Jean Fils Bakongo - La grâce à laquelle vous êtes attachés est vraie
""La grâce à laquelle vous avez été appelés est vraie" par J.F. Bakongo Textes de base : 1 Pierre 5.12 …
Les anciens sont exhortés et encouragés. (1 Pierre 5:1-4)
Les jeunes chrétiens doivent se soumettre aux
anciens et avec humilité et patience, à Dieu ; ils doivent
rester sobres, vigilants, et fermes dans la foi. (1 Pierre 5:5-9)
Prières pour leur croissance
et leur affermissement. (1 Pierre 5:10-14)
Les pauvres chrétiens de l’époque, dispersés et souffrants, faisaient néanmoins partie du troupeau céleste, ils étaient rachetés pour Dieu par le grand Berger ; ils vivaient dans un amour saint et dans la communion fraternelle, selon la volonté divine. Ils sont également « héritiers » de Dieu ; ils sont mis à part, choisis, pour faire partie de Son propre peuple, pour bénéficier de Sa faveur et pour se consacrer à Son service.
Christ est le Berger, le chef du troupeau et « l’héritage » entier de Dieu. Tous Ses fidèles serviteurs recevront une couronne de gloire, qui ne peut flétrir et infiniment plus précieuse et plus honorable que toute l'autorité, la richesse et les plaisirs de ce monde !
Ceux à qui Dieu accorde la grâce d'être humbles, ont en plus la sagesse, la foi et la sainteté. Être humble, soumis et réconcilié à Dieu, apportera une plus grande consolation à l'âme que la satisfaction de la fierté et de l'ambition. L’élévation d’une personne, au sein de l’église, doit se faire en temps voulu ; non pas au moment qu’elle souhaite, mais à celui que Dieu a sagement décidé. Serait-elle incapable de patienter, alors que Dieu peut parfaitement le faire ?
Que de difficultés peuvent vaincre l’assurance en Sa sagesse, Sa puissance et Sa bonté ! Soyez donc humbles sous Son regard ! Déposez devant Lui tous vos soucis : qu'ils soient personnels, familiaux, présents ou futurs, ceux des autres, comme ceux de l'église...
De nombreux fardeaux, souvent coupables, proviennent de l'incrédulité et de la méfiance ; ils torturent et distraient l'âme, nous rendant impropres quant à l’exercice de nos devoirs spirituels, et entravant notre joie dans le service de Dieu. Le remède consiste à déposer notre souci devant Dieu, et de laisser chaque événement se dérouler selon Sa Sagesse et Sa Grâce.
Une ferme confiance en la Volonté et décisions divines, permet à une âme d’être sereine. Les hommes pieux oublient trop souvent cette vérité et se tourmentent sans raison véritable.
Remettez tout devant Dieu. Les « trésors » de consolation et les bien spirituels Lui appartiennent entièrement, ainsi que l'Esprit. En conséquence, si nous nous attendons humblement à Lui, selon Sa Sagesse et Son Amour, ne pourvoira-t-Il pas à tout ce dont nous avons besoin ?
Le grand dessein de Satan est de dévorer et de détruire les âmes. Il cherche en permanence qui il pourrait prendre au piège de la ruine éternelle. Notre devoir consiste tout simplement à rester sobres : « gouverner » à la fois « notre homme extérieur », comme notre âme, en toute sagesse. Nous devons rester vigilants, conscients du danger constant que représente « l’ennemi », et appliqués à prévenir ses projets néfastes.
Soyez fermes, solides dans la foi. Un homme ne peut pas lutter, s’il se tient sur un sol marécageux, sans pouvoir rester debout, sur un solide fondement : seule la foi en Christ peut procurer une ferme assise.
Cette pensée élève une âme vers les Promesses divines. La prise en considération des souffrances des autres nous encourage à porter notre part dans toute affliction ; quelle que soit la forme par laquelle Satan nous attaque, ou quels qu’en soient les moyens, nous pouvons être certains que nos frères spirituels traversent les mêmes expériences !
Ces différentes expressions montrent que la persévérance et le progrès dans la Grâce doivent être les premiers éléments que chaque chrétien doit rechercher. La puissance de cette doctrine dans le cœur, et les fruits spirituels qui en découlent, montrent que les enfants de Dieu sont les participants de Sa Grâce.
« La croissance de l'amour des chrétiens, et de leur affection mutuelle », n'est en aucune manière une phrase vide de sens : c’est le « sceau et l'insigne » de Jésus-Christ sur ceux qui L’aiment.
Les impies peuvent bénéficier pour un temps d’une paix fictive, et souhaiter avoir certains agréments pour eux-mêmes, comme pour d'autres ; mais leur espoir est vain, et se réduira à néant... Toute paix durable est fondée sur Christ, elle ne peut provenir que de Lui !
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Le compagnon d'œuvre de l'apôtre Paul, appelé aussi Silas. (Actes 15.32 ; 18.5 ; 2Corinthiens 1.19 ; 1Thessaloniciens 1.1 ; 2Thessaloniciens 1.1) Il fut probablement le secrétaire de l'apôtre, et son collaborateur dans la composition de cette épître. S'il en avait été seulement le porteur, on ne comprendrait pas que Pierre eût jugé utile de lui donner un témoignage formel de fidélité. (Comparer Introduction.)
Les chrétiens auxquels écrit l'apôtre n'ayant pas été instruits par lui-même, il devait être précieux pour leur foi de recevoir de lui cette confirmation relative à la grâce de Dieu, fondement de toutes leurs espérances. Elle leur montrait l'unité de la foi et la communion vivante qui existent entre les divers serviteurs de Dieu.
Grec : la coélue qui est à Babylone, par où il faut entendre l'Eglise de cette ville, comme le font quelques-unes des versions les plus célèbres de l'antiquité dans le texte desquelles le mot église est inséré.
D'autres ont pensé que ce pouvait être la femme de Pierre, ou quelque autre chrétienne éminente. Cette idée n'a aucune probabilité.
- Babylone est une désignation allégorique de Rome. Les chrétiens donnaient à la capitale de l'empire le nom de la cité de l'Euphrate, qui avait été le siège de la puissance hostile à l'ancien peuple de Dieu, et que les prophètes d'Israël avaient stigmatisée dans leurs discours. (Apocalypse 17 à Apocalypse 19,Esaïe 13 ; Jérémie 50)
Quelques interprètes prennent le nom de Babylone au propre, et l'entendent soit d'une ville de ce nom en Egypte soit de l'antique cité de l'Euphrate. Mais la tradition n'a pas conservé le souvenir d'une mission de Pierre en Egypte ni en Babylonie, tandis qu'elle affirme sa venue à Rome. (Voir l'Introduction.)
De plus, il est probable que Babylone au bord de l'Euphrate n'existait plus qu'à l'état de ruine. Le géographe Strabon, au commencement de l'ère chrétienne, l'appelle un "vaste désert." Il y avait bien des colonies juives en Babylonie ; mais nous ne savons quand elles reçurent l'Évangile, et il n'y eut probablement jamais "d'Eglise de Babylone."