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2 Corinthiens 9.6

Τοῦτο δέ, ὁ σπείρων φειδομένως φειδομένως καὶ θερίσει, καὶ ὁ σπείρων ἐπ’ εὐλογίαις ἐπ’ εὐλογίαις καὶ θερίσει.
Rappelez-vous : Semence parcimonieuse, maigre récolte. Semence généreuse, moisson abondante.
Or je dis ceci : Celui qui sème chichement moissonnera aussi chichement, et celui qui sème libéralement moissonnera aussi libéralement.
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    • Psaumes 41

      1

      Dieu prend soin de son peuple. (Psaumes 41:1-4)
      La traîtrise des ennemis de David. (Psaumes 41:5-13)

      Le peuple de Dieu n'est pas à l'abri de la pauvreté, de la maladie ou de toute autre affliction ; le Seigneur considère toujours les différents cas et envoie la juste délivrance. À partir de l'exemple de son Seigneur, le croyant apprend à considérer son frère, lorsqu'il se trouve dans un état de pauvreté et d'affliction. Cette forme de piété est souvent récompensée par de réelles bénédictions. Mais rien n'est plus affligeant pour le croyant contrit, que d'avoir la crainte d'un sentiment de désapprobation divine ou celui de péché dans son propre cœur. Le péché est la maladie du cœur ; la miséricorde la guérit, la grâce vivifiante également et vis-à-vis de cette maladie spirituelle nous devrions être plus combatifs que nous ne le sommes comme pour la santé du corps.

      Proverbes 11

      Proverbes 19

      Proverbes 22

      Ecclésiaste 11

      1

      Exhortation à la libéralité. (Ecclésiaste 11:1-6)
      Avertissement : se préparer à affronter la mort ; Exhortation aux jeunes : songer à la piété. (Ecclésiaste 11:7-10)

      Salomon invite les riches à aider leur entourage. Il faut user de libéralité, même si cela peut nous sembler être du gaspillage et une perte. N’hésitons pas à donner abondamment !

      Ne regrette pas le bien que tu as fait, ne te dérobe pas devant celui à qui tu peux encore procurer des bienfaits : ce ne sera pas vain !

      Il est bon de s’attendre à subir l’épreuve et vivre dans la peine ; la sagesse consiste à procurer le bien, quand nous sommes dans une période propice. Les richesses ne sont d’aucune utilité si nous n’en faisons pas profiter notre entourage. Chacun doit chercher à être une bénédiction, là où la Providence l'a placé.

      Où que nous puissions être, nous pouvons toujours trouver une bonne œuvre à accomplir, si du moins, nous avons le cœur de le faire. Si nous amplifions la moindre difficulté, si nous nous créons des problèmes imaginaires, nous n'avancerons jamais dans notre tâche.

      Les aléas de l’épreuve sont dans les mains de Dieu ; elles sont destinées à nous façonner. Dieu accomplit tout ce qu’Il a promis de faire, quels que soient nos sentiments à ce sujet. Nous pouvons placer notre confiance en Dieu : Il nous donne tout ce dont nous avons besoin, quels que soient nos soucis, voire notre anxiété.

      Ne nous lassons pas de bien faire, car au moment favorable, au temps que Dieu, a prévu, nous en récolterons le résultat, Ga 6:9.

      Luc 6

      Luc 19

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 7

      1 Corinthiens 15

      20 Tous ceux, qui par la foi, sont unis à Christ, sont assurés par Sa résurrection, de l’authenticité de la leur. Comme par le péché du « premier Adam », tous les hommes devinrent « mortels », ayant tous reçu de lui la même nature coupable, au travers de la résurrection de Christ, tous ceux qui sont rendus « participants de l'Esprit », et de la nature spirituelle, ressusciteront, et vivront éternellement !

      Il y a un ordre dans le déroulement des différentes résurrections : Christ Lui-même en a été « les prémices » ; lors de Sa venue, Son peuple racheté sera élevé avant les autres ; à la fin, les méchants seront aussi enlevés. Puis viendra la fin de la présente dispensation.

      Si nous voulons triompher lors de ce moment solennel et si important, nous devons maintenant nous soumettre à l’ordonnance de Christ : accepter Son salut, et vivre à Sa gloire. Nous nous réjouirons alors, dans l'achèvement de Son œuvre, pour que Dieu puisse recevoir la gloire entière de notre salut, afin que nous puissions le servir à jamais et jouir de Sa faveur.

      Que feront ceux qui sont « baptisés pour les morts », si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Le baptême est peut-être utilisé ici à titre d’allégorie, pour les afflictions, les souffrances, et le martyr, comme dans Matthieu 20:22,23 ?

      Qu'en est-il, ou qu'adviendra-t-il de ceux qui ont subi de grandes et nombreuses blessures, et qui ont même perdu leur vie pour cette doctrine de la résurrection, si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Quelle qu’en soit la signification, il ne fait aucun doute que le raisonnement de l'apôtre a été compris par les Corinthiens.

      Il est aussi clair pour nous, que le christianisme serait une folie, s'il ne nous proposait aucune espérance pour l’au-delà, particulièrement au temps des persécutions et des épreuves des premiers chrétiens, et souvent plus tard.

      Il est évident que la chrétienté serait une folie, si les chrétiens pouvaient tirer des avantages qui soient proportionnels à leur fidélité à Dieu, ou comme fruit de la sainteté, la vie éternelle...

      Nous ne devons pas vivre comme les animaux : nous connaîtrons une autre existence, dans l’au delà. Le fait d'être conduit à refuser de croire à la résurrection et à la vie future, ne peut être qu'une ignorance de l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Ceux qui « cheminent » avec Dieu et Sa Providence, observant toutes les inégalités de la vie présente, et la dépravation des hommes, même ceux qui, parfois, sont les mieux considérés, ne peuvent douter d'une vie future, où chaque élément sera remis à sa juste place.

      Ne nous joignons pas aux impies ; mettons en garde ceux qui nous entourent, en particulier les jeunes, conseillons leurs fermement de les fuir comme la peste. Aspirons à la justice et non au péché...

      2 Corinthiens 9

      6 L'argent donné au titre de la charité peut paraître gaspillé, au vu de l'esprit charnel ; mais quand il est donné à des fins utiles, il est pour ainsi dire, une « graine semée », de laquelle on attend une croissance précieuse. Cependant, cet argent doit être donné avec circonspection.

      Les dons de charité, comme tous ceux qui concernent les bonnes causes, doivent être effectués après réflexion. L’esprit dans lequel nous donnons, suivant les circonstances, ainsi que ceux que nous sommes sur le point de soulager par notre don, doivent diriger notre attitude. Cette aide devrait être donnée selon nos possibilités, sans contrainte, avec joie.

      Alors que certains donnent en toute libéralité, tout en connaissant une croissance remarquable, d'autres retiennent plus que leur nécessaire et tendent vers la pauvreté. Si nous avions davantage de foi et d'amour, nous gaspillerions moins pour nous-mêmes, et « sèmerions » plus pour les autres, dans l'espoir d'une croissance abondante !

      Un homme peut-il être « perdant » en cherchant à satisfaire la volonté divine ? Le Seigneur est capable de faire abonder Sa Grâce envers nous, Il sait faire croître notre spiritualité. Il peut nous satisfaire en tous points et nous donner tout contentement quant à ce que nous possédons.

      Dieu n’accorde pas Ses largesses seulement pour nous-mêmes, mais également, quand nous œuvrons pour les autres : il s’agit là, en quelque sorte d’un témoignage à répandre.

      Nous devons vraiment montrer notre obéissance à l'Évangile, par le biais de notre charité. Ce sera le « crédit » de notre profession de foi et un éloge à la Gloire de Dieu. Essayons de suivre l'exemple de Christ : inlassable dans la pratique du bien, sachant qu'il y a davantage de bénédictions à donner qu’à recevoir !

      Béni soit Dieu pour le don inexprimable de sa Grâce, par lequel Il conseille à Ses fidèles serviteurs de donner aux autres, afin d’inciter ces derniers à la reconnaissance ! Béni soit Son Nom glorieux, en toute éternité, pour Son Fils, Jésus-Christ, le don inestimable de Son Amour, au travers duquel tout ce qui est afférent à la vie et à la piété, nous est donné librement, au-delà de toute expression, mesure, ou contrainte !

      Galates 3

      Galates 5

      16 Si nous prenons bien soin d'agir sous l’égide et la puissance de l'Esprit, bien que nous ne puissions pas être complètement libérés des diverses tentations et risques de corruption dus à notre nature corrompue, ces derniers ne pourront pas prévaloir sur nous.

      Les croyants sont engagés dans un véritable « conflit » : ils désirent vraiment que la Grâce puisse les conduire vers une victoire totale et rapide. Ceux qui désirent être véritablement conduits par le Saint-Esprit, ne sont plus sous le régime de la loi, avec les ordonnances qu’elle réclame, ni exposés à sa terrible malédiction. Leur haine du péché, et leurs désirs de sainteté, montrent qu'ils ont une part dans le salut offert par l'Évangile.

      Les œuvres de la chair sont nombreuses et manifestes. Les péchés qu’elles comportent ferment les « portes du ciel » aux hommes. Cependant, combien voit-on de personnes qui professent être chrétiennes, annonçant leur espérance pour le ciel, tout en vivant dans le péché !

      Le « fruit de l'Esprit », ou de la nature renouvelée que nous revêtons, est nommé dans ce texte. Comme l'apôtre avait nommé préalablement les œuvres de la chair, non seulement nuisibles à ceux qui les pratiquent, mais aussi pour leur entourage, de la même façon, dans ce texte, il remarque principalement le fruit de l'Esprit, qui tend à rendre les chrétiens heureux, à titre personnel, mais aussi sur le plan fraternel.

      Le fruit de l'Esprit montre clairement que de tels chrétiens sont menés par le Saint-Esprit. En décrivant les œuvres de la chair et le fruit de l'Esprit, il nous est enseigné ce que nous devons éviter, ce à quoi nous devons nous opposer, et ce que nous devons chérir et « cultiver » ; ce type de conduite doit être effectué avec un cœur sincère, conformément aux principes de la véritable vie chrétienne : le péché ne règne plus désormais dans notre corps mortel, nous ne devons plus lui céder quoi que ce soit, Romains 6:12, mais chercher à l’endiguer.

      Christ ne « possédera » jamais ceux qui veulent rester des « serviteurs » du péché. Il n'est pas suffisant que nous cessions de pratiquer le mal, nous devons aussi apprendre à faire le bien. La nature de nos conversations témoignera toujours des principes spirituels qui nous animent et nous gouvernent, Romains 8:5. Nous devons chercher sérieusement à mortifier les vaines actions de notre corps mortel, pour marcher en nouveauté de vie. Non pas en étant désireux des honneurs et de la gloire de ce monde, mais en n’excitant aucune provocation ni jalousie, et en cherchant à donner abondamment les bons fruits qui proviennent de la vie « en » Jésus-Christ, à la louange et à la gloire de Dieu !

      Galates 6

      Ephésiens 4

      17 L'apôtre exhorte les chrétiens d’Éphèse, au Nom et par l'autorité du Seigneur, à ne pas continuer à vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous côtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au péché ne possèdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les ténèbres, les préférant à la lumière. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne représente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette sainteté est aussi la ressemblance à Dieu Lui-même, dans Sa pureté, Sa justice, Sa vérité et Sa bonté.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composée de divers éléments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les désirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misérable ; ils conduisent à la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiés. Ces mauvais penchants doivent être abandonnés, tels de vieux vêtements souillés ; ils doivent être éradiqués.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons également posséder les principes de la Grâce. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle créature », dirigée par un nouveau principe : la Grâce qui régénère, incitant le racheté à mener une nouvelle vie, de justice et de sainteté. Toute cette « marche spirituelle » est générée par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

      Colossiens 2

      Hébreux 6

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