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16
Le Seigneur dit ensuite à la femme : « Je rendrai tes grossesses pénibles, tu souffriras pour mettre au monde tes enfants. Tu te sentiras attirée par ton mari, mais il dominera sur toi. »
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Lorsque cette décision sera connue dans toutes les parties de l’immense empire, chaque femme aura des égards pour son mari, qu’il soit important ou modeste. »
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Pierre et les autres apôtres répondirent : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes.
3
Cependant, je veux que vous compreniez ceci : le Christ est le chef de tout homme, le mari est le chef de sa femme, et Dieu est le chef du Christ.
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il faut que les femmes gardent le silence dans les assemblées : il ne leur est pas permis d’y parler. Comme le dit la loi de Dieu, elles doivent être soumises.
3
Vous appartenez au peuple de Dieu, par conséquent il ne convient pas qu’une forme quelconque d’immoralité, d’impureté ou d’envie soit même mentionnée parmi vous.
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Femmes, soyez soumises à vos maris, comme vous l’êtes au Seigneur.
23
Car le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l’Église. Le Christ est en effet le Sauveur de l’Église qui est son corps.
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Les femmes doivent donc se soumettre en tout à leurs maris, tout comme l’Église se soumet au Christ.
25
Maris, aimez vos femmes tout comme le Christ a aimé l’Église jusqu’à donner sa vie pour elle.
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Il a voulu ainsi rendre l’Église digne d’être à Dieu, après l’avoir purifiée par l’eau et par la parole ;
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il a voulu se présenter à lui-même l’Église dans toute sa beauté, pure et sans défaut, sans tache ni ride ni aucune autre imperfection.
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Les maris doivent donc aimer leurs femmes comme ils aiment leur propre corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même.
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En effet, personne n’a jamais haï son propre corps ; au contraire, on le nourrit et on en prend soin, comme le Christ le fait pour l’Église,
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son corps, dont nous faisons tous partie.
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Comme il est écrit : « C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux deviendront un seul être. »
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Il y a une grande vérité cachée dans ce passage. Je dis, moi, qu’il se rapporte au Christ et à l’Église.
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Mais il s’applique aussi à vous : il faut que chaque mari aime sa femme comme lui-même, et que chaque femme respecte son mari.
1
Enfants, c’est votre devoir devant le Seigneur d’obéir à vos parents, car cela est juste.
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« Respecte ton père et ta mère » est le premier commandement suivi d’une promesse :
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« afin que tu sois heureux et que tu jouisses d’une longue vie sur la terre. »
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Et vous, pères, n’allez pas irriter vos enfants par votre attitude. Mais élevez-les en leur donnant une éducation et une discipline inspirées par le Seigneur.
5
Esclaves, obéissez à vos maîtres d’ici-bas humblement, avec respect, d’un cœur sincère, comme si vous serviez le Christ.
6
Ne le faites pas seulement quand ils vous surveillent, pour leur plaire ; mais accomplissez la volonté de Dieu de tout votre cœur, comme des esclaves du Christ.
7
Servez-les avec bonne volonté, comme si vous serviez le Seigneur lui-même et non des hommes.
8
Rappelez-vous que chacun, qu’il soit esclave ou libre, sera récompensé par le Seigneur, selon le bien qu’il aura fait.
9
Et vous, maîtres, conduisez-vous d’une façon semblable à l’égard de vos esclaves ; abstenez-vous de toute menace. Rappelez-vous que vous avez, vous et vos esclaves, le même Maître dans les cieux, qui n’avantage personne.
18
Femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient de le faire devant le Seigneur.
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Je ne permets pas à la femme d’enseigner ou de prendre autorité sur l’homme ; elle doit garder le silence.
4
qu’elles apprennent aux jeunes femmes à aimer leur mari et leurs enfants,
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à être raisonnables et pures, à prendre soin de leur ménage, à être bonnes et soumises à leur mari, afin que personne ne fasse insulte à la parole de Dieu.
1
Vous de même, femmes, soyez soumises à vos maris, afin que si quelques-uns d’entre eux ne croient pas à la parole de Dieu, ils soient gagnés à la foi par votre conduite. Des paroles ne seront même pas nécessaires :
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il leur suffira de voir combien votre conduite est pure et respectueuse.
3
Ne cherchez pas à vous rendre belles par des moyens extérieurs, comme la façon d’arranger vos cheveux, les bijoux d’or ou les vêtements élégants.
4
Recherchez plutôt la beauté de l’être intérieur, la parure impérissable d’un esprit doux et paisible, qui est d’une grande valeur aux yeux de Dieu.
5
Telle était la parure des femmes pieuses d’autrefois, qui espéraient en Dieu. Elles étaient soumises à leurs maris,
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comme, par exemple, Sara qui obéissait à Abraham et l’appelait « Mon maître ». Vous êtes vraiment ses filles si vous faites le bien en ne vous laissant effrayer par rien.
L'apôtre reproduit ici (verset 18 jusqu'au Colossiens 4.1) les devoirs des divers membres de la famille, qu'il a retracés Ephésiens 5.22 jusqu'à 6 : 9. (Voir les notes et comparez 1Pierre 2.18 ; 3.1 et suivants et verset 7)
Le texte reçu dit : "à vos propres maris." Ce mot souligné, emprunté en Ephésiens 5.22, n'est pas authentique ici.
- Cette soumission de la femme, par cela même qu'elle est convenable dans le Seigneur, c'est-à-dire dans sa communion, en harmonie avec son Esprit, n'emporte rien de servile, rien de l'esclavage oriental de la femme. Son égalité spirituelle avec son mari est, du reste, garantie par verset 19. Mais le devoir de la soumission subsiste ; là où elle manque, ce ne peut être qu'au détriment de l'union conjugale. (Comparer Ephésiens 5.22-24, où ce devoir est abondamment motivé.)
Les épouses doivent être soumises à leur mari. Il ne s’agit pas ici d’une soumission « aveugle », à un seigneur violent, ni à un tyran sévère, mais à leur propre mari, ce qui doit être un véritable engagement et un devoir affectueux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leur épouse avec une tendre et fidèle affection. Quant aux enfants obéissants, ce sont les plus aptes à prospérer. Les parents doivent les élever avec tendresse.
Les serviteurs doivent s’appliquer à leur tâche et obéir aux ordres de leurs maîtres en tous points, accomplissant ainsi leur devoir envers Dieu, leur Maître céleste. Ils doivent être à la fois, justes et appliqués, sans préjugés égoïstes, sans hypocrisie, ni fausse conduite. Les serviteurs qui craignent Dieu sont justes et fidèles lorsqu'ils œuvrent sous le regard de leur maître, car ils savent que Dieu les regarde également. Ils travaillent avec diligence, efficacement et sans paresse ; ils accomplissent leur tâche dans la joie, satisfaits de constater que la Providence divine les a placés ainsi. Pour encourager de tels serviteurs, qu'ils sachent qu'en servant leurs maîtres, sous le regard de Christ, ils servent en fait ce Dernier, qui, à la fin, leur attribuera leur récompense glorieuse. Par contre, celui qui accomplit mal sa tâche recevra sa juste rétribution. Dieu punira le serviteur injuste, comme Il récompensera celui qui est fidèle ; il en va de même pour les maîtres qui agissent mal envers leurs subordonnés : le Juge de la terre agira en toute Justice envers ces maîtres et ces serviteurs. Les deux se tiendront sur une « balance », au jour du Jugement.
La véritable piété pourrait vraiment rendre le monde heureux, si elle prédominait en tous lieux, influençant chaque situation et chaque relation de vie ! Mais les contestataires permanents, peu soucieux d’accomplir leurs devoirs, se trompent eux-mêmes, tout en adressant leurs reproches injustifiés à l'Évangile.