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Apocalypse 1.5

Et de la part de Jésus-Christ, qui est le témoin fidèle, le premier-né d'entre les morts, et le Prince des Rois de la terre.

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      Psaumes 89

      Proverbes 8

      Esaïe 55

      Daniel 2

      Daniel 7

      Zacharie 13

      1

      La « Source » de la rémission des péchés, La condamnation des faux prophètes. (Zacharie 13:1-6)
      La mort de Christ, et le salut du reste du peuple juif. (\\7-9\\)

      Au temps mentionné à la fin du chapitre précédent, nous voyons une « Source » qui allait être mise à disposition du peuple juif et de ses dirigeants : tous pourront ainsi expier leurs péchés, par le sang de Christ et rester unis par Sa Grâce sanctificatrice.

      Cette « Source » était jusqu’à présent fermée à la nation impie d'Israël ; mais l'Esprit de Dieu va humilier et attendrir le cœur de chacun, pour y pénétrer.

      Cette « Source » ouverte est une image du côté percé de Christ. Nous sommes tous impurs par nature : contemplons et approchons-nous de cette « Source » disponible, afin d’y laver nos péchés ! Le sang de Christ et la Miséricorde divine représentent la « Nouvelle Alliance, » cette « Source » intarissable. Elle est disponible à tous les croyants, pour tous ceux qui ont reçu spirituellement Christ en leur cœur, qu’ils fassent partie de la « Maison de David » ou de l’église !

      Christ, par le pouvoir de Sa Grâce, empêche le péché de nous dominer, même ceux à qui nous avons souvent tendance à céder. Ceux qui sont purifiés par cette « Source » spirituelle, sont également justifiés et sanctifiés. Les âmes sont ainsi arrachées au pouvoir du monde et de la chair, afin qu'elles ne restent fidèles qu’à Dieu.

      Ce texte annonce également le changement profond qui aura lieu, lors de la conversion d'Israël à Christ. Les faux prophètes seront alors convaincus de leur péché et de leur folie ; ils retourneront à leur véritable vocation.

      Lorsque nous sommes convaincus de nous être écartés du « chemin du devoir », nous devons témoigner de notre repentance et retourner dans le droit chemin. Il est bon de manifester notre reconnaissance envers ceux qui nous ont « repris » sévèrement, dans le but de nous faire constater nos erreurs ; « les blessures faites par un ami sont dignes de confiance, » Proverbes 27:6. Il est toujours bon de nous souvenir des blessures de notre Sauveur, de Celui qui a été meurtri par les Siens, et même trahi par Ses disciples, lorsqu’ils se sont éloignés de Sa Parole...

      Matthieu 28

      Jean 3

      Jean 8

      Jean 13

      1

      Christ lave les pieds des disciples. (Jean 13:1-17)
      La trahison de Judas est prédite. (Jean 13:18-30)
      Christ commande à Ses disciples de « s'aimer les uns les autres ». (Jean 13:31-38)

      Notre Seigneur Jésus « possède » Son peuple ici-bas ; Il a racheté les Siens, Il a payé cher et Il les a mis à part, pour Lui-même ; Ses enfants se consacrent à Lui, constituant ainsi un peuple à part.

      Ceux que Christ a choisi, Il les aime « jusqu'à la fin », jusqu’au bout, (verset Jean 13:1*). Rien ne peut séparer un véritable croyant de l'amour de Christ. Nous ne savons pas quand notre heure sonnera, veillons donc constamment à nous préparer pour cet instant solennel. Nous ne pouvons pas dire par quelles voies le diable s’attaque au cœur de l’homme. Au vu de certains péchés et de la tentation tellement insidieuse qui conduisent à la déchéance, le monde et la chair, il est clair que tous ces maux viennent directement de Satan.

      Jésus lava les pieds de Ses disciples, afin de nous apprendre à estimer qu’aucun acte ne peut nous abaisser, quand nous cherchons à promouvoir la Gloire de Dieu et le bien de nos frères. Nous devons nous appliquer dans l’exercice de notre devoir, et nous devons mettre de côté tout ce qui pourrait nous entraver dans ce sens.

      Christ a lavé les pieds de ses disciples afin de leur signifier toute la valeur de la purification spirituelle de l'âme, polluée par le péché. Notre Seigneur Jésus accomplit de nombreuses actions dont certaines ne furent pas comprises immédiatement par Ses propres disciples ; ils allaient les comprendre plus tard...

      Ce texte témoigne de la tendresse qui émane de cette scène, qui pouvait paraître pour le moins insolite, (Jésus lavant les pieds de Ses disciples). Quand on rejette l’offre de l'évangile, sous prétexte qu’il est trop parfait pour nous, ou que cette bonne nouvelle ne soit pas entièrement véridique, on ne fait pas preuve d'humilité, mais d'incrédulité.

      Uniquement ceux qui sont spirituellement lavés par Christ, ont une part avec Lui. Ceux qui Lui appartiennent et qu'Il sauve, sont alors justifiés et sanctifiés. Pierre a fait plus que de se soumettre : il demanda à être lavé par Christ. L’apôtre désirait bénéficier pleinement de la Grâce purificatrice du Seigneur Jésus : il Lui demanda de lui laver non seulement les pieds, mais aussi les mains et la tête !

      Ceux qui désirent vraiment être sanctifiés, désirent l'être totalement, pour que leur être entier soit rendu pur. Quand le véritable croyant reçoit Christ en tant que Sauveur, il est lavé de ses péchés. Il faut remarquer quel soin journalier doivent observer ceux qui sont justifiés par le moyen de la Grâce : ils doivent « laver spirituellement » leurs pieds, se purifier de leur culpabilité journalière et de toute souillure. Cette pensée devrait nous rendre plus prudents !

      Le fait d’avoir été pardonné par le Seigneur devrait nous fortifier dans notre lutte contre la tentation journalière. Quand on rencontre des hypocrites, cela ne doit pas nous surprendre ni nous faire chuter spirituellement.

      Observons la leçon que Christ nous enseigne dans ce texte ; nos devoirs sont mutuels : nous devons à la fois accepter l'aide de nos frères comme aussi leur offrir la nôtre. Quand nous voyons avec quelle humilité notre Maître traita Ses disciples, nous ne pouvons que fuir toute attitude personnelle arrogante. Malgré la conduite hostile de Ses ennemis, notre Seigneur fit preuve du même Amour, quand on Le voit traiter ainsi Ses disciples et quand Il s'offrit en rançon sur la croix. Cet Amour toujours présent !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 15

      9 Ceux que Dieu aime, en tant que Père, sont capables de mépriser la haine du monde entier. Comme le Père a aimé Christ, Celui qui était le plus digne de cet Amour, Son Fils a aimé de la même façon Ses disciples, qui eux, en étaient pourtant indignes...

      Tous ceux qui aiment le Sauveur doivent persévérer dans leur amour pour Lui, et saisir toute occasion pour l’exprimer. La joie de l'hypocrite est éphémère, mais celle des enfants de Dieu, qui demeurent dans l'amour de Christ, est une fête continuelle. Ils doivent Lui témoigner leur amour en gardant Ses commandements. Si la même puissance qui a répandu, à l’origine, l'amour de Christ dans notre cœur, ne nous avait pas gardés en Lui, nous ne serions pas restés longtemps en Sa présence. L’Amour de Christ doit nous inciter à nous aimer les uns les autres, et cet amour sous-entend de nombreux devoirs spirituels.

      Jean 18

      Actes 20

      28 Si le Saint-Esprit a établi des serviteurs de Dieu, en tant que surveillants et bergers du troupeau (l’assemblée), ils doivent servir le Seigneur en toute confiance. De leur côté, ces ministres de l’Évangile doivent bien considérer à quel point leur Maître s’est soucié de bien constituer ce troupeau, qui est maintenant à leur charge. Christ a construit l'église avec Son propre sang. Bien qu’ayant revêtu l’apparence humaine, Il a, par ce sang, scellé de manière intime, l'union entre les deux natures : la corruptible et la divine ; c’était en fait véritablement le sang de Dieu car il provenait de Celui qui est Dieu Lui-même ! Cet état de fait a revêtu Christ d’une dignité et d’une valeur permettant de payer la rançon pour les iniquités des croyants, tout en les conduisant sur le chemin de la sanctification.

      Paul rappelle aux anciens d’Éphèse, toute l’affection et toute l’inquiétude qu’il ressentait pour eux. En fait, ils étaient soucieux pour leur avenir spirituel. L’apôtre les invite ensuite à lever les yeux vers Dieu, avec foi, il les recommande à la Parole de Sa Grâce, qui allait être, non seulement le fondement de leur espérance et la source de leur joie, mais aussi leur règle de conduite.

      Les chrétiens les plus avancés spirituellement sont vraiment capables de progresser, en se basant sur la Parole et la Grâce. Ceux qui ne se sont pas repentis de leurs fautes et ne sont donc pas sanctifiés par le Seigneur, ne peuvent être les bienvenus devant le Dieu trois fois Saint, et ne peuvent pas bénéficier des avantages célestes, à l’inverse de tous ceux qui sont nés de nouveau, et sur qui l'Image de Dieu est renouvelée, par Son pouvoir tout-puissant et par la Vérité éternelle.

      Paul recommande aux frères qu’il allait quitter, de ne pas rechercher à tout prix les attraits de ce monde ; ils devaient savoir compter sur l'aide du Seigneur pour les conduire ici-bas. En annonçant qu’il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir, l’apôtre voulait montrer que même sous une apparente difficulté de mise en pratique, cette vérité, annoncée par le Maître, était vraiment actuelle : ces paroles allaient souvent être appliquées par les disciples.

      L'opinion des « enfants de ce monde » est contraire à l’enseignement de ce dernier texte : ils ne cherchent pas à donner, sauf s'ils comptent obtenir du profit en retour ; seul l’appât du gain les motive. Christ nous annonce le bonheur qui résulte du don de soi, un bonheur excellent ! Cette attitude nous rapproche de l’image divine : Dieu donne à tous et n’a besoin de personne ; le Seigneur Jésus, est venu ici-bas pour faire le bien. Puisse cet état d’esprit, qui était en Lui, demeurer en nous également !

      Lorsque des amis se séparent, il est bon qu’ils prient ensemble. Ceux qui s'exhortent de la sorte et qui prient les uns pour les autres, peuvent connaître des moments de tristesse, mais ils doivent se réconforter par l’assurance qu’ils se rencontreront un jour devant le trône divin, pour ne plus jamais se quitter ! Quelle consolation pour ces disciples, de savoir que Christ allait d’une part accompagner Paul, tout en restant avec eux !

      Actes 26

      Romains 8

      1 Corinthiens 6

      1 Corinthiens 15

      20 Tous ceux, qui par la foi, sont unis à Christ, sont assurés par Sa résurrection, de l’authenticité de la leur. Comme par le péché du « premier Adam », tous les hommes devinrent « mortels », ayant tous reçu de lui la même nature coupable, au travers de la résurrection de Christ, tous ceux qui sont rendus « participants de l'Esprit », et de la nature spirituelle, ressusciteront, et vivront éternellement !

      Il y a un ordre dans le déroulement des différentes résurrections : Christ Lui-même en a été « les prémices » ; lors de Sa venue, Son peuple racheté sera élevé avant les autres ; à la fin, les méchants seront aussi enlevés. Puis viendra la fin de la présente dispensation.

      Si nous voulons triompher lors de ce moment solennel et si important, nous devons maintenant nous soumettre à l’ordonnance de Christ : accepter Son salut, et vivre à Sa gloire. Nous nous réjouirons alors, dans l'achèvement de Son œuvre, pour que Dieu puisse recevoir la gloire entière de notre salut, afin que nous puissions le servir à jamais et jouir de Sa faveur.

      Que feront ceux qui sont « baptisés pour les morts », si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Le baptême est peut-être utilisé ici à titre d’allégorie, pour les afflictions, les souffrances, et le martyr, comme dans Matthieu 20:22,23 ?

      Qu'en est-il, ou qu'adviendra-t-il de ceux qui ont subi de grandes et nombreuses blessures, et qui ont même perdu leur vie pour cette doctrine de la résurrection, si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Quelle qu’en soit la signification, il ne fait aucun doute que le raisonnement de l'apôtre a été compris par les Corinthiens.

      Il est aussi clair pour nous, que le christianisme serait une folie, s'il ne nous proposait aucune espérance pour l’au-delà, particulièrement au temps des persécutions et des épreuves des premiers chrétiens, et souvent plus tard.

      Il est évident que la chrétienté serait une folie, si les chrétiens pouvaient tirer des avantages qui soient proportionnels à leur fidélité à Dieu, ou comme fruit de la sainteté, la vie éternelle...

      Nous ne devons pas vivre comme les animaux : nous connaîtrons une autre existence, dans l’au delà. Le fait d'être conduit à refuser de croire à la résurrection et à la vie future, ne peut être qu'une ignorance de l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Ceux qui « cheminent » avec Dieu et Sa Providence, observant toutes les inégalités de la vie présente, et la dépravation des hommes, même ceux qui, parfois, sont les mieux considérés, ne peuvent douter d'une vie future, où chaque élément sera remis à sa juste place.

      Ne nous joignons pas aux impies ; mettons en garde ceux qui nous entourent, en particulier les jeunes, conseillons leurs fermement de les fuir comme la peste. Aspirons à la justice et non au péché...

      Galates 2

      20 L'apôtre décrit dans ce texte la vie spirituelle (ou cachée) d'un croyant. Le « vieil homme » est crucifié, Romains 6:6, alors que le « nouvel homme » est vivant ; le péché est mortifié et la Grâce est vivifiée.

      Paul dispose du réconfort et de la puissance victorieuse de la Grâce ; cette Grâce n'émane pas de sa personne, mais d’une autre source : Christ !

      Les croyants sont pleinement conscients de vivre dans un état de dépendance envers Christ. Ceci provient de ce que, bien qu’ils soient charnels, ils ne vivent pas cependant DE la chair. Ceux qui possèdent une véritable foi, vivent selon celle-ci, celle qui est attachée à Christ, Celui qui s'est donné Lui-même en rançon pour nous. Il m'a aimé, et s'est donné Lui-même pour moi. C'est un peu comme si l'apôtre s’exprimait ainsi : « Le Seigneur m'a vu m'éloigner de Lui de plus en plus. J’étais animé d’une telle méchanceté et d’une telle ignorance spirituelle, que j’étais convaincu qu'il était impossible que je puisse être sauvé, même par une rançon d’une très grande valeur ».

      Considérons bien le prix d’un tel salut ! Remarquons au passage la piètre foi de beaucoup de personnes ; on peut en voir, par leur témoignage, les tristes conséquences : elles ont la forme de la piété sans en avoir la puissance... Elles estiment être dans la Vérité, spirituellement, alors qu’elles sont en fait complètement dans l’erreur.

      Pour croire en Christ, il n'est pas suffisant de penser qu'Il a été crucifié, mais je dois croire également que je le suis AVEC Lui. C'est cela « connaître Christ crucifié ». De là, nous apprenons ce qu'est la nature de la Grâce. La Grâce de Dieu, ne peut dépendre du mérite de l'homme. Elle n’existe plus, en tant que telle, si Elle n'est pas donnée librement, dans tous les cas.

      Plus le croyant compte en toute simplicité sur Christ, pour chaque détail de sa vie, plus il marche en Sa compagnie avec dévotion, dans toutes Ses ordonnances et selon Ses commandements. Christ vit et règne alors en son âme : le racheté vit ici-bas, par la foi dans le Fils de Dieu, Celui qui agit par amour, crée l'obéissance et opère les changements en son âme, selon sa sainte image. Ainsi, la Grâce de Dieu prend toute sa valeur, elle n'est pas rendue vaine !

      Ephésiens 1

      Ephésiens 2

      Ephésiens 5

      Colossiens 1

      1 Timothée 6

      Hébreux 9

      1 Pierre 1

      1 Jean 1

      1 Jean 4

      1 Jean 5

      9 Aucune attitude n’est plus absurde que celle de douter de la véracité du Christianisme, poussant certains, pour leur devenir ici-bas, à se fonder prioritairement sur le raisonnement humain, ne cherchant aucunement à dissuader tous ceux qui voudraient s’écarter de cette voie d’erreur.

      Le véritable chrétien reconnaît sa culpabilité, sa misère et son besoin de recourir à un Sauveur. Il discerne l'intérêt de se fier à ce Dernier pour tout ce qui concerne ses besoins spirituels, en toutes circonstances. L’enfant de Dieu trouve et ressent la puissance de la Parole et de la doctrine de Christ, humiliant, guérissant, ranimant, et réconfortant son âme. Il acquiert une nouvelle disposition d’esprit, de nouvelles joies, il n'est plus l'homme qu'il était auparavant.

      Le croyant reste cependant encore en conflit avec lui-même, avec le péché, la chair, le monde, et les pouvoirs maléfiques, mais il trouve en Christ, une telle force de foi, qu'il peut vaincre le monde, et se diriger spirituellement vers le ciel. Telle est la promesse pour celui qui croit en l'Évangile : il a cette force spirituelle en lui-même, qui éloigne de son âme toute trace de doute, même s’il traverse parfois des heures de ténèbres ou de conflit ; on ne peut pas le déstabiliser sur l’authenticité de sa foi, ni sur les principales vérités de l'Évangile.

      Le péché d’incrédulité est vraiment terrible : il désigne Dieu menteur, car il pousse à ne pas croire à ce qu'Il annonce, au sujet de Son Fils. Il est vain pour un homme de faire croire qu'il fait confiance au témoignage du Seigneur, alors qu’en fait, il Le repousse... Celui qui refuse de se fier à Christ et de l'honorer, en tant que Fils de Dieu, méprise la souveraineté de notre Sauveur : il refuse alors de se soumettre à Son enseignement, de compter sur Son expiation et Son intercession, en tant que Souverain sacrificateur, il ne veut pas se soumettre au Roi des rois ; une telle âme est alors « morte au péché », elle demeure sous la condamnation ; toute moralité, érudition, ou autres formes de doctrine, ne lui seront alors d'aucune utilité...

      Apocalypse 1

      Apocalypse 3

      14 Laodicée était la dernière et la plus fautive des sept églises d'Asie. Dans ce texte, notre Seigneur Jésus se nomme lui-même « l'Amen », Celui qui est immuable et qui accomplit inéluctablement Ses desseins et Ses promesses. Christ attend des hommes qu'ils soient également immuables quant à leur conduite : combien de professeurs de la doctrine de l'évangile sont en effet ni froids, ni bouillants ; parfois, peut-être, restent-ils indifférents, face aux affaires importantes, et cependant, ardents et fervents dans les moindres !

      Une sévère punition est prononcée à l’encontre de cette église : ses membres donnent une fausse opinion de la chrétienté, laissant penser qu’il s’agit d’une religion profane ; par ce témoignage, certains pourraient conclure que le christianisme ne peut offrir de réelle satisfaction, sinon ses dirigeants n'auraient pas été si intransigeants, ou si prompts à rechercher le plaisir ou le bonheur dans le monde.

      L'autosuffisance est une des causes de cette tiédeur et de cette inconsistance de la religion : « parce que tu dis ». Quelle différence entre l’opinion de ces chrétiens sur eux-mêmes, et ce que pensait Christ à leur égard !

      Combien devrions-nous être prudents, afin de ne pas « abuser » notre âme ! En enfer, beaucoup de personnes pensaient être pourtant bien avancées sur le chemin du ciel... Implorons Dieu pour que nous ne puissions pas être séduits ni trompés par nous-mêmes ! Ceux qui enseignent la religion tombent facilement dans l'orgueil, devenant par là même charnels et conformistes.

      Dans cette église de Laodicée, les dirigeants étaient vraiment dans un état misérable : ils étaient pauvres, vraiment pauvres, alors qu'ils pensaient être riches ! Ils étaient incapables de discerner leur propre état, ni leur chemin, ni le danger qu’il pouvait encourir, cependant ils pensaient « voir ». Ils n'étaient pas parés de la justification, ni de la sanctification : ils étaient exposés au péché et à la honte ; leurs « haillons » les souillaient. Ils étaient pratiquement nus, sans maison ni abri, parce qu'ils étaient « sans Dieu », le Seul qui puisse donner repos et sécurité à l'âme.

      Christ donna une bonne recommandation à ces chrétiens coupables : heureux ceux qui suivent ce conseil, car tous les autres périront dans leurs péchés. Christ leur permet de savoir où se trouvent les vraies richesses, et comment ils peuvent les posséder. En fait, dans cette église, certaines valeurs, non capitales, devaient être abandonnées, afin de « faire place » aux véritables richesses : elle devait renoncer au péché et à sa confiance en elle-même, afin de pouvoir être remplie du « trésor caché » de Christ. Elle devait recevoir de ce Dernier, le vêtement blanc qu'Il avait acheté et qu'Il tenait à sa disposition, Sa propre Justice pour la justification, et Ses vêtements de sainteté pour la sanctification. L’assemblée de Laodicée devait se référer à la Parole de Dieu et à l’Esprit, afin que ses yeux puissent s’ouvrir et discerner le chemin qu’elle devait emprunter, et la fin qui lui était réservée.

      Examinons-nous nous-mêmes, selon la Parole de Dieu, et prions avec ferveur pour connaître l'enseignement du Saint-Esprit, afin que disparaissent notre fierté, nos préjugés, et nos convoitises du monde. Les pécheurs doivent prendre les réprimandes de la Parole de Dieu et Sa verge, comme les signes révélateurs de Son amour envers nos âmes.

      Christ se tient à la porte : Il frappe, par les bienfaits de Sa Providence, par les avertissements et l'enseignement de Sa Parole, et par l’influence de Son Esprit. Christ, dans Sa Grâce, se tient à la « porte » du cœur des pécheurs, par Sa Parole et Son Esprit. Ceux qui Lui ouvrent auront le bonheur de pouvoir jouir de Sa présence. Si ce qu'Il trouve chez cette âme, ne peut constituer qu'un maigre repas, ce qu'Il apporte, en revanche, sera l’objet d’un riche festin ! Le Seigneur apportera la fraîcheur de Sa Grâce et de Sa Consolation.

      Dans la conclusion de cette lettre à Laodicée, nous trouvons une promesse pour le croyant, celui qui est « vainqueur ». Christ subit Lui-même des tentations et des conflits : Il les a tous vaincus, devenant ainsi plus qu'un Conquérant ! Ceux qui sont rendus semblables à Christ, dans Ses épreuves, seront rendus semblables à Lui, en Gloire !

      Le chapitre se termine par un appel à la vigilance : ces différents conseils, convenant parfaitement aux églises auxquelles ils ont été adressés, sont très instructifs pour nous tous !

      Apocalypse 7

      Apocalypse 11

      Apocalypse 17

      Apocalypse 19

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