6
ils criaient à toi, et ils étaient sauvés ; ils se confiaient en toi, et ils n’étaient pas déçus.
7
Mais moi, je suis un ver et non un homme, la honte de l’humanité, celui que le peuple méprise.
15
Mes forces s’en vont comme l’eau qui s’écoule, et tous mes os se disloquent ; mon cœur est comme de la cire, il se liquéfie au fond de moi.
17
Oui, des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi ; ils ont percé mes mains et mes pieds.
7
Je suis pour beaucoup un cas étrange, mais toi, tu es mon puissant refuge.
3
Ne me cache pas ton visage lorsque je suis dans la détresse, tends ton oreille vers moi quand je crie, réponds-moi vite,
4
car mes jours s’évanouissent comme une fumée et mes os sont enflammés comme un brasier.
5
Mon cœur est frappé et se dessèche comme l’herbe ; j’en oublie même de manger mon pain.
6
J'ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient et mes joues à ceux qui m'arrachaient la barbe, je n'ai pas caché mon visage aux insultes et aux crachats.
14
Tout comme beaucoup ont été horrifiés en le voyant, tant son visage était défiguré, tant son aspect était différent de celui des humains,
2
Il a grandi devant lui comme une jeune plante, comme un rejeton qui sort d'une terre toute sèche. Il n'avait ni beauté ni splendeur propre à attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire.
3
Méprisé et délaissé par les hommes, homme de douleur, habitué à la souffrance, il était pareil à celui face auquel on détourne la tête : nous l'avons méprisé, nous n'avons fait aucun cas de lui.
4
Pourtant, *ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé. Et nous, nous l'avons considéré comme puni, frappé par Dieu et humilié.
5
Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes : la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et *c'est par ses blessures que nous sommes guéris.
28
Quand Jésus eut fini de prononcer ces paroles, les foules restèrent frappées par son enseignement,
22
Etonnés de ce qu'ils entendaient, ils le quittèrent et s'en allèrent.
23
Le même jour, les sadducéens, qui disent qu'il n'y a pas de résurrection, vinrent trouver Jésus et lui posèrent cette question :
67
Là-dessus, ils lui crachèrent au visage et le frappèrent à coups de poing ; certains lui donnaient des gifles en disant :
14
Mais Jésus ne répondit sur aucun point, ce qui étonna beaucoup le gouverneur.
29
Ils tressèrent une couronne d'épines qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite ; puis, s'agenouillant devant lui, ils se moquaient de lui en disant : « Salut, roi des Juifs ! »
30
Ils crachaient sur lui, prenaient le roseau et le frappaient sur la tête.
42
Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher, car elle avait 12 ans. Ils furent [aussitôt] remplis d'un grand étonnement.
51
Puis il monta près d'eux dans la barque, et le vent tomba. Ils étaient en eux-mêmes extrêmement stupéfaits [et étonnés]
37
Remplis d'étonnement, ils disaient : « Il fait tout à merveille ; il fait même entendre les sourds et parler les muets. »
26
Les disciples furent encore plus étonnés et se dirent les uns aux autres : « Qui donc peut être sauvé ? »
32
Ils étaient en chemin pour monter à Jérusalem et Jésus allait devant eux. Les disciples étaient effrayés et ceux qui le suivaient étaient dans la crainte. Jésus prit de nouveau les douze avec lui et commença à leur dire ce qui devait lui arriver :
47
Tous ceux qui l'entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses.
36
Tous furent saisis de frayeur, et ils se disaient les uns aux autres : « Quelle est cette parole ? Il commande avec autorité et puissance aux esprits impurs, et ils sortent ! »
26
Tous étaient dans l'étonnement et célébraient la gloire de Dieu ; remplis de crainte, ils disaient : « Nous avons vu aujourd'hui des choses extraordinaires. »
64
Ils lui mirent un voile sur le visage et ils l'interrogeaient en disant : « Devine qui t'a frappé ! »
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Après avoir parlé du serviteur, Dieu s'adresse à lui (en te voyant) ; ainsi déjà 42.6. C'est comme si, sortant d'un vague lointain, le serviteur se rapprochait et apparaissait toujours plus distinctement.
Beaucoup ont été interdits : c'est-à-dire frappés d'étonnement et comme pétrifiés à sa vue. La fin du verset est une parenthèse qui explique la raison de cet étonnement : le serviteur ne parviendra à la gloire qu'à travers des souffrances telles qu'il en sera tout défiguré ; comparez 50.6-7 ; 53.3-7. Dans cette parenthèse explicative, il est parlé de nouveau du serviteur à la troisième personne, et le verset 15, qui reprend la phrase interrompue, continue de même.
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