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25
Jacob resta seul. Alors un homme se battit avec lui jusqu’au lever de l’aurore.
31
Jacob donna à cet endroit le nom de Péniel ; car, dit-il, j’ai vu Dieu face à face, et mon âme a été préservée.
55
Mais si vous ne dépossédez pas devant vous les habitants du pays, ceux d’entre eux que vous laisserez seront comme des échardes dans vos yeux et des aiguillons dans vos côtés, ils seront vos adversaires dans le pays où vous allez vous établir.
14
(prends garde), de peur que ton cœur ne s’élève et que tu n’oublies l’Éternel, ton Dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude.
20
afin que son cœur ne s’élève pas au-dessus de ses frères, et qu’il ne s’écarte de ces commandements ni à droite ni à gauche ; afin qu’il prolonge ses jours dans son royaume, lui et ses fils, au milieu d’Israël.
3
J’ai dit alors : Je ne les chasserai pas devant vous ; mais ils seront à vos côtés, et leurs dieux vous seront un piège.
16
Mais lorsqu’il eut affermi son pouvoir, son cœur s’enhardit jusqu’à entraîner sa perte. Il fut infidèle à l’Éternel son Dieu : il entra dans le temple de l’Éternel pour brûler (des parfums) sur l’autel des parfums.
25
Mais Ézéchias ne répondit pas au bienfait qu’il avait reçu, car son cœur devint arrogant ; et l’indignation (de l’Éternel) fut sur lui ainsi que sur Juda et Jérusalem.
26
Alors Ézéchias, en dépit de l’arrogance de son cœur, s’humilia avec les habitants de Jérusalem, et l’indignation de l’Éternel ne vint pas sur eux pendant la vie d’Ézéchias.
31
Cependant, dans l’affaire des porte-parole des ministres de Babylone qui lui avaient été envoyés pour s’informer du prodige qui avait eu lieu dans le pays, Dieu l’abandonna pour l’éprouver, afin de connaître tout ce qui était dans son cœur.
7
Alors Satan se retira de la présence de l’Éternel. Puis il frappa Job d’un ulcère malin, depuis la plante du pied jusqu’au sommet de la tête.
24
Ainsi elle ne sera plus pour la maison d’Israël Une écharde douloureuse, un chardon déchirant, Parmi tous ceux d’alentour qui la méprisent, Et l’on reconnaîtra que je suis le Seigneur, l’Éternel.
20
Mais lorsque son cœur s’éleva et que son esprit s’endurcit jusqu’à l’arrogance, il fut précipité de son trône royal et dépouillé de sa gloire,
67
Là-dessus, ils lui crachèrent au visage et lui donnèrent des coups de poing ; d’autres le giflèrent, en disant :
16
Et cette femme, qui est une fille d’Abraham et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, il n’aurait pas fallu la détacher de ce lien le jour du sabbat ?
11
Jusqu’à cette heure, nous sommes exposés à la faim, à la soif, au dénuement, aux coups, à une vie errante ;
5
qu’un tel homme soit livré à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus !
5
Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élèvent contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance au Christ.
20
Vous supportez en effet qu’on vous asservisse, qu’on vous dévore, qu’on vous dépouille, qu’on vous traite avec arrogance, qu’on vous frappe au visage !
13
Vous ne m’avez fait aucun tort. Vous le savez : ce fut à cause d’une maladie que je vous ai pour la première fois annoncé l’Évangile.
6
Qu’il ne soit pas nouveau converti, de peur qu’enflé d’orgueil, il ne tombe sous le jugement du diable.
On peut les réduire à trois espèces :
1° des tentations purement spirituelles et morales ;
2° les souffrances qu'occasionnaient à l'apôtre l'inimitié de ses adversaires, ou, en général, les épreuves de son apostolat ;
3° des infirmités corporelles. Ceci est ce qu'il y a de plus probable.
Les termes dont se sert l'apôtre expriment l'indicible douleur de son épreuve, mais n'en indiquent pas clairement la nature. Le mot que nous traduisons par une écharde désigne tout corps muni d'une pointe propre à percer, à déchirer, comme un pieu, une lance, les clous d'une croix, la croix elle-même. Cette cause de souffrance étant dans la chair, il est probable que c'était quelque infirmité corporelle très douloureuse, très humiliante. (Comparer Galates 4.14)
Enfin, cette épreuve était pour l'apôtre une source de tentation spirituelle (comme le sont toutes les épreuves), puisqu'il la désigne encore par ces mots : un ange de Satan, (comparez Matthieu 25.41) un envoyé, un serviteur du démon, par où il faut entendre l'épreuve elle-même, devenant, dans la main de l'ennemi, un instrument de tentation. Souffleter est pris figurément pour maltraiter, humilier, insulter.
- Que les voies de Dieu sont merveilleuses et pleines de contradictions aux yeux de la sagesse humaine ! D'une part, il élève son fidèle serviteur jusqu'au troisième ciel, et d'un autre côté, il l'abaisse jusqu'à un opprobre sans nom, afin de le préserver d'un mal plus grand encore, l'orgueil ! Si Paul avait besoin d'un tel remède pour être préservé de ce danger, qui se croira en sûreté ?
Il ne nous est pas dit en quoi consistait cette « épine dans la chair » ; il s’agissait peut-être d’un grave problème, ou d’une grande tentation... Mais Dieu accorde souvent le bien par le biais de la souffrance : les reproches que peuvent nous adresser nos adversaires nous aident à nous garder de toute fierté. Si Dieu nous aime, Il nous évitera d'être exalté au-delà de toute mesure ; les fardeaux de toute nature sont ordonnés pour combattre la fierté spirituelle.
Le texte nous déclare que cette « épine dans la chair » a été envoyée, à titre maléfique, par un ange de Satan ; mais Dieu, Celui qui a permis d’éprouver l’apôtre, l'a « remaniée », pour devenir finalement le bien de Paul.
La prière est un « onguent » pour chaque plaie, un remède pour chaque maladie ; quand nous sommes affligés par des « épines » dans la chair, nous devons nous consacrer à la prière. Si une réponse n'est pas accordée dans l’immédiat, ou peu après, continuons à prier !
Les épreuves nous sont envoyées par la Providence pour nous apprendre à prier ; si elles persistent, c’est dans le but de nous apprendre à poursuivre cette prière. Quoique Dieu accepte la prière de la foi, Il n'accorde pas toujours ce qui est demandé : alors qu'Il exauce parfois dans le courroux, Il refuse aussi dans Son Amour. Quand le Seigneur n’éloigne pas de nous les problèmes, ni les tentations, Il nous accorde cependant Sa grâce toute suffisante, de sorte que nous n'avons aucune raison de nous plaindre ! La Grâce manifeste la clémence de Dieu à notre égard ; c'est suffisant pour nous éclairer, nous animer, nous fortifier et nous réconforter dans les détresses et les afflictions.
La force du Seigneur est parfaitement adaptée à notre faiblesse. Sa Grâce est ainsi manifestée et magnifiée ! Quand nous nous sentons faibles, c'est alors que nous sommes forts, dans la Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ ; quand nous ressentons vraiment cette faiblesse, allons à Christ, pour recevoir Sa force et découvrir cette abondance divine, de Puissance et de Grâce !