5
Ne m'a-t-il pas dit quâelle Ă©tait sa sĆur et elle-mĂȘme n'a-t-elle pas dit quâil Ă©tait son frĂšre ? Câest avec un cĆur intĂšgre et des mains innocentes que jâai agi. »
13
DÚs que vous serez entrés dans la ville, vous pourrez le trouver avant qu'il ne monte au haut lieu pour manger. En effet, le peuple ne mangera pas avant son arrivée, parce qu'il doit bénir le sacrifice ; aprÚs cela seulement, les invités mangeront. Montez donc, car vous le trouverez maintenant. »
3
Tu inviteras IsaĂŻ au sacrifice. Je te prĂ©ciserai ce que tu dois faire et tu dĂ©signeras par onction pour moi celui que je tâindiquerai. »
4
Samuel fit ce que l'Eternel avait dit et se rendit à Bethléhem. Les anciens de la ville accoururent effrayés à sa rencontre et demandÚrent : « Ton arrivée annonce-t-elle quelque chose d'heureux ? »
5
Il répondit : « Oui, je viens pour offrir un sacrifice à l'Eternel. Consacrez-vous et venez avec moi au sacrifice. » Il fit aussi consacrer Isaï et ses fils et les invita au sacrifice.
15
Est-ce aujourd'hui que j'ai commencé à consulter Dieu pour lui ? Certainement pas ! Que le roi ne fasse pas reposer de responsabilité sur moi ni sur qui que ce soit dans ma famille, car moi, ton serviteur, je ne sais absolument rien de cette affaire. »
11
et 200 hommes de Jérusalem qui avaient été invités accompagnÚrent Absalom. Ils le firent en toute innocence, sans rien savoir.
15
Celui qui manque dâexpĂ©rience croit tout ce qu'on dit, mais l'homme avisĂ© est attentif Ă ses pas.
3
L'homme prudent voit le mal et se met Ă lâabri, mais ceux qui manquent dâexpĂ©rience vont de lâavant et en subissent les consĂ©quences.
16
» Voici que je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents et purs comme les colombes.
18
car de tels hommes ne servent pas Christ notre Seigneur, mais leur propre ventre. Par des paroles douces et flatteuses, ils trompent le cĆur des gens simples.
19
Quant à vous, votre obéissance est connue de tous. Je me réjouis donc à votre sujet et je désire que vous soyez sages en ce qui concerne le bien et sans compromis en ce qui concerne le mal.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Fuyons. On est surpris de la pusillanimitĂ© de David, qui avait autrefois montrĂ© une si grande Ă©nergie. Mais ce n'Ă©tait pas seulement la puissance chaque jour croissante du parti d'Absalom, ou la dĂ©fiance que lui inspirait l'attitude de la population de JĂ©rusalem, qui brisait en lui toute force de rĂ©sistance ; c'Ă©tait le dĂ©sir d'Ă©viter Ă JĂ©rusalem les horreurs d'un siĂšge, et surtout le sentiment qu'il y avait ici un chĂątiment de Dieu qu'il devait accepter. En mĂȘme temps il lui restait l'espoir que cette dispensation humiliante aurait un terme et qu'il serait rĂ©tabli aprĂšs que Dieu aurait accompli ses desseins. On voit percer cet espoir dans le don qu'il fait Ă Tsiba des propriĂ©tĂ©s de son maĂźtre (16.4), don qui ne pouvait avoir de valeur qu'autant qu'il aurait lui-mĂȘme recouvrĂ© le pouvoir.
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