.
2
L’un, par exemple, est persuadé qu’il peut manger de tout. Sa foi est assez solide pour ne pas s’embarrasser de scrupules alimentaires. Celui dont la foi est plus craintive se restreint à un régime végétarien.
14
Personnellement, je suis certain, parce que le Seigneur Jésus me l’a enseigné, que rien n’est impur en soi. Néanmoins, si quelqu’un tient une chose pour impure, elle l’est pour lui.
20
En aucun cas, ne compromets l’œuvre de Dieu en ton frère pour une question alimentaire. Tu as raison : « En soi, tout est pur ». Cependant, si quelqu’un mange avec mauvaise conscience un aliment qu’il estime interdit, il se fait du tort, et celui qui l’y entraîne commet une mauvaise action.
23
Mais celui qui mange malgré ses doutes prononce sa propre condamnation, car son acte ne procède pas de sa foi. Or, si nous agissons sans avoir la conviction d’être approuvés de Dieu, nous péchons.
7
Mais tous les chrétiens ne reconnaissent pas encore clairement ces faits. Quelques-uns, entraînés par la force de l’habitude, continuent à considérer l’idole comme une réalité et ils mangent ces viandes avec la pensée qu’elles ont été consacrées à une divinité réelle. Alors, leur conscience, qui est faible, est troublée et se trouve entachée de culpabilité.
10
Suppose, en effet, qu’un de ces chrétiens mal affermis te voie, toi « l’homme éclairé », assis à table dans un temple d’idoles. Est-ce réellement ce spectacle qui fortifiera sa conscience faible et lui permettra désormais de manger (sans hésitation) des viandes sacrifiées aux idoles ? Encouragé par ton exemple, ne sera-t-il pas plutôt tenté de violer ses scrupules de conscience et de manger de ces viandes, sans conviction ?
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Vous pouvez bien manger de tout ce qui se vend à la boucherie, sans faire d’enquête sur l’origine de ces viandes par scrupule de conscience.
4
En effet, tout ce que Dieu a créé est bon, aucun aliment n’est à rejeter, pourvu que l’on remercie Dieu en le prenant.
15
Pour ceux qui sont purs, tout est pur, mais pour des hommes corrompus et sans foi, pour des incroyants dont l’esprit est sali et maculé de péché, rien n’est pur : leur pensée, comme leur conscience, est souillée.
Cette conviction, il l'a dans le Seigneur Jésus, non seulement en s'appuyant sur telle de ses déclarations, (Marc 7.15, etc.) mais en se pénétrant de son esprit et en demeurant dans sa communion.
Il n'en est pas moins convaincu, que si un chrétien estime dans sa conscience tel aliment impur, cet aliment est impur pour lui. (comp verset 20)
Christ a-t-Il refusé le salut à nos frères ? A-t-Il refusé de mourir pour eux ? Les renierions-nous pour une cause quelconque, sans leur accorder quelque indulgence ? Nous ne pouvons pas empêcher ceux qui ne maîtrisent pas leurs paroles de dire du mal des autres ; par contre, ne leur en donnons pas, la moindre occasion.
Sachons nous blâmer nous-mêmes, quand nos actes heurtent notre frère. Le bien que nous cherchons à faire peut parfois être considéré comme du mal, parce que nous sommes en fait peu charitables, voire même égoïstes. Lorsque nous évaluons le bien que nous professons avoir accompli, nous ne devons trouver aucune critique des autres.
Justice, paix, et joie, sont des termes vraiment significatifs. Nous devons chercher à paraître devant Dieu, justifiés par la mort de Christ, sanctifiés par l'Esprit de Sa Grâce ; le Seigneur est la Justice.
Quant à nos frères, ils doivent vivre mutuellement en paix, dans l'amour et la charité ; il faut faire de même avec tous les hommes. En ce qui nous concerne, vivons dans la plénitude du Saint-Esprit qui demeure en nous ! Ce Dernier apporte dans le cœur du croyant, réconcilié avec le Père, la félicité spirituelle ; le ciel est la demeure qu'ils attendent.
Regarder à Christ dans tout ce que nous entreprenons, est le seul moyen de nous faire accepter, dans le cadre de notre devoir. Ceux qui plaisent le plus à Dieu sont ceux qui éprouvent une joie profonde en Sa présence et qui abondent le plus dans la paix et la joie offertes par le Saint-Esprit. Ils sont approuvés par tous les hommes bons, quelle que soit l'opinion des autres !