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19
C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.
19
Combien plus chez ceux qui habitent des maisons d'argile, Qui tirent leur origine de la poussière, Et qui peuvent être écrasés comme un vermisseau !
25
Mais je sais que mon Rédempteur est vivant, Et qu'il se lèvera le dernier sur la terre.
26
Quand ma peau sera détruite, il se lèvera ; Quand je n'aurai plus de chair, je verrai Dieu.
22
Tu mu soulèves, tu mu fais voler au-dessus du vent, Et tu m'anéantis au bruit de la tempête.
9
(56 : 10) Mes ennemis reculent, au jour où je crie ; Je sais que Dieu est pour moi.
58
Nous l'avons entendu dire : Je détruirai ce temple fait de main d'homme, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme.
2
Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place.
3
Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi.
9
Car nous sommes ouvriers avec Dieu. Vous êtes le champ de Dieu, l'édifice de Dieu.
46
Mais ce qui est spirituel n'est pas le premier, c'est ce qui est animal ; ce qui est spirituel vient ensuite.
47
Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre ; le second homme est du ciel.
48
Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres ; et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes.
7
Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.
1
Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l'ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n'a pas été faite de main d'homme.
4
Car tandis que nous sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés, parce que nous voulons, non pas nous dépouiller, mais nous revêtir, afin que ce qui est mortel soit englouti par la vie.
11
Et c'est en lui que vous avez été circoncis d'une circoncision que la main n'a pas faite, mais de la circoncision de Christ, qui consiste dans le dépouillement du corps de la chair :
12
Et c'est à cause de cela que je souffre ces choses ; mais j'en ai point honte, car je sais en qui j'ai cru, et je suis persuadé qu'il a la puissance de garder mon dépôt jusqu'à ce jour-là.
11
Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir ; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'est pas construit de main d'homme, c'est-à-dire, qui n'est pas de cette création ;
24
Car Christ n'est pas entré dans un sanctuaire fait de main d'homme, en imitation du véritable, mais il est entré dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu.
10
Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l'architecte et le constructeur.
4
pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux,
13
Et je regarde comme un devoir, aussi longtemps que je suis dans cette tente, de vous tenir en éveil par des avertissements,
14
car je sais que je la quitterai subitement, ainsi que notre Seigneur Jésus Christ me l'a fait connaître.
11
Puisque donc toutes ces choses doivent se dissoudre, quelles ne doivent pas être la sainteté de votre conduite et votre piété,
2
Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est.
14
Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n'aime pas demeure dans la mort.
19
Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos coeurs devant lui ;
19
Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin.
20
Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus Christ.
1 à 10 Pourquoi nous avons toujours confiance.
Par cette particule, l'apôtre lie intimement les pensées qui suivent à celles qui précèdent. Il a parlé (2Corinthiens 4.17,18) de la gloire éternelle vers laquelle le croyant s'avance au travers de ses combats et de ses douleurs, "regardant non aux choses visibles, qui ne sont que pour un temps, mais aux invisibles, qui sont éternelles."
Maintenant, pour faire ressortir mieux encore l'immense consolation d'une telle espérance, Paul proclame la certitude de la résurrection et de la vie éternelle ; bien plus, il rappelle que souvent le chrétien soupire après cette pleine délivrance. (versets 1-4)
Voici la traduction littérale de ce verset : "Car nous savons que si notre maison terrestre de cette tente est délice (ou se dissout), nous avons de la part de Dieu une demeure, une maison qui n'est pas faite par la main (des hommes), éternelle, dans les cieux."
- Ce corps mortel (versets 6,8) est donc comparé à la tente du voyageur dans le désert ; la tente est déliée au signal du départ. (Comparer 2Pierre 1.13,14)
Qu'est-ce que l'apôtre oppose à cette fragile demeure ? Le corps glorifié, mais encore sous une image : la tente du désert, qui abrita les Israélites dans leur voyage, rappelle à Paul une autre tente, le tabernacle, demeure de Dieu, où il manifestait sa présence et sa gloire ; or, c'est l'antitype de ce sanctuaire, c'est la demeure réelle de Dieu, maison que la main des hommes n'a pas construite, (Hébreux 9.24) éternelle, dans les cieux, c'est cette demeure permanente, glorieuse, que l'apôtre oppose à notre tente actuelle, sans en préciser davantage la nature. Les versets suivants, dans lesquels il maintient constamment les mêmes images, rendent sa pensée toujours plus claire.
- Ce qui fait l'ineffable consolation du chrétien, dans ses épreuves et à l'heure de la mort, ce n'est pas seulement le contraste de ces deux demeures, l'une terrestre et misérable, l'autre céleste et glorieuse ; mais encore la certitude d'être bientôt revêtu de cette dernière. Nous savons, dit Paul, et encore, nous avons, dès maintenant, par notre foi.
Cette science n'émane pas de l'esprit humain, mais de la révélation du Saint-Esprit ; elle n'est donc le partage que des fidèles. Les païens aussi ont eu l'idée d'une immortalité de l'âme ; mais aucun d'eux n'en a eu la certitude, aucun n'a pu en parler comme d'une chose connue. Les croyants seuls peuvent tenir ce langage, parce qu'ils ont pour eux le témoignage de la Parole et de l'Esprit de Dieu.
L'espérance et le désir de l'apôtre de jouir de la gloire céleste. (2 Corinthiens 5:1-8)
Le croyant, par la foi, ne dispose pas seulement de l’assurance d'une vie ultérieure, céleste, quand celle d’ici-bas sera terminée, mais il s’appuie sur la solide espérance, par la Grâce, de voir le ciel ; cette vision spirituelle dévoile une « demeure », un endroit de repos, un « lieu caché » pour l’instant.Cette espérance l'incitait à être assidu, dans son zèle pour soutenir les Corinthiens. (2 Corinthiens 5:9-15)
La nécessité de la régénération et de la réconciliation avec Dieu, par le biais de Christ. (2 Corinthiens 5:16-21)
Dans la maison de notre Père se trouvent beaucoup de demeures, dont l'Architecte et le Bâtisseur sont Dieu lui-même. Une félicité future est préparée par Dieu à l’intention de ceux qui l’aiment : ces derniers demeureront dans des habitations éternelles, n’ayant aucune ressemblance avec celles d’ici bas, qui ne sont que de pauvres « maisons d'argile », dans lesquelles notre âme demeure ; toutes les habitations de ce monde ne sont bâties que sur des fondations de poussière...
Le corps de chair est un lourd fardeau, les calamités de la vie représentent une lourde charge. Les croyants gémissent, leur existence étant accablée par le péché et par les nombreuses corruptions qui se manifestent encore en eux.
La mort nous « dévêtira » de notre « vêtement de chair » : de tous les plaisirs de la vie, comme de nos problèmes ici bas. Les âmes croyantes seront revêtues de « vêtements d'éloge », parées de « robes de droiture et de gloire ». Les grâces présentes et les réconforts de l'Esprit ne sont que les prémices de la Grâce éternelle et de la félicité. La présence de Dieu, ici bas, avec nous, par l’Esprit et Ses ordonnances, n’est comparable en aucune mesure avec ce que nous connaîtrons dans les lieux célestes !
La foi nous anime ici-bas, dans les lieux célestes, ce sera la vue ! Il est de notre devoir, et de notre intérêt, de marcher par la foi, jusqu'à ce que nous vivions par la vue. Cette vérité montre clairement le bonheur qu’il y a, de se savoir aimés par les âmes des croyants qui se trouvent déjà en compagnie de la glorieuse présence du Seigneur.
Nous sommes rattachés, intégrés au « corps » du Seigneur. Avec quelle puissance le Seigneur cherche à avoir l'âme des croyants intimement unie à Lui-même : « tu es une des âmes que J'ai aimées et choisies ; une de celles qui me sont données » !
La mort n’est-elle pas un véritable sujet de crainte, pour celui dont l’existence sera loin de toute présence du Seigneur ?