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5
Son mari lui-même ne m’a-t-il pas dit : « C’est ma sœur » ? D’ailleurs, elle-même me l’a confirmé en affirmant : « C’est mon frère. » C’est en toute bonne conscience et avec innocence que j’ai agi ainsi.
16
Puis, se tournant vers Sara, il dit :
—Voici que j’ai donné mille pièces d’argent à ton frère. C’est là un gage de ton innocence pour tous ceux qui sont avec toi et cela te justifiera devant tous.
65
Elle demanda au serviteur :
—Qui est cet homme qui vient à notre rencontre dans la campagne ? Le serviteur répondit :
—C’est mon maître.
Alors elle prit son voile et se couvrit le visage.
11
Alors Abimélek fit publier ce décret à tout le peuple : Quiconque fera du mal à cet homme ou à sa femme sera puni de mort.
3
Joab dit :
—Que l’Eternel rende son peuple cent fois plus nombreux ! O roi, mon seigneur, ne sont-ils pas tous aujourd’hui déjà des sujets de mon seigneur ? Pourquoi alors, mon seigneur ordonne-t-il pareille chose ? Pourquoi chargerait-il Israël d’une faute ?
4
Mais le roi maintint l’ordre donné à Joab. Joab se mit donc en route et parcourut tout Israël. Puis il regagna Jérusalem.
5
Joab communiqua à David le résultat du recensement du peuple apte au service militaire : l’ensemble d’Israël comptait 1 100 000 hommes aptes à porter les armes, et Juda 470 000.
6
Joab n’avait recensé ni les ressortissants de la tribu de Lévi ni ceux de Benjamin, tant l’ordre du roi lui répugnait.
8
Ne reprends donc pas le moqueur, car il te haïra,
si tu reprends un sage, il t’en aimera davantage.
9
Oui, donne des conseils au sage, et il sera plus sage encore.
Instruis le juste, il enrichira son savoir.
1
Celui qui aime la connaissance désire être corrigé,
mais celui qui déteste les réprimandes n’est qu’un sot.
12
Un avertissement donné par une personne sage et reçu d’une oreille attentive
est comme un anneau d’or et une parure d’or fin.
5
Mieux vaut reprendre ouvertement quelqu’un,
que se taire par amitié.
6
Le capitaine s’approcha de lui et l’interpella :
—Hé quoi ! Tu dors ! Mets-toi debout et prie ton Dieu. Peut-être Dieu se souciera-t-il de nous et ne périrons-nous pas.
19
Moi, ceux que j’aime, je les reprends et je les corrige. Fais donc preuve de zèle, et change !
Pièces d'argent, probablement sicles, poids de la valeur de quatorze grammes et demi. Ces mille pièces d'argent représentent-elles la valeur des présents qu'Abimélek vient de faire à Abraham, ou bien est-ce un nouveau présent ajouté aux précédents ? Cette seconde opinion nous semble préférable, parce qu'on ne comprendrait pas qu'Abimélek évaluât de la sorte son offrande, et parce que ce présent paraît avoir un but spécial.
La signification de ce passage difficile dépend du vrai sens du mot que nous avons rendu par dédommagement. Il signifie littéralement : couverture d'yeux. Plusieurs prennent ce terme au sens propre et pensent qu'il s'agit d'un voile que Sara doit acheter avec cette somme et qu'elle doit porter dorénavant, afin que tous sachent en la rencontrant qu'elle est une femme mariée. D'autres pensent que ce dédommagement, payé par Abimélek, en constatant que Sara était mariée, sera pour elle ce qu'est le voile pour toute femme mariée. Une troisième explication plus simple est celle-ci : Une couverture d'yeux peut signifier un dédommagement, en tant que le dédommagement couvre la faute aux yeux de ceux qui en ont été les témoins. Abimélek voudrait donc dire : En donnant cette somme, je paie l'amende pour ma faute devant tous les gens de ta maison.
La fin du verset : mais sur le tout..., a été entendue d'une multitude de manières. Le sens littéral est : Tu es reprise, convaincue de faute ; tu reçois le blâme. Cette traduction nous paraît aussi la meilleure pour le sens : Abimélek vient de dire : Je paie l'amende ; puis il ajoute : Mais c'est toi qui as les torts. Sara en effet aurait dû l'avertir au moment où il l'a fait conduire dans son harem.