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Apocalypse 2.18

Écris aussi à l'ange de l'Église de THYATIRE : Voici ce que dit le Fils de Dieu, qui a les yeux comme une flamme de feu, et les pieds semblables à un cuivre très fin.
Et à l'ange de l'assemblée qui est à Thyatire, écris : Voici ce que dit le Fils de Dieu, qui a ses yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l'airain brillant :
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      Psaumes 2

      7 Le royaume du Messie est fondé par un décret éternel établi par Dieu le Père. Ceci fait directement référence à notre Seigneur Jésus ou à son gouvernement. Dieu a dit à son sujet : « Tu es mon Fils » ; partant de là, chacun de nous peut lui dire : « Tu es mon Seigneur, mon Souverain ». Le Fils, voulant recevoir les païens en héritage, désire toute leur plénitude en Lui-même ; Il plaide ainsi en leur faveur, Il se consacre en permanence à cette tâche ; Il est capable de sauver l'impie, et il y en aura, parmi les multitudes, certains qui seront réellement disposés à répondre à l'appel. Les chrétiens sont la propriété du Seigneur Jésus ; leur appellation en découle et ils prient en son nom. Dieu le Père les lui donne, lorsque, par son Esprit et par sa Grâce, Il œuvre en eux pour les amener au Seigneur Jésus.

      Matthieu 3

      Matthieu 4

      Matthieu 17

      Matthieu 27

      Luc 1

      Jean 1

      Jean 3

      18 Qu’il est grand ce péché d’incrédulité ! Celui qui a été envoyé par Dieu pour nous sauver, Christ, Lui était le plus cher ; qu’en est-il pour nous ?

      Qu’elle est grande la misère des non-croyants ! Ils sont déjà condamnés, de manière certaine. Le courroux de Dieu est dès lors sur eux, leur propre cœur les condamne. Il y a aussi une condamnation fondée sur leur culpabilité antérieure ; ils sont exposés aux rigueurs de la loi, à cause de leurs péchés, parce qu'ils n’ont pas accepté le pardon de l'Évangile.

      L'incrédulité est un péché : elle jaillit de l'inimitié du cœur de l'homme, envers Dieu, elle découle en quelque sorte, de l'amour du péché. Nous pouvons constater le sort malheureux réservé à ceux qui ne veulent pas connaître Christ. Les œuvres coupables proviennent des ténèbres. Le monde de la méchanceté se tient aussi loin qu'il peut de la Lumière céleste, de peur que ses actes soient réprouvés.

      Christ est haï à cause de l’amour du péché. Si les pécheurs n'avaient pas tant repoussé la possibilité de salut en Christ, ils ne se complairaient pas ainsi dans cette ignorance volontaire qui en fait, les condamne.

      Des leur côté, les cœurs renouvelés accueillent cette Lumière, (Christ). Un homme de bien agit toujours avec vérité et sincérité. Il désire connaître la volonté de Dieu et « dialoguer » avec ce Dernier, même si cela va à l’encontre de son propre intérêt dans le monde. Un réel changement est opéré dans la conduite et le caractère d’un tel homme. L'Amour de Dieu est répandu dans son cœur, par le Saint-Esprit ; cet Amour est devenu le principe directeur de ses actes.

      Aussi longtemps qu'une personne demeure sous le poids d'une culpabilité non pardonnée, elle ne peut avoir qu'une crainte servile de Dieu ; mais quand ses doutes sont balayés, quand elle voit le juste fondement sur lequel ce pardon est construit, elle s’appuie dessus et l’adopte : elle est alors unie à Dieu, d’un amour sincère !

      Nos œuvres sont bonnes quand la volonté de Dieu en est le fil directeur et que Sa Gloire en est le but, quand elles sont accomplies par Sa force et pour son Nom, pour Lui et non pour les hommes.

      La régénération, ou la « nouvelle naissance », est un sujet auquel le monde est très opposé ; elle est, cependant, la plus grande des actions célestes, en comparaison avec les futilités de ce monde.

      À quoi cela servirait-il, d'avoir de la nourriture en abondance et une grande variété de vêtements, sans être né de nouveau ? Quelle tristesse serait la nôtre, si après quelque temps passé dans une gaieté insensée, le plaisir charnel ou des querelles, nous finissions par mourir dans nos péchés dans le malheur éternel ? À quoi bon, d’avoir réussi dans la vie, en divers domaines, si à la fin nous entendons le Juge Suprême nous annoncer : « Retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'iniquité » Luc 13:27* ?

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 5

      Jean 10

      Actes 8

      Romains 1

      Romains 8

      32 Toutes choses, quelles qu'elles soient, dans le ciel, comme ici-bas, ne peuvent exposer la grandeur de l'Amour gratuit de Dieu, manifesté par le don de Son Fils, Celui qui a expié le péché de l'homme sur la croix ; en fait, tout dépend de notre relation spirituelle avec Lui, et de l'intérêt que nous Lui portons.« Toutes choses », concourent au bien réel du chrétien fidèle. Christ, Celui qui nous a préparé une couronne et un royaume, nous donnera ce dont nous avons besoin, dans le chemin qui y conduit.

      Les hommes se justifient vainement de toutes les accusations du ciel, relatives à leurs péchés ; mais si c'est Dieu qui justifie, cela répond à tout. Par Christ, nous sommes « en sécurité ». Par le mérite de Sa mort il a payé notre dette. Il est ensuite ressuscité. Ceci satisfait, de manière claire et évidente la Justice divine ! Nous avons un tel Ami qui est assis à la droite de Dieu ! Tout pouvoir Lui est donné et Il intercède pour nous.

      Croyant, que ton âme puisse s’exprimer ainsi : « Christ est mon Sauveur, et je Lui appartiens ! Je dois Lui plaire et vivre pour lui » ! Quand vous êtes convaincus de votre impiété, il ne faut pas vous torturer l’esprit et vous embarrasser de vaines pensées, ni de doutes infructueux, sans fin : croyez en Celui qui justifie l'impie ! Vous êtes condamnés, mais cependant, Christ est mort et ressuscité pour votre délivrance. Allez vers Lui tel que vous êtes. Dieu, ayant manifesté Son Amour, en donnant Son propre Fils pour nous, pouvons-nous penser que quelque chose puisse nous détourner ou nous éloigner de ce Dernier ? Ni trouble, ni cause quelconque ne peuvent démontrer une faiblesse de cet Amour. Quelles que soient les épreuves des croyants, ceux-ci ne peuvent être séparés de cet Amour. Personne ne peut éloigner Christ du croyant : c’est impossible ! Toutes les épreuves que ce dernier pourrait subir sont incapables de le séparer de cet Amour !

      Hélas, pauvres pécheurs, même si vous vivez dans les richesses en ce monde, combien sont-elles vaines ! Pouvez-vous leur dire : « qui pourra nous séparer » ? Vous pouvez perdre à tout instant vos somptueuses demeures, vos amis et vos propriétés. Un jour vous devrez partir, car vous devez mourir. Il faudra alors dire adieu à tout ce monde ici-bas, avec ce qu'il compte de plus précieux. Que laisseras-tu, pauvre âme qui ne possède pas Christ ? Tu renoncerais avec plaisir à la culpabilité de tes péchés, mais tu en es incapable ! Par contre, l'âme qui est en Christ, à la veille de la mort, alors qu’il faut tout quitter, s'attache à son Sauveur : la séparation d’avec les biens terrestres ne l’affecte guère !

      Oui, quand la mort survient, elle brise tous les liens ici-bas, ceux de l'âme et du corps ; elle transporte l'âme du croyant dans l'union la plus étroite avec son bien-aimé Seigneur Jésus, dans la plénitude de la joie en Lui, pour toujours !

      Apocalypse 1

      Apocalypse 2

      1

      Lettres aux églises d’Asie, comportant des avertissements et des encouragements : à l'église d'Éphèse ; (Apocalypse 2:1-7)
      à l’église de Smyrne ; (Apocalypse 2:8-11)
      à l’église de Pergame ; (Apocalypse 2:12-17)
      à l’église de Thyatire. (Apocalypse 2:18-29)

      Ces assemblées étaient dans des états si différents, quant à la pureté de la doctrine et la ferveur de la piété, que les paroles qui leur sont adressées par Christ, peuvent tout à fait convenir à toutes les autres églises, ainsi qu’à leurs dirigeants.

      Christ connaît et observe l’état de ces assemblées d’Asie : bien qu’étant au ciel, Il est cependant au milieu de Ses églises, ici-bas, observant leurs défauts et leurs besoins.

      L'église d'Éphèse est complimentée pour son assiduité à son devoir. Christ mémorise chaque heure passée par Ses serviteurs, dans l’exercice de leur tâche : ce travail « pour le Seigneur », ne sera pas vain. Il ne suffit pas d’être assidu dans ce ministère : il faut aussi avoir de la patience, à la fois de « supporter », mais aussi « d’attendre ». Bien que nous devions montrer de la douceur de caractère envers tous les hommes, nous devons cependant afficher un certain zèle à condamner leurs iniquités.

      Le péché que reproche Christ à cette église d’Éphèse, n'est pas d'avoir laissé et abandonné l’objet de son amour, mais d'avoir perdu la ferveur qu'elle avait d'abord manifestée. Tel est le reproche que Christ adresse à Son peuple, le voyant devenir négligent et froid envers Lui. Il est certain que cette mention relative à l'abandon, par les chrétiens, de leur premier amour, est un blâme pour ceux qui éprouvent le même sentiment, en toute insouciance, tentant d'excuser leur indifférence et leur manque de zèle à cet égard ; notre Sauveur culpabilise cette insouciance : ces âmes doivent s'en repentir ; elles doivent éprouver de la peine et de la honte, quant à leur déclin spirituel et coupable et le confesser humblement devant Dieu. Ces chrétiens doivent s'efforcer de retrouver leur zèle initial, leur tendresse et leur sérieux dans leur piété ; ils doivent prier avec ferveur, veiller aussi, avec diligence, de la même manière que lorsqu'ils firent leurs « premiers pas » vers Dieu. Si la présence de la Grâce de Christ et l'Esprit sont offensés, ils doivent s’attendre à être attristés.

      Une mention encourageante est néanmoins adressée à l’église d’Éphèse, au sujet de ses qualités. L'indifférence pour la vérité comme pour l'erreur, pour le bien comme pour le mal, peut être faussement appelée de la charité et de la douceur de caractère : c’est une erreur, et cela déplait à Christ.

      La vie chrétienne est une guerre contre le péché, contre Satan, contre le monde et la chair. Nous ne devons jamais céder à nos ennemis spirituels : nous connaîtrons alors un glorieux triomphe et une récompense dans le ciel. Tous ceux qui persévèrent « trouveront » tout en Christ : l'Arbre de vie, la perfection et la confirmation dans la sainteté et le bonheur, non pas ici-bas, mais dans le paradis céleste ! Ces termes ne sont pas fictifs, mais ils proviennent du récit du jardin d'Éden, dénotant les joies pures, satisfaisantes, et éternelles du ciel : nous pouvons les attendre en ce monde, par la foi, dans la communion avec Christ, avec les consolations du Saint-Esprit !

      Croyants, que votre « séjour » ici-bas, soit une véritable lutte : une vie de quiétude vous attend plus tard ; mais dans l’immédiat, la Parole de Dieu ne nous promet aucune tranquillité ni absence de conflits sur cette terre !

      18 Même si le Seigneur sait que les œuvres de Son peuple sont faites dans l'amour, la foi, le zèle, et la patience, si Ses yeux, tels une flamme de feu, voient les Siens s'engager dans une mauvaise direction, Il les réprimandera, les corrigera, ou les punira. Nous voyons, dans ce texte, la louange du ministère et du peuple de Thyatire, par Celui qui connaissait les principes par lesquels il agit. Les membres de cette église devinrent plus sages et meilleurs.

      Tous les chrétiens doivent désirer avec ferveur que leurs dernières œuvres puissent être les meilleures. Cependant, cette église de Thyatire « fermait les yeux » sur l’œuvre de certains séducteurs, de mauvaise réputation...

      Dieu est sage dans les jugements qu'Il exécute ; quand Il juge les « séducteurs », Il révèle à quel point Il connaît bien le cœur des hommes, leurs principes, leurs diverses conceptions et leur tempérament. Un encouragement est donné dans ce texte, à ceux qui veillent à rester purs et non souillés.

      Il est dangereux de mépriser le « mystère » de Dieu, et tout aussi périlleux d’adopter celui de Satan. Méfions-nous des profondeurs de Satan : celui qui en connaît le moins est le plus heureux. Combien Christ est tendre envers Ses fidèles serviteurs ! Il ne leur impose aucun joug, si ce n'est pour leur bien.

      Une grande récompense est promise au croyant persévérant et victorieux ; il bénéficiera de la connaissance et de la sagesse, nécessaires à l’exercice de son pouvoir et de son autorité dans le futur.

      Christ, par Sa venue, par Sa présence, apporte la Lumière dans l'âme : Lumière de la Grâce et de la Gloire ; quel bonheur de Le connaître en tant que Seigneur et Sauveur ! Après chaque victoire sur « l’ennemi », sachons garder notre avantage sur lui, pour que nous puissions le vaincre de nouveau éventuellement et garder les œuvres de Christ jusqu'à la fin !

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