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1 Corinthiens 15.2

δι’ οὗ καὶ σῴζεσθε, τίνι λόγῳ εὐηγγελισάμην ὑμῖν, εἰ κατέχετε, ἐκτὸς εἰ μὴ εἰκῇ ἐπιστεύσατε.
et 2532 par 1223 lequel 3739 vous êtes sauvés 4982 5743, si 1487 vous le retenez 2722 5719 tel que 5101 3056 je vous 5213 l’ai annoncé 2097 5668 ; autrement 1622 1508, vous auriez cru 4100 5656 en vain 1500.
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    • Psaumes 106

      13 Ceux qui ne prennent pas garde aux conseils divins seront dès lors abandonnés au gré des désirs de leur cœur, ils suivront leurs propres voies. Un désir excessif, même licite, devient coupable. Dieu a montré son mécontentement devant de telles choses. Il a rempli d'égarement l'esprit du peuple, Il a terrorisé leur conscience par les reproches qu'ils se sont faits. Beaucoup de personnes se délectent dans la nourriture, ou disposent d'une santé corporelle excellente, tout en possédant une âme fébrile : aucun amour pour Dieu, jamais de remerciements, aucun appétit pour le Pain de vie, alors survient la « maigreur » spirituelle.

      Quelle négligence d'oublier ainsi son âme tout en choyant son corps ! Même le croyant convaincu verra à quel point il peut dire : « c'est une grâce du Seigneur que je ne sois pas consumé ». Combien de fois avons-nous placé des idoles dans notre cœur et toléré des choses défendues ; ainsi, si celui qui est plus grand que Moïse n'avait pas réussi à détourner la colère divine, nous serions complètement détruits. Si Dieu traita sévèrement Moïse pour ses vaines paroles, quel sort sera réservé à ceux qui ne disent que vanités et méchancetés ? Il appartient uniquement à Dieu de rompre notre communion spirituelle et d'ôter nos bénédictions, quand nous sommes grincheux et « tombés » spirituellement.

      Proverbes 3

      1

      Exhortations à l'obéissance et à la foi. (Proverbes 3:1-6)
      Exhortations à la piété, et à l'enseignement que procurent les afflictions. (Proverbes 3:7-12)
      Acquérir la sagesse. (Proverbes 3:13-20)
      Les conseils de Sagesse. (Proverbes 3:21-26)
      Le méchant et le juste. (Proverbes 3:27-35)

      Dans le chemin d’une pieuse obéissance aux commandements divins, la santé et la paix peuvent être normalement escomptés ; bien que nos jours ne soient jamais bien nombreux sur terre, nous vivrons éternellement dans le ciel !

      « Que la bonté et la vérité ne t'abandonnent pas », Proverbes 3:3* : la Miséricorde de Dieu, dans Ses promesses, et Sa Vérité dans Ses réalisations ; vis pour cela, que ce soit ton leitmotiv et ton soutien. Nous devons avoir confiance dans le Seigneur, de tout notre cœur, croire qu'Il est capable, en toute sagesse, de faire pour le mieux.

      Ceux qui se connaissent bien, savent que leur « perception de la vie » est faillible et qu’ils ne peuvent vraiment pas compter dessus. Ne concevez aucun projet qui ne soit pas légitime, et implorez Dieu, pour qu’Il vous guide en chaque occasion, même celles qui vous semblent les plus simples et évidentes. Quand toutes nos voies s'avèrent faciles et agréables, quand nous nous sentons bien, sachons reconnaître la « main de Dieu », avec reconnaissance. Quand notre chemin devient inconfortable, bordé d'épines, sachons encore discerner l’action de Dieu, et nous y soumettre.

      Au verset Proverbes 3:6*, nous trouvons une promesse : « Il aplanira tes sentiers » ; ta route sera bonne, sans danger, et finalement, tu seras heureux !

      * Références ajoutées par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Proverbes 4

      Proverbes 6

      20 La parole de Dieu a toujours un enseignement à nous communiquer, en toute occasion. Nous ne devons jamais être troublés, face à Ses réprimandes avisées.

      Lorsque nous considérons la fréquence de l’adultère, combien il est odieux par nature, quelles en sont les conséquences funestes, et comment il anéantit irrémédiablement toute vie spirituelle, ne soyons pas étonnés si la Parole de Dieu répète si souvent les avertissements de prudence à son égard.

      Notons bien les différents sujets de ce chapitre : souvenons-nous de Celui qui est devenu volontairement le Garant de notre âme, alors que nous n’étions que des « étrangers » et des ennemis de Dieu. Est-ce que les chrétiens, avec les perspectives et les différents exemples décrits dans la Parole de Dieu, pourront rester paresseux et insouciants ? Négligerons-nous ce qui plait à Dieu, et dans Sa Grâce, les récompenses qu’Il désire nous octroyer ?

      Faisons tout pour veiller attentivement à chaque attaque de la tentation qui pourrait surprendre notre esprit ou nos affections.

      Proverbes 23

      Luc 8

      Jean 8

      Actes 2

      Actes 8

      Romains 1

      16 Dans ces versets, l'apôtre aborde le thème de toute l'épître aux Romains, dans laquelle il montre l’accusation et la culpabilité de toute chair ; il déclare que la seule méthode qui délivre de la condamnation divine est basée sur la foi dans la Miséricorde de Dieu, à travers Jésus-Christ ; Paul érige sur cette foi, la pureté de cœur, l'obéissance reconnaissante au Seigneur, et un fervent désir de faire croître en tous points la fraternité chrétienne, que rien d'autre qu'une vie « en » Christ ne peut apporter.

      Dieu est un Dieu juste et saint ; nous sommes, quant à nous, des pécheurs coupables. Il est essentiel que nous nous soumettions à cette Justice pour paraître devant Lui : cette dernière est apportée par le Messie et révélée dans l'Évangile ; nous devons accepter cette Justice, tout comme la Grâce, malgré notre culpabilité et nos péchés. Cette Justice est celle de Christ, le Fils, Celui que Dieu nous a donné ; elle a une valeur infinie.

      La foi est la base omniprésente de la vie chrétienne, à la fois lors de la nouvelle naissance comme dans le progrès de la vie spirituelle. Nous ne sommes pas sauvés par les œuvres, mais par la foi ; elle nous donne le moyen d’être justifiés, alors que les œuvres nous permettent de nous affermir spirituellement en elle ; la foi nous pousse à aller de l’avant, c’est elle qui obtient la victoire sur l'incrédulité !

      Romains 11

      22 De tous les jugements, ceux qui sont d’origine spirituelle sont les plus douloureux à subir : c'est de ceux-ci que l'apôtre parle ici. La restauration du peuple juif est, dans le cours vraisemblable des évènements, bien plus probable que « l'appel des païens » à devenir les enfants d'Abraham ; bien que d'autres (les nations) possèdent maintenant les privilèges spirituels d’Israël, cela n'empêchera pas ce dernier d’être admis de nouveau auprès de l’Éternel !

      En repoussant l'évangile, et par leur refus indigné à le prêcher aux païens, les Juifs sont devenus « ennemis » de Dieu ; ils doivent cependant être encore favorisés par égard envers leurs pères, vivant précédemment dans la piété. Néanmoins, pour le présent, Israël, par sa haine à l’encontre des païens, est encore opposé à l'évangile ; mais quand le « temps imparti par Dieu » sera venu, ce qui ne saurait tarder, Son Amour initial envers les pères du peuple juif sera bien présent !

      La Grâce véritable ne cherche pas à confiner la faveur de Dieu. Ceux qui bénéficient de Sa Miséricorde, doivent s'efforcer de La partager, afin que d'autres en bénéficient aussi. Il ne s’agit pas de restaurer les Juifs dans leur précédent sacerdoce, avec les sacrificateurs, le temple, et leurs diverses cérémonies : tout cela est désormais terminé ; mais ils doivent être « conduits » à croire en Christ, le véritable Messie, Celui qu'ils ont crucifié, pour devenir membres du « troupeau des rachetés », avec les païens, Jésus étant le Grand Berger !

      Les captivités d'Israël, sa dispersion, et son « rejet » de l'église, sont d’excellents pôles d’enseignements pour les croyants, en vue de leur éviter la pratique du mal ; la vigilance continuelle du Seigneur envers Israël, Sa Miséricorde finale à son égard et la restauration bénie* des Juifs, témoignent bien de la Patience et l'Amour de Dieu !

      * Remarque du traducteur : l’auteur, à la date de rédaction de ce commentaire, (dix-septième siècle) ne savait pas que l’état d’Israël allait naître en mai 1948 !

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 15

      12 Ayant montré que Christ est ressuscité, l'apôtre répond maintenant à ceux qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de résurrection.

      Il n'y aurait pas eu de justification, ni de salut, si Christ n'était pas ressuscité. La foi en Christ ne serait-elle pas vaine et sans utilité, s'Il était encore parmi les morts ? La résurrection de notre Seigneur se prouve par celle de Son corps. Même ceux qui sont morts dans la foi, auraient péri dans leurs péchés, si Christ n'était pas ressuscité. Tous ceux qui croient en Christ placent leur espérance en Lui, Le Rédempteur, espérance basée sur Sa rédemption et le salut qu’Il offre ; s'il n'y avait pas eu de résurrection, ni de certitude de la vie éternelle, leur confiance en Lui n’aurait été limitée que pour la vie ici-bas. Un tel état d’âme devrait être la pire des conditions en ce monde, pire que les fléaux de l'humanité, en particulier au temps des apôtres, avec tout le contexte philosophique qui les entourait : les chrétiens étaient alors détestés et persécutés.

      Mais tel n’est pas le cas : les chrétiens, ici-bas, reçoivent un solide réconfort spirituel, même lors de leurs difficultés et de leurs épreuves, même au temps de la persécution la plus virulente...

      2 Corinthiens 2

      2 Corinthiens 6

      1

      L'apôtre, et ses compagnons d'œuvre, prouvent leur fidélité dans le ministère en Christ, par leur vie et leur conduite dénuées de tout reproche. (2 Corinthiens 6:1-10)
      Par affection pour eux, il se soucie qu'ils n'aient pas de rapport avec les incrédules et les idolâtres. (2 Corinthiens 6:11-18)

      L'Évangile est une parole pleine de Grâce qui retentit dans nos oreilles. L'annonce de la bonne nouvelle est celle de la Rédemption, c’est la possibilité de recevoir l'offre de la Grâce et du Salut : le temps présent est le moment propice pour accepter cette offre ! Demain ne nous appartient pas : nous ne savons pas de quoi il sera fait, ni où nous serons...

      Nous vivons en ce moment sous la dispensation de la Grâce ; soyons vigilants, ne négligeons pas ce fait ! Ceux qui annoncent simplement l'Évangile devraient se considérer comme des serviteurs de Dieu ; ils devraient agir en tant que tels, en toutes circonstances !

      L'apôtre appliquait ces principes, avec beaucoup de patience dans ses afflictions, en appliquant les merveilleux préceptes de la Parole, dans un esprit de service.

      Ici-bas, les croyants ont besoin de la Grâce divine, avec les armes spirituelles qui les protègent de toute tentation, de façon à recevoir, sans aucune susceptibilité, les observations de leur entourage ; ils doivent supporter patiemment les éventuels reproches. Ils ne détiennent rien d’eux-mêmes, mais possèdent toutes choses « en » Christ !

      De telles différences avec le monde caractérisent la vie d'un chrétien, et c'est à travers ces diverses conditions et multiples rapports avec les autres, que se trace notre chemin vers le ciel ; veillons à ce que toutes nos œuvres soient approuvées par Dieu.

      Quand l'Évangile est prêché avec fidélité, et totalement accepté, Il relève toute condition humaine, même celle des plus démunis ; ils épargnent ainsi l’énergie qu’ils dépensaient auparavant en vain, et emploient diligemment leur temps à des fins utiles. Ils rentabilisent leur temps et croissent spirituellement ; ils deviennent alors « riches » ici-bas, en comparaison avec leur ancien état coupable, état de débauche dans lequel ils vivaient, avant qu'ils n'avaient reçu l'Évangile !

      Galates 3

      Ephésiens 2

      Colossiens 1

      2 Thessaloniciens 2

      2 Timothée 1

      Hébreux 2

      1

      Le devoir d'accepter fermement Christ et Son Évangile. (Hébreux 2:1-4)
      Ses souffrances ne sont pas une objection à Sa prééminence. (Hébreux 2:5-9)
      La raison de Ses souffrances, et leur finalité. (\\# 10-13\\)
      Que Christ prenne la nature de l'homme, et non pas celle des anges, était essentiel à Son office, en tant que Sacrificateur. (\\# 14-18\\)

      Le chapitre précédent ayant prouvé que Christ est supérieur aux anges, ce texte applique donc cette doctrine.

      Notre esprit et notre mémoire ressemblent à un « récipient » qui fuit, ne retenant pas correctement son contenu, sauf si l’on prend maintes précautions. Ce phénomène provient de la corruption de notre nature, des tentations, des attraits du monde et de ses plaisirs. Pécher contre l'Évangile, revient à négliger le grand salut qui nous est offert ; c'est mépriser la Grâce salvatrice de Dieu, en Christ, la Lumière ; ne pas ressentir le besoin d’être sauvé équivaut à ne pas honorer Jésus.

      Les jugements du Seigneur, sous la dispensation de l'Évangile sont principalement spirituels, et de ce fait, ils doivent être vraiment redoutés. On trouve dans ce texte une sollicitation de la conscience des pécheurs. Même nos négligences mineures n'échapperont pas aux reproches du ciel ; elles obscurcissent souvent l’âme par des ténèbres spirituelles, en risquant de conduire cette dernière à la ruine.

      La mise en place de l'Évangile a été poursuivie et confirmée par ceux qui ont connu Christ, par les évangélistes et les apôtres, qui ont été les témoins de ce que Jésus-Christ a commencé à la fois d'enseigner et d’accomplir ; ces hommes, par les dons du Saint-Esprit, furent qualifiés pour la tâche à laquelle ils étaient appelés. Tout ce plan fut établi selon la Volonté de Dieu. Ce Dernier désirait en effet qu’en recevant l'Évangile, nous ayons des bases solides pour notre foi, et un ferme fondement pour notre espérance.

      Que notre âme admette cette vérité nécessaire, et s'appuie sur les Saintes Écritures, transcrites par ceux qui ont entendu les paroles de notre merveilleux Seigneur, étant inspirés par Son Esprit ; nous serons alors bénis, nous aurons « la bonne part », celle qui ne peut nous être ôtée !

      Hébreux 3

      14 En devenant des « participants de Christ », les saints ont reçu un véritable privilège, à savoir Son Esprit, Sa nature, Sa Grâce, Sa droiture et Sa vie ; ils sont impliqués dans toute la Personne de Christ, dans tout ce qu'Il accomplit ou accomplira.

      L’esprit avec lequel les chrétiens cheminent en commun dans les voies de Dieu, doit être maintenu jusqu'au terme de leur vie. La persévérance dans la foi est la meilleure évidence de son authenticité. Entendre la Parole est souvent un moyen d’accéder au salut, par contre, le fait de ne pas l’accepter expose davantage à la colère divine.

      La joie d'être « participants » de Christ et de Son parfait salut, ainsi que la crainte de la colère de Dieu et de la misère éternelle qui attend le pécheur rebelle, doivent nous pousser à persévérer dans une foi obéissante. Méfions-nous à ne pas nous laisser séduire par les vains privilèges de ce monde ni par de piètres professions de foi. Prions pour être comptés parmi les croyants authentiques, ceux qui entreront au ciel, alors que tous les pécheurs incrédules chuteront...

      De même que notre obéissance est en rapport avec la puissance de notre foi, nos péchés et la non satisfaction de nos besoins spirituels sont la conséquence de l'incrédulité qui demeure en nous...

      Hébreux 4

      Hébreux 10

      Jacques 2

      14 Ceux qui, comme beaucoup, en guise de piété, n’ont qu’une simple croyance spéculative de l'Évangile, se méprennent vraiment. Seule la foi véritable, par laquelle les hommes ont part à la justice, à l'expiation et la grâce de Christ, sauve une âme ; cette foi produit des fruits spirituels et saints, elle se révèle par les œuvres ; par contre, un simple assentiment à toute forme de doctrine ou de croyance, est totalement différent de cette foi qui sauve.

      Une profession de foi, non fondée véritablement sur la Parole, peut éventuellement gagner l’estime de ceux qui exercent la piété ; elle peut même procurer, dans certains cas, des bienfaits ici-bas ; mais quel profit y a-t-il, à gagner le monde entier, en perdant son âme ? Cette foi peut-elle sauver ?

      Tous les évènements marquants que nous traversons doivent être examinés : sont-ils ou non, avantageux pour l’avancement spirituel du salut de notre âme ?

      Ce passage de l'Écriture nous enseigne clairement qu'un simple assentiment de l'Évangile, sans les œuvres, n'est pas une foi véritable. Il n'y a aucun moyen de montrer que nous croyons vraiment en Christ, sans être vraiment appliqué à la pratique des bonnes œuvres, sans être motivés par le service de l'Évangile.

      Les hommes peuvent facilement se vanter devant les autres, et prétendre posséder ce qu’ils n’ont pas vraiment. Il ne suffit pas uniquement d'approuver la foi, mais il faut également y adhérer et la vivre ; le fait d’être simplement d'accord avec la vérité de la Parole, n’est pas suffisant, il faut en plus à accepter Christ en son cœur.

      La véritable piété n'est pas un simple acte de compréhension, mais c'est un « travail » qui anime le cœur tout entier. La Parole nous donne deux exemples d’une foi qui justifie, celle qui est accompagnée des œuvres : Abraham et Rahab. Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Sa foi, qui produit de telles œuvres, lui a fait obtenir des faveurs divines particulières.

      Nous voyons ainsi, au verset Jacques 2:24, comment un homme peut être justifié par ses œuvres, et non par une opinion ou une confession stérile, une croyance non suivie d’obéissance ; une âme n’est vraiment justifiée que par une foi produisant de bonnes œuvres. Le fait d'avoir à renier sa propre raison, ses affections, et ses intérêts, permet d'éprouver le véritable croyant.

      Observons dans ce texte, le pouvoir merveilleux de la foi, celle qui transforme les pécheurs : la conduite de Rahab prouvait que sa foi était vivante, productive ; cette femme nous a montré qu'elle croyait vraiment « avec son cœur », et non simplement de manière superficielle.

      Prenons alors bien garde : les meilleures œuvres sans la foi sont des œuvres mortes ; ces œuvres nécessitent racines et principes. Tout ce que nous accomplissons par la foi est véritablement bon, car exécuté en obéissance à Dieu, dans la soumission et Son acceptation : la « racine » de la foi peut être considérée comme morte, quand il n'y a aucun fruit...

      La foi est la racine, les bonnes œuvres en sont les fruits ; par la foi, nous pouvons voir si nous possédons les deux. Telle est la manifestation de la Grâce de Dieu, en laquelle nous nous tenons, et devons rester.

      Il n'y a pas d'état intermédiaire : chacun doit vivre comme un ami ou en ennemi de Dieu. Vivre « en Dieu » est la conséquence de la foi qui justifie et qui sauve ; cela nous oblige à ne rien faire contre Lui, mais à tout faire pour Lui et en Lui !

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