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14
Mais, s’il te plaît, pense à moi quand tout ira de nouveau bien pour toi et aie la bonté de parler en ma faveur au pharaon pour me faire sortir de cette prison.
15
En effet, j’ai été amené de force du pays des Hébreux, et ici même je n’ai rien fait qui mérite le cachot.
23
Mais le chef des échansons ne pensa plus à Joseph : il l’oublia.
3
Ils me répondirent :
—Ceux qui ont survécu à la captivité et qui vivent dans la province de Juda se trouvent dans une grande misère et dans une situation très humiliante ; il y a des brèches dans la muraille de Jérusalem et ses portes ont été détruites par le feu.
4
Lorsque j’entendis ces nouvelles, je m’assis et me mis à pleurer. Pendant plusieurs jours, je restai abattu. Je jeûnai et je priai constamment devant le Dieu du ciel.
7
Mais Ebed-Mélek, un Ethiopien, un fonctionnaire attaché au palais royal, apprit qu’ils avaient jeté Jérémie dans la citerne. Or, le roi siégeait à la porte de Benjamin.
8
Alors Ebed-Mélek sortit du palais et alla parler au roi. Il lui dit :
9
—Mon seigneur le roi ! Ces hommes ont mal agi envers le prophète Jérémie en le descendant dans la citerne ; il y mourra de faim, puisqu’il n’y a plus de pain dans la ville.
10
Le roi ordonna à Ebed-Mélek l’Ethiopien :
—Prends avec toi trois hommes et fais remonter le prophète Jérémie de la citerne avant qu’il meure.
11
Ebed-Mélek prit donc ces hommes avec lui et rentra au palais royal dans une pièce située sous la salle du trésor. Il y prit des linges déchirés ou usés. Puis il les descendit avec des cordes à Jérémie dans la citerne.
12
Ebed-Mélek l’Ethiopien dit à Jérémie :
—Mets ces chiffons sous tes aisselles par-dessus les cordes.
Ce que fit Jérémie.
13
Puis ils le hissèrent hors de la citerne avec les cordes. Après cela, Jérémie resta dans la cour du corps de garde.
36
J’étais nu, et vous m’avez donné des vêtements. J’étais malade, et vous m’avez soigné. J’étais en prison, et vous êtes venus à moi. »
43
J’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli chez vous. J’étais nu, et vous ne m’avez pas donné de vêtements. J’étais malade et en prison, et vous n’avez pas pris soin de moi. »
29
Le gardien demanda des torches, se précipita dans le cachot et, tremblant de peur, se jeta aux pieds de Paul et de Silas.
30
Puis il les fit sortir et leur demanda :
—Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ?
31
—Crois au Seigneur Jésus, lui répondirent-ils, et tu seras sauvé, toi et les tiens.
32
Et ils lui annoncèrent la Parole de Dieu, à lui et à tous ceux qui vivaient dans sa maison.
33
A l’heure même, en pleine nuit, le gardien les prit avec lui et lava leurs blessures. Il fut baptisé aussitôt après, lui et tous les siens.
34
Puis il fit monter Paul et Silas dans sa maison, leur offrit un repas, et se réjouit, avec toute sa famille, d’avoir cru en Dieu.
23
Il donna à l’officier responsable de Paul l’ordre de le garder prisonnier, mais en lui laissant une certaine liberté et sans empêcher sa parenté et ses amis de venir lui rendre des services.
3
Le lendemain, nous avons fait escale à Sidon. Julius, qui témoignait une grande bienveillance à Paul, lui a permis alors de se rendre chez ses amis pour recevoir leur aide.
15
Partagez la joie de ceux qui sont dans la joie, les larmes de ceux qui pleurent.
26
Un membre souffre-t-il ? Tous les autres souffrent avec lui. Un membre est-il à l’honneur ? Tous les autres partagent sa joie.
1
Frères, si quelqu’un s’est laissé surprendre par quelque faute, vous qui vous laissez conduire par l’Esprit, ramenez-le dans le droit chemin avec un esprit de douceur. Et toi qui interviens, fais attention de ne pas te laisser toi-même tenter.
2
Aidez-vous les uns les autres à porter vos fardeaux. De cette manière, vous accomplirez la loi du Christ.
1
Moi qui suis prisonnier à cause du Seigneur, je vous demande donc instamment de vous conduire d’une manière digne de l’appel qui vous a été adressé :
14
Pourtant, vous avez bien fait de prendre part à ma détresse.
15
Comme vous le savez, Philippiens, dans les premiers temps de mon activité pour la cause de l’Evangile, lorsque j’ai quitté la *Macédoine, aucune autre Eglise n’est entrée avec moi dans un échange réciproque de dons matériels et spirituels. Vous seuls l’avez fait.
16
Pendant mon séjour à *Thessalonique, vous m’avez envoyé, par deux fois, des dons pour subvenir à mes besoins.
17
Ce n’est pas que je tienne à recevoir des dons ; ce qui m’intéresse, c’est qu’un plus grand nombre de fruits soit porté à votre actif.
18
J’atteste par cette lettre avoir reçu tous vos dons, et je suis dans l’abondance. Depuis qu’Epaphrodite me les a remis, je suis comblé. Ils ont été pour moi comme le doux parfum d’une offrande agréée par Dieu et qui lui fait plaisir.
19
Aussi, mon Dieu subviendra pleinement à tous vos besoins ; il le fera, selon sa glorieuse richesse qui se manifeste en Jésus-Christ.
18
Moi, Paul, je vous adresse mes salutations en les écrivant de ma propre main. Ne m’oubliez pas alors que je suis en prison. Que la grâce de Dieu soit avec vous.
16
Quant à Onésiphore, que le Seigneur manifeste sa bonté à toute sa famille. En effet, il m’a souvent réconforté et il n’a pas eu honte de moi parce que je suis en prison.
17
Au contraire, dès son arrivée à Rome, il s’est mis activement à ma recherche, et il a fini par me trouver.
18
Que le Seigneur lui donne d’avoir part à la bonté du Seigneur au jour du jugement. Tu sais aussi mieux que personne combien de services il m’a rendus à Ephèse.
34
Oui, vous avez pris part à la souffrance des prisonniers et vous avez accepté avec joie d’être dépouillés de vos biens, car vous vous saviez en possession de richesses plus précieuses, et qui durent toujours.
3
Ayez le souci de ceux qui sont en prison, comme si vous étiez enchaînés avec eux, et de ceux qui sont maltraités, puisque vous aussi vous partagez leur condition terrestre.
8
Enfin, visez tous le même but, partagez vos peines, aimez-vous comme des frères et des sœurs, soyez bons, soyez humbles.
Tous les chrétiens, ayant la même foi, le même esprit, le même amour fraternel, (Hébreux 13.1) sont solidaires les uns des autres, (1Corinthiens 12.26) quand l'un est lié, maltraité, tous le sont en lui.
Les dernières paroles, exprimant la raison de cette solidarité : comme étant aussi vous-mêmes dans un corps, ont été diversement interprétées.
Calvin entend par le corps où sont les chrétiens le corps de Christ, l'Eglise ; de là nos anciennes versions : "comme étant du même corps," sens très beau, mais qui n'est pas dans le texte. Bèze traduit : "comme si, en personne, vous étiez maltraités."
Enfin, la plupart des interprètes, prenant les termes tels qu'ils sont, y trouvent cette pensée : Etant dans un corps, et vivant dans ce monde, vous êtes exposés aux mêmes dangers, aux mêmes souffrances qui tôt ou tard vous atteindront : prenez donc part aux épreuves de vos frères.