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1 Timothée 6.4

il est enflé d'orgueil, ne sachant rien, mais ayant la maladie des questions et des disputes de mots, d'où naissent l'envie, les querelles, les paroles injurieuses, les mauvais soupçons,
il est enflé d’orgueil 5187 5769, il ne sait 1987 5740 rien 3367, et 235 il a la maladie 3552 5723 des 4012 questions oiseuses 2214 et 2532 des disputes de mots 3055, d’où 1537 3739 naissent 1096 5736 l’envie 5355, les querelles 2054, les calomnies 988, les mauvais 4190 soupçons 5283,
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      Proverbes 13

      Proverbes 25

      Proverbes 26

      Esaïe 58

      Actes 8

      Actes 15

      Actes 18

      Romains 2

      Romains 12

      Romains 13

      Romains 14

      1

      Les Juifs convertis sont mis en garde contre le jugement, et les païens croyants, (les gentils), contre le mépris mutuel. (Romains 14:1-13)
      Les païens sont exhortés à ne pas offenser leur prochain, avec des éléments sans importance. (Romains 14:14-23)

      Au temps où a été rédigé ce texte, différentes opinions ont prédominé, même parmi les partisans immédiats de Christ et de leurs disciples. Paul n’entreprit pas de mettre fin à ces divergences.

      Un assentiment par la contrainte, à une doctrine, ou une recherche de conformité à différentes tendances, sans réelle conviction, serait hypocrite et n’aurait guère de crédibilité. Toute tentative de recherche d’unité d'esprit absolue, parmi les chrétiens est assez illusoire. Que la fraternité chrétienne ne soit pas remise en question, par de simples querelles verbales.

      Il serait bon de nous demander, quand nous sommes tentés de dédaigner et de blâmer nos frères : « appartiennent-ils réellement au Seigneur ? Dans l’affirmative, puis-je oser les désavouer » ?

      Que le chrétien qui se sent entièrement libre, ne méprise pas son frère, pour sa faiblesse, le considérant comme ignorant ou superstitieux. Que le croyant scrupuleux ne trouve pas de faute chez son frère, car Dieu l'a accepté en tant que tel, sans considération spéciale, ni distinction, quant au choix de sa nourriture.

      Quand nous jugeons ainsi les pensées et les intentions de ceux qui n’ont pas les mêmes points de vue que les nôtres, nous usurpons pour ainsi dire, la place de Dieu. Il en est de même pour ceux qui préfèrent certains jours à d’autres. Ceux qui savaient que tous les rites inhérents à la loi étaient caduques, par la venue de Christ, ne tenaient même pas compte des fêtes des Juifs.

      Il n'est pas suffisant que notre conscience soit en accord avec nos actes ; il est essentiel qu’ils soient aussi conformes à ce que prescrit la Parole de Dieu. Veillons à ce que toute action ne s'oppose pas à ce que notre conscience nous dicte. Nous avons rapidement tendance à faire de nos propres opinions, le standard de la vérité, en jugeant négativement les actes de notre prochain. Souvent les chrétiens méprisent ou condamnent les autres sur des sujets douteux, sans réelle importance.

      Un regard reconnaissant vers Dieu, l'Auteur et le Donateur de toutes grâces, les sanctifie et nous pousse à reconnaître qu’elles sont merveilleuses !

      1 Corinthiens 3

      18 Avoir une haute opinion de notre propre sagesse ne peut que nous flatter, ce qui revient pratiquement à « nous duper ».

      La sagesse, selon les critères de ce monde, n’est que folie pour Dieu. Avec quelle Justice Il la méprise, et avec quelle facilité déconcertante Il est capable de la confondre! Les pensées des plus sages ici-bas ne sont que vanité, faiblesse, et folie. Ce texte devrait nous apprendre à rester humbles, toujours disposés à être enseignés par les préceptes divins, de façon à ne pas être influencés par les différentes prétentions de sagesse et d’hypocrisie humaines, hors des sentiers de la Vérité révélée par Christ.

      Les hommes sont souvent prêts à s'opposer aux desseins de la Miséricorde divine. Observons la richesse spirituelle d'un véritable croyant : « Tout est à vous » (verset 1 Corinthiens 3:21) ; Dieu lui offre Ses dons les plus précieux, Ses ordonnances, comme les prestations réservées à Ses serviteurs. Le monde lui-même appartient à Ses enfants. Les saints bénéficient, par la Sagesse Infinie du Seigneur, de Sa bénédiction et de Son Amour ! Il appartient aux croyants de bien gérer leur temps ici-bas, afin qu’ils puissent se préparer pour la vie céleste et qu’à l’heure de la mort, ils soient prêts à entrer au ciel.

      La Sagesse Divine est le « tendre message » qui vous fera sortir du péché et qui effacera tous les chagrins, Elle vous guidera vers la demeure de votre Père.

      Les choses présentes sont à vous, pour vous soutenir tout au long de votre cheminement ici-bas ; les choses à venir vous appartiennent également, afin que vous puissiez jouir de toute espérance spirituelle, jusqu’à la fin de votre « voyage » en ce monde.

      Si nous appartenons véritablement à Christ, tout bien nous appartient, nous en avons la garantie. Les croyants sont les sujets de Son Royaume. Il est notre Seigneur, nous devons nous soumettre à Son autorité et à Ses directives. Dieu, par l’intermédiaire de Christ, réconcilie le monde coupable avec Lui-même, en répandant la richesse de Sa Grâce ici-bas : tel est le message de l'Évangile !

      1 Corinthiens 8

      1

      Le danger d'être fier de ses connaissances. (1 Corinthiens 8:1-6)
      Le mal qu'il y a à offenser des frères vulnérables. (1 Corinthiens 8:7-13)

      Il n'y a pas de meilleure preuve d'ignorance que la vanité de la connaissance ! On peut acquérir beaucoup de savoir, sans pouvoir l’appliquer à un noble but.

      Ceux qui estiment, avec fierté, posséder une grande instruction, sont en fait les moins aptes à en faire bon usage. Satan les tente par ce type d’orgueil, comme il le fait pour d'autres, en les attirant dans les pièges de la sensualité. La connaissance qui enfle celui qui pense la posséder, est aussi dangereuse que l’orgueil de celui qui estime être juste : cela se vérifie dans leur conduite.

      Sans amour fraternel, toute connaissance humaine est sans valeur. Les païens ont des dieux (ou des idoles), à qui ils se consacrent plus ou moins : ces derniers sont bien nombreux ! En fait, ils n’ont aucune réalité.

      Les chrétiens possèdent un Dieu unique, omnipotent, qui a tout créé. Un seul Dieu, « Dieu le Père », qui représente la Divinité unique, absolue, digne de recevoir toute leur adoration. Le Seigneur Jésus-Christ, « Emmanuel », Nom qui signifie « Dieu manifesté en chair », est Un avec le Père, et avec nous ; Christ est notre Médiateur, le Seigneur de tout ; en Lui, nous venons au Père, et par Lui, Dieu nous adresse toutes bénédictions, sous l'influence et l'œuvre du Saint-Esprit.

      Sachons nous éloigner de toute adoration envers les nombreuses idoles, qui ne sont de véritables dieux que pour les païens ; refusons tout culte voué aux saints ou aux anges, mais éprouvons-nous pour savoir si nous venons vraiment à Dieu, par la foi en Christ !

      1 Corinthiens 11

      2 Corinthiens 11

      Galates 5

      Galates 6

      Philippiens 1

      Philippiens 2

      Colossiens 2

      18 Le fait de s’adresser uniquement aux anges pouvait faire croire à une fausse humilité, comme si les hommes, conscients de leur indignité, ne pouvaient parler directement à Dieu. Cette pensée n'avait en fait aucun sens ; elle pouvait signifier en effet : ne pas oser usurper l’honneur d’approcher le Père, honneur revenant seulement à Christ, en ne permettant pas à la créature d’approcher le Créateur. Il y avait vraiment de l'orgueil dans ce semblant d'humilité.

      Ceux qui vouent un culte aux anges répudient Christ, le seul Médiateur entre Dieu et les hommes. Le fait de faire appel à des intercesseurs autres que Christ en personne, représente une véritable insulte à ce Dernier, la Tête de l'Église. Quand les hommes nient l'influence de Christ en leur cœur, ils se vouent alors à diverses sortes d’égarements...

      Le corps de Christ est un élément qui croît. Les véritables croyants ne peuvent pas vivre selon les vaines manières de ce monde. La véritable sagesse consiste à suivre les préceptes de l'Évangile, dans une soumission entière à Christ, l’unique chef de Son église.

      Les pénitences et les jeûnes que l'on peut s'imposer, peuvent donner aux autres l’impression d’une rare spiritualité et d’une bonne disposition à souffrir pour le Seigneur, mais en fait, cela ne rend aucun honneur à Dieu. Ce genre d’activité peut tendre, dans une vaine manière, à satisfaire l'esprit charnel, en gratifiant l’amour propre, une soi-disant sagesse, et une satisfaction personnelle, (avec un éventuel mépris des autres.) Ces activités ne sont qu'une ostentation de pseudo sagesse ou un semblant de témoignage, sans utilité, ni satisfaction de la chair.

      Ce que le Seigneur a considéré comme sans importance, estimons-le comme tel, laissons cependant aux autres toute liberté en ce sens ; souvenons-nous que toutes les activités de ce monde ne sont qu’éphémères, cherchons vraiment à glorifier Dieu, quant à leur usage...

      2 Thessaloniciens 2

      1 Timothée 1

      1 Timothée 3

      1 Timothée 6

      2 Timothée 2

      14 Ceux qui sont disposés à lutter, le font bien souvent pour des sujets de piètre importance. Par contre, les querelles verbales ne peuvent que nuire à tout ce qui concerne Dieu.

      Dans ce texte, l'apôtre mentionne certaines personnes qui ont fait fausse route. Ces dernières n'ont pas nié la résurrection, mais ont corrompu cette vraie doctrine. Leurs folles paroles erronées pouvaient déstabiliser la foi naissante chez certains...

      Le fondement de l’enseignement de Paul repose sur deux textes des Écritures. L’un parle de notre réconfort : nul ne peut détruire la foi de celui que Dieu a choisi. L'autre mentionne notre devoir : ceux qui sont conscients du privilège qu’ils ont, d’être EN Christ, doivent s’en réjouir et prendre conscience de leur devoir.

      Christ s'est donné Lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, \\# Tite 2:14\\. Son Église est comparable à une demeure : certains de ses « meubles » sont de grande valeur, d'autres de moindre intérêt, destinés à un usage vil. Certains mauvais professeurs de la piété sont comme ces « vases » de bois et de terre. Quand ces derniers sont jetés au dehors et détruits, les autres sont alors remplis de toute la plénitude de Dieu !

      Nous devons par cette métaphore, nous demander : quel type de « vase » sommes-nous ? Chaque personne, approuvée par Dieu au sein de l'Église, sera consacrée au service de son Maître, et sera ainsi apte à être utilisée !

      2 Timothée 3

      Tite 3

      Jacques 1

      19 Au lieu de blâmer Dieu, lorsque nous traversons l’épreuve, soyons attentifs pour apprendre ce que cette dernière peut nous enseigner. Si les hommes pouvaient maitriser leur langue, ils seraient également maîtres de leurs passions...

      Dans tout différend, le pire est la colère. Nous trouvons dans ce texte une exhortation à écarter, et à rejeter, tel un vêtement sale, toutes pratiques coupables. Ceci concerne nos pensées, nos mauvais penchants, comme nos vaines paroles ; cela s'applique à tout ce qui est corrompu et coupable en nous.

      Nous devons nous soumettre à la Parole de Dieu, avec humilité, avec le désir qu’Elle nous enseigne. Dans cette soumission, nous devons être disposés à admettre le constat de nos fautes, non seulement avec patience, mais aussi avec reconnaissance.

      La Parole de Dieu désire nous rendre sages à salut ; ceux qui en tordent le sens par de faux raisonnements, déshonorent en fait l'Évangile, et ne font que nuire à leur âme.

      Jacques 2

      14 Ceux qui, comme beaucoup, en guise de piété, n’ont qu’une simple croyance spéculative de l'Évangile, se méprennent vraiment. Seule la foi véritable, par laquelle les hommes ont part à la justice, à l'expiation et la grâce de Christ, sauve une âme ; cette foi produit des fruits spirituels et saints, elle se révèle par les œuvres ; par contre, un simple assentiment à toute forme de doctrine ou de croyance, est totalement différent de cette foi qui sauve.

      Une profession de foi, non fondée véritablement sur la Parole, peut éventuellement gagner l’estime de ceux qui exercent la piété ; elle peut même procurer, dans certains cas, des bienfaits ici-bas ; mais quel profit y a-t-il, à gagner le monde entier, en perdant son âme ? Cette foi peut-elle sauver ?

      Tous les évènements marquants que nous traversons doivent être examinés : sont-ils ou non, avantageux pour l’avancement spirituel du salut de notre âme ?

      Ce passage de l'Écriture nous enseigne clairement qu'un simple assentiment de l'Évangile, sans les œuvres, n'est pas une foi véritable. Il n'y a aucun moyen de montrer que nous croyons vraiment en Christ, sans être vraiment appliqué à la pratique des bonnes œuvres, sans être motivés par le service de l'Évangile.

      Les hommes peuvent facilement se vanter devant les autres, et prétendre posséder ce qu’ils n’ont pas vraiment. Il ne suffit pas uniquement d'approuver la foi, mais il faut également y adhérer et la vivre ; le fait d’être simplement d'accord avec la vérité de la Parole, n’est pas suffisant, il faut en plus à accepter Christ en son cœur.

      La véritable piété n'est pas un simple acte de compréhension, mais c'est un « travail » qui anime le cœur tout entier. La Parole nous donne deux exemples d’une foi qui justifie, celle qui est accompagnée des œuvres : Abraham et Rahab. Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Sa foi, qui produit de telles œuvres, lui a fait obtenir des faveurs divines particulières.

      Nous voyons ainsi, au verset Jacques 2:24, comment un homme peut être justifié par ses œuvres, et non par une opinion ou une confession stérile, une croyance non suivie d’obéissance ; une âme n’est vraiment justifiée que par une foi produisant de bonnes œuvres. Le fait d'avoir à renier sa propre raison, ses affections, et ses intérêts, permet d'éprouver le véritable croyant.

      Observons dans ce texte, le pouvoir merveilleux de la foi, celle qui transforme les pécheurs : la conduite de Rahab prouvait que sa foi était vivante, productive ; cette femme nous a montré qu'elle croyait vraiment « avec son cœur », et non simplement de manière superficielle.

      Prenons alors bien garde : les meilleures œuvres sans la foi sont des œuvres mortes ; ces œuvres nécessitent racines et principes. Tout ce que nous accomplissons par la foi est véritablement bon, car exécuté en obéissance à Dieu, dans la soumission et Son acceptation : la « racine » de la foi peut être considérée comme morte, quand il n'y a aucun fruit...

      La foi est la racine, les bonnes œuvres en sont les fruits ; par la foi, nous pouvons voir si nous possédons les deux. Telle est la manifestation de la Grâce de Dieu, en laquelle nous nous tenons, et devons rester.

      Il n'y a pas d'état intermédiaire : chacun doit vivre comme un ami ou en ennemi de Dieu. Vivre « en Dieu » est la conséquence de la foi qui justifie et qui sauve ; cela nous oblige à ne rien faire contre Lui, mais à tout faire pour Lui et en Lui !

      Jacques 4

      1

      Avertissements contre les affections corrompues et l'amour de ce monde, qui ne sont qu'inimitié envers Dieu. (Jacques 4:1-10)
      Exhortations à ne pas entreprendre d'affaires sans un regard constant vers la Volonté et la Providence divines. (Jacques 4:11-17)

      Toutes les guerres et combats divers provenant de la corruption de notre cœur, il est juste de mortifier cette dernière, qui ne cherche qu’à satisfaire notre convoitise, même au sein de l'église.

      Les convoitises mondaines et charnelles ne sont que des « onguents » ; elles sont vaines et ne procurent ni contentement, ni satisfaction. Les désirs et les affections coupables nuisent à la prière et à notre communion avec Dieu.

      Gardons-nous d’abuser de la Miséricorde, lorsque nos prières sont exaucées. Quand les hommes demandent à Dieu la prospérité, ils la demandent fréquemment, avec de mauvaises intentions. Si nous ne recherchons que les intérêts de ce monde, il est tout-à-fait juste que Dieu nous les refuse. Les vains désirs, incrédules, ne provoquent que le refus céleste ; nous pouvons alors être certains que ces prière, exprimées au Seigneur par notre convoitise, ne seront jamais exaucées.

      Ce texte nous donne un avertissement : éviter toute amitié criminelle avec ce monde. L'amour du monde est en effet dirigé contre Dieu. Des ennemis peuvent se réconcilier, sauf si de l’inimitié les sépare. Un homme peut prendre une grande part dans les entreprises ici-bas, tout en étant cependant fidèle à l'Amour de Dieu ; mais celui qui donne son cœur au monde, lui réservant toutes les priorités, est en fait un ennemi de Dieu. Tous ceux qui prennent la résolution de rester « amis » avec le monde, sont obligatoirement ennemis de Dieu.

      Les Juifs, à l’époque de l’apôtre, et ceux qui enseignaient de fausses doctrines, pouvaient-ils penser que l'Écriture parle en vain, contre cet esprit du monde ? Le Saint-Esprit, qui demeure en tout chrétien, la nouvelle nature qu'Il crée en lui, pouvaient-ils produire un tel fruit d’égarement spirituel ? En fait, la corruption du cœur se révèle par la jalousie...

      L'esprit du monde nous apprend à tout accumuler, ou abandonner, selon nos propres convoitises ; Dieu, par le Saint-Esprit, nous apprend à croître spirituellement, selon nos capacités. La Grâce de Dieu corrigera et guérira notre esprit et notre mauvaise nature ; là où Il accorde la Grâce, Il accorde aux Siens un esprit différent de celui qui anime le monde.

      Les orgueilleux résistent à Dieu : dans leur « univers », ils résistent aux Vérités et aux lois divines ; pour assouvir leurs passions, ils résistent à la Providence ; il n'est donc pas étonnant que Dieu résiste aux orgueilleux... Quel misérable état peut-on constater chez ceux qui font de Dieu leur ennemi ! Dieu accordera davantage de Grâce aux humbles qui reconnaissent leur besoin de Son action divine ; ils prient à cet effet et expriment leur reconnaissance au ciel, pour tout ce qu'ils obtiennent.

      Soumettez-vous donc à Dieu, verset Jacques 4:7. Soumettez votre esprit à la vérité de Dieu ; soumettez votre volonté à Ses préceptes, à Sa Providence. Soumettez-vous à Dieu, car Il est prêt à vous faire du bien !

      Si nous cédons aux tentations, le diable sera continuellement près de nous ; mais si nous avons revêtu « l'armure de Dieu », si nous résistons fermement à « l’ennemi », il nous laissera. Que les pécheurs se soumettent alors à Dieu, en recherchant Sa Grâce et Sa faveur, en résistant au diable.

      On doit se lamenter devant tout péché ; ici-bas, avec un « pieux chagrin », ou plus tard, dans la détresse éternelle. Le Seigneur ne refusera jamais de consoler celui qui pleure vraiment sur son péché, ni d'élever celui qui s'humilie devant Lui !

      1 Pierre 2

      1

      Recommandation au chrétien, né de nouveau : avoir une conduite conforme à sa vocation. (1 Pierre 2:1-10)
      Nécessité d’une bonne conduite parmi les Païens. (1 Pierre 2:11,12)
      Exhortations à l’obéissance envers les autorités civiles. (1 Pierre 2:13-17)
      Les serviteurs doivent obéir à leurs maîtres ; tous doivent être patients, selon l'exemple du Sauveur, Celui qui a souffert pour tous. (1 Pierre 2:18-25)

      La médisance révèle la méchanceté et l’hypocrisie qui règnent dans le cœur ; elle nous empêche de tirer un réel profit de la Parole de Dieu.

      Un enfant de Dieu a besoin d'une nourriture spirituelle qui lui soit adaptée. Les enfants désirent du lait, et font tous les efforts possibles pour en obtenir ; il doit en être de même pour les désirs d'un chrétien : être nourri par la Parole de Dieu.

      Notre Seigneur Jésus-Christ est très miséricordieux envers nous, pécheurs misérables ; Il offre toute plénitude en Sa Grâce. Même le meilleur des serviteurs de Dieu, ici-bas, n'a qu'un avant-goût des consolations de Dieu. Dans ce texte, Christ est appelé « la Pierre maîtresse », pour enseigner à Ses serviteurs qu'Il est leur protection et leur sécurité, le fondement sur lequel ils reposent.

      Christ est précieux, par l'excellence de Sa nature, la dignité de Sa fonction, et la gloire de Ses œuvres. Tous les véritables croyants sont de « saints sacerdoces », consacrés à Dieu, devant secourir leur prochain, et dotés de dons provenant du ciel et de la Grâce.

      Les sacrifices les plus spirituels, les meilleures prières et louanges, ne peuvent être acceptés par Dieu qu’au travers de Jésus-Christ. Ce Dernier est la « Pierre angulaire », qui unit la totalité des croyants dans un « temple éternel » ; cette Pierre porte le poids de la structure entière de l’édifice spirituel. Elle a été choisie, pour devenir un fondement éternel. Elle est plus précieuse que toute autre valeur. Être bâti « en Christ » signifie croire en lui ; mais hélas, beaucoup se trompent eux-mêmes, en ne réalisant pas la grandeur de Ses qualités divines, ni la nécessité qu'il y a de bénéficier du salut qu’Il nous offre.

      Même si la structure du monde se désagrégeait, l'homme qui repose sur ce « fondement spirituel » peut rester sans crainte, il ne sera jamais confus. Une âme pieuse se dirige invariablement vers Christ ; elle ne trouvera jamais de raison pour quitter le Seigneur.

      Tous les véritables chrétiens sont une « génération choisie ; » ils forment une famille spirituelle, un peuple distinct, séparé du monde : ils sont unis par le même esprit, les mêmes principes, et tiennent une conduite différente des impies ; jamais ils n'auraient pu être ainsi s'ils n'avaient pas été « choisis en Christ », sanctifiés par Son Esprit. Ils étaient auparavant dans un terrible état de ténèbres spirituelles, mais ils sont désormais appelés hors de cet abîme, dans la joie et l’abondance, afin qu'ils puissent clamer les louanges du Seigneur, en témoignant de la Vérité, par leur bonne conduite.

      Les enfants de Dieu ont de grandes obligations envers Celui qui a fait d'eux Son peuple, en leur prouvant Sa Miséricorde ! Ne pas bénéficier de cette Dernière est un véritable malheur, même si l’on disposait de tous les plaisirs du monde.

      Rien n'amène autant à la repentance qu’une reconnaissance sincère de la Miséricorde et de l'Amour de Dieu. Ne cherchons pas à abuser, ni affronter la Grâce de Dieu, si nous n’avons pas l'espoir d'être sauvés par Christ ; que tous ceux qui veulent être trouvés parmi ceux qui obtiennent Sa Miséricorde, marchent d’une manière digne de Son peuple !

      2 Pierre 2

      Jude 1

      Apocalypse 3

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