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Exode 19.2



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      Exode 3

      1

      Dieu apparaît à Moïse dans un buisson ardent. (Exode 3:1-6)
      Dieu envoie Moïse pour délivrer Israël. (Exode 3:7-10)
      Le nom de Jéhovah. (Exode 3:11-15)
      La délivrance promise aux Israélites. (Exode 3:16-22)

      Les années de la vie de Moïse sont réparties en trois périodes de quarante ans ; la première partie s'est passée à la cour de Pharaon, la deuxième en tant que berger, au pays de Madian et la troisième pendant laquelle il fut un grand dirigeant. Remarquez à quel point la destinée d'un homme peut changer au cours de sa vie ! La première fois que Dieu apparut à Moïse, ce dernier s'occupait des moutons. Cela peut sembler être une bien modeste occupation, pour un homme possédant une telle éducation, mais il s'en accommodait apparemment ; ce travail lui a appris l'humilité et le contentement de peu, qualités qui sont mentionnées plus loin dans la Parole. Satan aime nous voir paresser ; Dieu, quant à Lui, aime que nous soyons actifs. Le fait de nous retrouver seul, nous permet d'entrer vraiment en communion avec Dieu. À sa grande surprise, Moïse vit un buisson ardent, sans avoir vu comment ce dernier avait été allumé. Ce buisson était en feu et ne se consumait pas ; c'est un peu une image du peuple de Dieu en Égypte. Cela nous rappelle également l'Église à travers les âges, persécutée sévèrement, mais préservée de la destruction, par la présence de Dieu.

      Dans l'Écriture, le feu est l'emblème de la Sainteté et de la Justice divines ; il caractérise également les afflictions et les épreuves que Dieu envoie pour purifier Son peuple ; le feu représente aussi le baptême du Saint Esprit, par lequel les affections du péché sont consumées et qui transforme l'âme en une image conforme à la nature divine.

      Dieu, dans Sa miséricorde, appela Moïse ; ce dernier répondit aussitôt. Ceux qui désirent entrer en communion avec Dieu, doivent se plier à Ses ordonnances, par lesquelles Il se manifeste, Lui et Sa gloire ; Moïse a vu cette gloire, même au sein de ce buisson. Le fait d'ôter ses chaussures fut pour le patriarche un signe de respect et de soumission.

      Nous devrions nous approcher de Dieu dans la solennité, avec des cœurs préparés, cherchant à éviter tout propos léger ou grossier et tout service peu convenable.

      Dieu n'a pas dit : « J'étais le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob », mais, « Je suis... ». Les patriarches vivent encore, malgré le fait que leur corps soit dans la tombe depuis de nombreuses années. Aucun laps de temps ne peut séparer l'âme des justes, du Créateur. Par ce témoignage, Dieu instruisit Moïse, sur l'existence d'un autre monde ; Il a ainsi affermi sa foi sur cet état futur. C'est ce qu'annonce aussi notre Seigneur Jésus, à propos de la résurrection des morts, dans Luc 20:37. Moïse cacha son visage, comme s'il était à la fois effrayé et honteux de voir Dieu.

      Plus nous discernons Dieu, Sa Grâce et Son Amour, plus nous sommes amenés à l'adorer avec révérence, sous une crainte respectueuse de Sa Personne.

      Exode 17

      1

      À Rephidim, les Israélites réclament pour avoir de l'eau, Dieu fait sortir de l'eau du rocher. (Exode 17:1-7)
      Le combat d'Amalek, les prières de Moïse. (Exode 17:8-16)

      Les enfants d'Israël se déplaçaient, suivant l'ordre de l'Éternel, conduits par la colonne de nuée et de feu : ils arrivèrent dans un endroit où il n'y avait pas d'eau à boire.

      Bien que nous puissions être sur le droit chemin, nous pouvons très bien rencontrer des épreuves envoyées par la Providence, pour éprouver notre foi et pour louer Dieu par la délivrance qu'Il nous accorde ensuite. Les Hébreux commencèrent par se demander si Dieu était vraiment avec eux. Cela s'appelle : « Tenter Dieu », c'est-à-dire ne pas Lui faire confiance, malgré toutes les démonstrations de Puissance et de Bonté qu'Il avait opérées. Moïse tenta de les calmer. C'est de la folie de répondre à des attaques coléreuses, par des réponses du même type ; cela ne peut que faire empirer la situation. Dieu, dans sa grâce, prit les dispositions pour leur venir en aide. Avec quelle merveilleuse patience Dieu supporte la provocation des pécheurs ! Il est tout aussi capable de révéler Sa Puissance, comme Sa pitié, capable de faire un miracle miséricordieux : du rocher, Il fit couler de l'eau pour Son peuple. Dieu peut ouvrir des fontaines, là où nous nous y attendons le moins.

      Ceux qui dans le désert, restent sur les chemins tracés par Dieu, peuvent être assurés qu'Il leur assurera toute protection. Le récit de ce texte nous enseigne également à ne dépendre que de la Grâce de Christ. Les apôtres annonçaient que ce rocher était Christ, 1Corinthiens 10:4, un rocher spirituel. Alors que la malédiction divine pourrait, en toute justice, punir nos âmes rebelles, ayons les yeux fixés sur le Fils de Dieu. Demandons et nous recevrons. L'eau de ce rocher coulait en abondance. Pour les nombreux croyants que nous sommes, l'esprit de Christ est plus que suffisant. L'eau du rocher jaillissait dans le désert : elle donnait à Israël le moyen de subsister, pour se rendre en Canaan ; cette eau provenait de Christ ; par Sa Parole, nos âmes peuvent se rafraîchir, dans ce monde stérile, en attendant de voir Sa gloire, dans le futur. Un nom fut donné à ce lieu, non pour rappeler l'obtention de cette eau providentielle, mais pour souligner le péché d'avoir contesté avec Dieu : « Massa », la tentation, car les enfants d'Israël tentèrent Dieu ; « Meriba », la lutte, car ils reprochèrent à Moïses de les avoir laissés dans cette situation.

      Le péché laisse toujours des traces...

      8 Le peuple d'Israël, pour se défendre, a combattu contre Amalek. Dieu a donné toutes les capacités nécessaires à Son peuple, pour combattre ; il en va de même aujourd'hui, où chacun est appelé à contribuer à différents services, pour le bien de l'église. Josué combattait; Moïse, quant à lui priait : deux ministères au sein d'Israël. La verge était dressée, telle une bannière, pour encourager les soldats. Elle était aussi dirigée vers Dieu, pour qu'Il entende l'appel d'Israël. Moïse était fatigué. Le plus vigoureux des bras tendus, finit toujours par fléchir, au bout d'un moment ; seule la main de Dieu est capable de tenir et de rester bien tendue. Nous ne pensons pas que les mains de Josué fussent pesantes, lors du combat, mais celles de Moïse devaient l'être, quand il priait ; plus un service spirituel est actif, plus nous sommes enclins à faillir et à ne pas l'accomplir correctement. Pour convaincre Israël de l'efficacité des mains « spirituelles » de Moïse, qui auparavant, exerçaient la discipline du camp, il fallait montrer qu'elles étaient plus efficaces que ses propres mains physiques, que sa verge était plus active que son épée : l'avantage sur l'adversaire était directement lié à la position des bras du patriarche. La cause de l'église est plus ou moins victorieuse, selon la vigueur de la foi de ses membres, selon la ferveur de leurs prières. Moïse, l'homme de Dieu, est heureux d'avoir ainsi ses bras soutenus. Nous ne devrions pas avoir honte de demander de l'aide aux autres, ni d'ailleurs, de leur offrir la nôtre. Les bras de Moïse, ainsi dressés, devaient rester dans cette position jusqu'au coucher du soleil.

      Ce fut un grand encouragement pour le peuple, de voir Josué les précéder sur le champ de bataille, tout en apercevant Moïse, au dessus d'eux, sur la colline. Christ représente ces deux hommes à la foi : Il est notre Josué, le Capitaine de notre salut, qui monte au combat, mais également notre Moïse, qui vit éternellement, faisant des intercessions au ciel, pour que notre foi ne défaille pas. Les armes dressées contre Israël, le peuple de Dieu, ne pouvaient résister bien longtemps et devaient tôt ou tard être anéanties. Moïse devait faire le récit de ces évènements : tout ce qu'Amalek avait fait contre Israël et à quel point il éprouvait une haine amère contre les Hébreux ; le patriarche devait aussi décrire la fin du combat : la cruelle défaite d'Amalek ; ces faits ne devaient pas être oubliés. Tout ce que Dieu a accompli pour Israël : sauver Son peuple de l'emprise d'Amalek. Le patriarche devait écrire tout cela : Amalek, devait finir complètement ruiné et dépouillé.

      Cette destruction d'Amalek est une image typique de la destruction de tous les ennemis de Christ et de son Royaume.

      Exode 18

      Exode 19

      Actes 7

      30 Les hommes se trompent, s'ils pensent que Dieu n’est pas capable de faire ce que bon Lui semble, où Il le désire ; Il peut très bien amener Ses serviteurs dans le désert, et en cet endroit calme, leur parler sereinement.

      L’Éternel apparut à Moïse dans un buisson en feu, cependant, ce dernier ne se consumait pas ; ceci représentait l'état du peuple d’Israël en Égypte : bien qu'il ait été opprimé, dans le « feu de la détresse », il n'a pas pour autant été consumé. Ce fait peut nous rappeler Christ, revêtant ici-bas la forme humaine et servant par là d’union entre les hommes et Dieu.

      La mort d'Abraham, d’Isaac, et de Jacob, n’allait pas rompre l'alliance entre Dieu et ces patriarches. Notre Sauveur prouve en cela ce qui nous attend, Matthieu 22:31. Abraham est mort, mais il faisait une entière confiance à Dieu durant son vivant ; désormais, par voie de conséquence, le patriarche est auprès de Lui ! Aujourd’hui, ce sont cette vie et cette immortalité qui sont amenées à la lumière par l'évangile.

      Dans ce texte, Étienne dit que Moïse était une figure éminente de Christ, du fait qu’il était le libérateur d'Israël. Dieu éprouve de la compassion quand Son église est persécutée et que Son peuple gémit ; sa délivrance découle de la Miséricorde divine.

      Ce type de délivrance s’est aussi manifesté quand Christ est descendu du ciel pour nous, pour notre salut. Ce Jésus, que les Juifs ont refusé, tout comme leurs pères à l’égard de Moïse, était Celui que Dieu a envoyé, en tant que Prince et Sauveur.

      On n’abaisse pas Moïse en affirmant qu'il n'était qu'un « instrument de Dieu », et qu'il ait été infiniment éclipsé par Jésus. En affirmant que ce Dernier devait changer les coutumes de la loi, Étienne était donc loin d’outrager Moïse : en réalité il l'honorait, en exposant comment sa prophétie relative au futur Sauveur (Jésus) s’est accomplie de façon si évidente. Dieu, qui a donné la loi au peuple juif, par Son serviteur Moïse, est capable, sans aucun doute, de « l’accomplir », par son Fils Jésus !

      Mais Israël a repoussé Moïse, préférant revenir à son esclavage en Égypte. En général, de la même manière, les hommes ne veulent pas obéir à Jésus, parce qu'ils aiment trop ce présent monde mauvais, se réjouissant de leurs propres œuvres et divers projets douteux...

      Galates 4

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