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10
Le pouvoir royal restera dans la famille de Juda. Le bâton des chefs restera dans la main de ceux qui naîtront de lui. Il y restera jusqu’à l’arrivée de son véritable propriétaire, c’est à lui que les peuples obéiront.
15
Le buisson d’épines dit aux arbres : “Si vraiment vous voulez me choisir comme roi, venez vous mettre sous mon ombre. Si vous ne le faites pas, un feu sortira de mes épines et il brûlera même les cèdres du Liban !” »
20
C’est le SEIGNEUR qui, dans sa colère, fait venir ces malheurs sur Jérusalem et sur Juda, et qui les rejette loin de lui. Et Sédécias se révolte contre le roi de Babylone.
13
Le roi Nabucodonosor lui fait prêter serment au nom de Dieu. Pourtant Sédécias se révolte contre le roi. Il ne veut rien entendre et il ferme son cœur au lieu de revenir vers le SEIGNEUR, Dieu d’Israël.
37
Ses produits abondants sont pour les rois à qui tu nous as livrés à cause de nos péchés. Ils nous utilisent, nous et nos troupeaux, comme ils le veulent. Et nous, nous sommes très malheureux ! »
7
Oui, ils ont dévoré le peuple de Jacob, avec leurs dents ils ont détruit son pays.
15
Dieu de l’univers, reviens vers nous ! Regarde du haut du ciel et vois. Prends soin de cette vigne.
16
Protège ce que tu as toi-même planté, ce peuple que tu as rendu fort.
18
À cause de la colère du SEIGNEUR de l’univers, le pays est en flammes. On dirait que le feu dévore le peuple. Personne n’a pitié de son frère.
19
Les gens déchirent à droite et ils ont encore faim. Ils dévorent à gauche et il ne sont pas rassasiés. Chacun s’attaque à son prochain :
23
Oui, on conduira tes femmes et tes fils devant les Babyloniens, et toi, tu ne leur échapperas pas non plus. Le roi de Babylone te fera prisonnier et il mettra le feu à Jérusalem. »
3
Ce qui s’est passé à Jérusalem et dans le royaume de Juda a provoqué la colère du SEIGNEUR. Finalement, il a rejeté son peuple loin de lui. Sédécias s’est révolté contre Nabucodonosor, le roi de Babylone.
20
Celui qui nous faisait vivre est maintenant pris dans leurs pièges. C’était le roi consacré par le SEIGNEUR, et nous disions de lui : « Sous sa protection, nous vivrons au milieu des autres peuples. »
4
Non, il sert seulement à faire du feu. Et quand le feu a brûlé les deux bouts, le milieu du morceau de bois brûle aussi. Est-ce qu’il peut encore servir à quelque chose ?
18
En ne tenant pas compte du serment qu’il avait fait, le roi d’Israël n’a pas respecté l’accord signé. Il a agi ainsi et pourtant il avait donné sa parole. Donc, il ne s’en sortira pas.
19
« Aussi vrai que je suis vivant, voici ce que je déclare, moi, le Seigneur DIEU : Le roi d’Israël n’a pas tenu compte du serment qu’il avait fait devant moi. Il n’a pas respecté l’accord signé en mon nom. C’est pourquoi je le ferai payer pour cela.
20
Je vais lui tendre un piège et le faire prisonnier. Je l’emmènerai à Babylone et, là-bas, je le ferai condamner parce qu’il n’a pas été fidèle envers moi.
1
Le Seigneur m’a dit de chanter ce chant de deuil sur les chefs d’Israël :
11
Ses branches étaient solides, elles sont devenues des bâtons de rois. Elle a poussé au-dessus des arbres. Tout le monde la remarquait à cause de sa hauteur et de toutes ses branches.
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Le feu a jailli de son tronc, il a détruit ses branches et ses fruits. Elle n’a plus de branche solide qui pourrait devenir un bâton de roi. » Ce poème se chante comme un chant de deuil.
25
Une des routes conduira les soldats babyloniens à Rabba, la ville des Ammonites. L’autre route les conduira en Juda, à la ville bien protégée de Jérusalem.
26
Le roi de Babylone s’arrête au carrefour, à l’entrée des deux routes pour consulter le sort. Il secoue les flèches, il interroge les petites statues sacrées, il examine des foies d’animaux.
27
La flèche qui indique Jérusalem est tombée dans sa main droite. Il va commander d’aller tuer les gens là-bas, en poussant des cris de guerre. Il placera des machines de combat contre les portes de la ville. Il va élever des murs d’attaque et creuser des fossés.
4
En effet, pendant longtemps les gens d’Israël resteront sans roi, sans chefs, sans pierres sacrées. Ils n’offriront plus de sacrifices, ils n’auront plus d’objets sacrés pour consulter Dieu.
3
Ils disent maintenant : « Nous n’avons pas respecté le SEIGNEUR, c’est pourquoi nous n’avons pas de roi. Mais aujourd’hui, qu’est-ce qu’un roi pourrait faire pour nous ? »
11
« La ville de David est comme une hutte qui ne tient pas debout. Un jour, moi, le SEIGNEUR, je fermerai ses ouvertures, je relèverai ses pierres, je la reconstruirai comme elle était avant.
41
Jésus approche de Jérusalem et il voit la ville. Alors il pleure à cause d’elle.
15
Mais ils se mettent à crier : « À mort ! À mort ! Cloue-le sur une croix ! » Pilate leur dit : « Est-ce que je vais clouer votre roi sur une croix ? » Les chefs des prêtres répondent : « Notre seul roi, c’est l’empereur ! »
2
Mon cœur est plein d’une grande tristesse et je souffre sans cesse.
3
Oui, je souhaiterais moi-même être rejeté par Dieu et séparé du Christ pour mes frères et sœurs juifs. Ils sont du même peuple que moi,
4
ce sont des Israélites. Dieu a fait d’eux ses enfants, il leur a montré sa gloire, il a fait alliance avec eux, il leur a donné la loi, le culte, les promesses
Sédécias fera si bien qu'il amènera par sa folie la destruction du peuple entier. La remarque finale peut être envisagée comme une note ajoutée ici après coup, lorsque déjà l'événement avait justifié cette complainte anticipée. Mais cette souscription a peut-être un caractère plus frappant et plus poignant, si on l'attribue à Ezéchiel lui-même. Le prophète ferait remarquer deux choses : la première, que ce morceau n'est pas un discours, comme tous les morceaux précédents, mais une poésie, comme celles que l'on a coutume de composer sur les événements douloureux, publics ou privés : C'est ici une complainte. Puis, pour bien affirmer la certitude du malheur prévu et pleuré à l'avance, il ajouterait que cette complainte ne manquera pas de prendre place parmi celles du même genre qui se chantent en Israël : et elle est devenue une complainte. Il la verrait déjà admise dans le recueil populaire. Cette manière de s'exprimer serait bien conforme au tour énigmatique du style d'Ezéchiel.