Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Galates 3.24

de sorte que la loi a été notre conducteur jusqu'à Christ, afin que nous fussions justifiés sur le principe de la foi ;
Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi.
de sorte que la loi a été notre conducteur jusqu'à Christ, afin que nous fussions justifiés sur le principe de la foi ;
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Matthieu 5

      17 Que nul ne puisse supposer que Christ autorise Son peuple à ne pas respecter le moindre commandement de la sainte loi divine. Aucun pécheur ne peut bénéficier de la Justification offerte par Christ, tant qu’il ne se repent pas de ses mauvaises actions.

      La Miséricorde révélée dans l'évangile, amène le croyant à avoir la plus profonde aversion de lui-même. La loi est la « règle » que le chrétien doit suivre, dans l’exercice de son devoir : il prend plaisir à ce respect de la Parole.

      Si un homme, prétendant « suivre » Jésus-Christ, commence à désobéir à la sainte loi de Dieu, ou enseigne aux autres à le faire, quelle que puisse être sa situation ou sa réputation ici-bas, il ne peut pas être en fait Son véritable disciple. La droiture de Christ, ne pouvant nous être octroyée que par la foi, est nécessaire à tous ceux qui entrent dans le Royaume de la Grâce ou de la Gloire divine ; la régénération du cœur, vers le « chemin » de la sainteté, produit un changement total dans le tempérament et la conduite d'un homme.

      Actes 13

      38 Que tous ceux qui entendent l'Évangile de Christ soient bien conscients des deux points suivants : - Au travers de cet « Homme », qui est mort et ressuscité, vous est prêché le pardon des péchés. Ces derniers, bien que graves et nombreux, peuvent être pardonnés, sans que Dieu en reste offensé : Il les oubliera complètement, ce qui L'honore. - C'est par Christ, qu’uniquement ceux qui croient en lui, sont justifiés de toutes leurs fautes ; ils sont lavés de toute la culpabilité et de toute souillure du péché, ce qui ne pouvait être opéré par la loi de Moïse.

      La grande inquiétude des pécheurs convaincus de leur état, est de trouver la justification, d'être acquittés de toute leur culpabilité, et considérés comme « vertueux » aux yeux de Dieu : si la moindre charge subsiste sur l’homme inique, tout est fini pour lui. Par Jésus-Christ nous obtenons une justification complète ! Il a totalement expié notre péché. Il nous a justifiés, non seulement en tant que Juge, mais en tant que Seigneur de Justice. Ce que la loi n’a pu faire pour nous, et qui révèle son insuffisance, l'évangile de Christ l’a accompli !

      De cette bénédiction, qui est un passage nécessaire pour accéder au salut, découlent toutes les autres. Les menaces annoncées dans la Parole sont en fait des avertissements : elles frapperont les pécheurs impénitents pour engendrer de la crainte en leur cœur. Beaucoup, en méprisant la piété, courent à la ruine. Ceux qui ne veulent pas se laisser interpeler par l’évangile et bénéficier ainsi du salut, finiront par périr...

      Romains 3

      21 L'homme coupable doit-il rester indéfiniment sous le coup de la colère divine ? La « blessure » de ses péchés est-elle incurable ? Non ! Béni soit Dieu, une autre voie a été ouverte pour lui, par la Justice divine ! Dieu a décrété cette Justice, qu’Il accorde au pécheur, par la foi en Jésus-Christ ; ce Nom signifie « Sauveur oint ».

      La foi qui justifie, désigne Christ en tant que Sauveur, dans Ses trois fonctions : Prophète, Sacrificateur, et Roi ; cette Justification nait de la confiance en Jésus, en l'acceptant, et en s'attachant à Lui : les Juifs, comme les Gentils, sont les bienvenus devant Dieu, par le biais de Christ. Il n'y a pas de différence entre eux : cette Justice s’adresse à tous ceux qui croient ; Elle leur est non seulement offerte, mais Elle est « posée » sur eux, telle une couronne, ou une robe. Il s’agit de la Grâce, elle est gratuite, simplement par miséricorde ; rien en nous ne peut nous faire mériter cette faveur divine !

      Si nous pouvons disposer gratuitement de la Grâce, Christ l'a toutefois acquise, Il en a payé le prix. La foi considère spécialement le sang de Christ, car c'est ce sang qui procure l'expiation de nos fautes. Dans ces états de faits, Dieu déclare Sa Justice. Il est clair qu'Il abhorre le péché, car seul le sang de Christ pouvait Le satisfaire. Sa justice ne serait pas parfaite s’Il voulait réclamer la dette de nos fautes, alors que le Garant (Christ) l'a payée ; Dieu a accepté ce « paiement » en toute satisfaction !

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      Romains 10

      1 Corinthiens 4

      Galates 2

      Galates 3

      Galates 4

      Colossiens 2

      Hébreux 7

      Hébreux 9

      11 Toutes les bénédictions passées, présentes, et à venir, sont fondées sur la fonction sacerdotale de Christ ; elles nous sont octroyées par cette dernière. Notre « Souverain Sacrificateur » est entré dans le ciel une fois pour toutes, et nous a acquis le salut éternel.

      Le Saint-Esprit a d'abord signifié et révélé que les sacrifices de l'Ancien Testament ont seulement libéré l'homme de son impureté, en le rendant apte à recevoir quelques privilèges. Qu'est-ce qui a donné un tel pouvoir au sang de Christ ? Il s’agissait d’une « offrande volontaire », Celui qui, cependant, n’avait aucune culpabilité inhérente à Sa nature ou Sa vie.

      Par le sacrifice de Christ, la conscience la plus coupable est libérée des « œuvres mortes » ; celui qui est ainsi purifié peut servir le Dieu vivant ; on peut comprendre avec « les œuvres coupables », la pollution de l'âme ; ce qui peut signifier pour des Juifs, de toucher un cadavre ; la Grâce qui scelle le pardon divin fait « renaître » l'âme polluée.

      Rien ne détruit davantage la foi en l'Évangile, que tout ce qui tente d'amoindrir le véritable pouvoir du sang de Christ, versé pour nous. Nous sommes incapables de sonder la profondeur du mystère du sacrifice de Christ, ni de comprendre la « supériorité » d’un tel acte. Nous sommes incapables de nous-mêmes, d’estimer la grandeur, la sagesse, l'amour et la grâce qui résident en ce don merveilleux.

      Mais en considérant, avec piété, le sacrifice de Christ, la foi trouve la vie spirituelle, la nourriture, et le rafraîchissement !

      15 Les transactions solennelles entre Dieu et l'homme, sont parfois appelées une « alliance » ; ce texte nous parle de « testament », ce qui représente l’acte volontaire d'une personne léguant ses biens à celles qui sont mentionnées dessus ; cet héritage ne prend effet qu’à la mort du testateur.

      Ainsi, Christ est mort, non seulement pour obtenir les bénédictions relatives à notre salut, mais pour nous donner tout pouvoir d'en disposer. Tous les hommes, par leurs péchés, sont coupables devant Dieu, et se privent ainsi de tout salut ; mais Dieu, disposé à montrer la grandeur de Sa Miséricorde, a proclamé une nouvelle alliance, par Sa Grâce.

      Rien ici-bas, ne peut purifier un pécheur, pas même l’accomplissement de ses devoirs religieux ; sa culpabilité ne peut être effacée que par un sacrifice divin.

      Puissions-nous offrir notre service à cette même cause qui procure le salut, (le sang de Christ), et offrir à ce Dernier nos « sacrifices spirituels », étant « recouverts » par ce sang, donc purifiés de toute souillure !

      Hébreux 10

      1

      L'insuffisance des sacrifices pour ôter le péché ; la nécessité et le pouvoir du sacrifice de Christ dans ce but. (\\# 1-18\\)
      Argument d’une sainte hardiesse du croyant pour accéder à Dieu, par l’intermédiaire de Jésus-Christ ; constance dans la foi, l'amour mutuel et le devoir. (\\# 19-25\\)
      Le danger de l'apostasie. (\\# 26-31\\)
      Les souffrances des croyants, et l'encouragement à maintenir leur sainte profession de foi. (\\# 32-39\\)

      L'auteur de l'épître aux Hébreux nous montre dans ce texte que le tabernacle, et les ordonnances de l'alliance du Sinaï, n’étaient que des images et des types de l'Évangile ; il conclut que les sacrifices offerts continuellement par les souverains sacrificateurs ne peuvent rendre parfaits les adorateurs, en ce qui concerne le pardon et la purification de leur conscience par Dieu.

      Mais lorsque Dieu, en Son Fils « manifesté en chair », est devenu Lui-même « sacrifice propitiatoire », cette mort sur le bois maudit servit de rançon pour nos péchés, représentant par Ses souffrances volontaires, une valeur infinie en faveur du pécheur condamné. Le sacrifice expiatoire devait provenir de quelqu'un qui acceptait, volontairement à prendre la place du pécheur : Christ l'a fait !

      La source de tout ce que Christ a accompli pour Son peuple, provient de la Grâce de Dieu et de Sa souveraine Volonté. La Justice accomplie et le sacrifice de Christ, viennent du pouvoir éternel ; cette offre du salut ne s'éloignera jamais du pécheur repentant ! Elle donne le pouvoir de rendre parfaits tous ceux qui s'approchent de Jésus ; ce salut provient du sang expiatoire versé à la croix. Il fortifie et motive l’enfant de Dieu dans l'obéissance, et lui procure toute consolation intérieure !

      11 Sous la Nouvelle Alliance, (sous la propagation de l'Évangile), un pardon total et définitif des péchés, allait être obtenu. C’est ce qui différencie cette Nouvelle Alliance de l'Ancienne. Sous cette dernière, les sacrifices devaient être souvent répétés, pour finalement ne permettre d'obtenir qu’un pardon temporaire des fautes commises ici-bas.

      Sous la Nouvelle Alliance, un seul Sacrifice a été suffisant pour obtenir le pardon spirituel pour toutes les nations et générations, en les libérant du châtiment divin, et ce pour l’éternité.

      Ce nom, de Nouvelle Alliance, convient donc tout à fait ! Que nul ne s’imagine que toutes les déviations ou inventions humaines, concernant la rémission des péchés, puissent avantager ceux qui se confient en elles, en remplacement du sacrifice du Fils de Dieu.

      Que reste-t-il alors à faire, sinon rechercher tout intérêt dans ce Sacrifice, par la foi, en gardant ce « sceau » pour notre âme, par la sanctification de l'Esprit, en toute obéissance ?

      Grâce au sacrifice de Christ, par l'existence de la loi « écrite » dans notre cœur, nous savons que nous sommes justifiés, et que Dieu ne se souvient plus de nos péchés !

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.