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Lorsque le Pharaon laissa partir les Israélites, Dieu ne leur fit pas prendre le chemin du pays des Philistins, bien que ce soit le plus direct. Il craignait en effet que le peuple, effrayé par les combats à livrer, ne change d’avis et revienne en Égypte.
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C’est pourquoi il les mena par le chemin détourné qui, à travers le désert, se dirige vers la mer des Roseaux. Les Israélites quittèrent l’Égypte bien équipés.
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Quant à moi, je pousse les Égyptiens à s’obstiner et à y pénétrer derrière vous. Je manifesterai alors ma gloire en écrasant le Pharaon avec toutes ses troupes, ses chars et ses cavaliers.
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Les Égyptiens sauront que je suis le Seigneur, lorsque j’aurai manifesté ma gloire de cette manière. »
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L’ange de Dieu, qui auparavant précédait les Israélites, alla se placer derrière leur camp. De même, la colonne de fumée qui était devant eux passa derrière eux ;
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elle se plaça entre le camp des Égyptiens et celui des Israélites. Cette fumée était obscure d’un côté, tandis que de l’autre elle éclairait la nuit. Ainsi les adversaires ne s’approchèrent pas les uns des autres de toute la nuit.
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Moïse étendit le bras au-dessus de la mer. Le Seigneur fit alors souffler un fort vent d’est durant toute la nuit pour refouler la mer et la mettre à sec. Les eaux se séparèrent
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et les Israélites traversèrent la mer à pied sec : de chaque côté d’eux, l’eau formait comme une muraille.
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Les Israélites, conduits par Moïse, quittèrent la mer des Roseaux et se dirigèrent vers le désert de Chour. Ils marchèrent trois jours dans le désert sans trouver d’eau.
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« Je suis le Seigneur ton Dieu, c’est moi qui t’ai fait sortir d’Égypte où tu étais esclave.
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Je les emmenai donc hors d’Égypte et les conduisis dans le désert.
10 à 17 Mêmes péchés à la suite de la délivrance ; même victoire, dans le cœur de Dieu, de la compassion sur la justice.
Dieu a opéré de grandes choses pour les enfants d’Israël : Il leur a donné la loi, et leur a rappelé le respect du jour du sabbat. Le sabbat est en effet un privilège ; ce jour particulier est en quelque sorte, le témoignage de notre appartenance à Dieu. Si nous respectons les devoirs sabbatiques, nous trouverons, pour notre bien, que le Seigneur nous dirige, dans le chemin de la sanctification, c’est à dire, qu’Il nous rend vraiment heureux ; Il prépare notre cœur à jouir du bonheur spirituel.
Les Israélites se sont rebellés ; en conséquence, ils subirent les jugements divins. Dieu dispose parfois d’une punition particulière pour un certain péché ; mais, dans tous les cas, Il prévient du danger encouru à ne pas Lui obéir : Il ne prend pas plaisir à rendre les hommes malheureux, Il n’a pour but que de leur faire abandonner leurs vaines convoitises et leurs passions malsaines.